| Voltaire - 1839 - 626 pages
...pendus. Je ne vois de tous côtés que les injustices les plus barbares. Lally et son bâillon, Sirven, Calas, Martin, le chevalier de La Barre, se présentent...siècle n'est que ridicule, il est horrible. La nation passe-un peu pour être une jolie troupe de singes; mais parmi ces singes il ya des tigres, et il y... | |
| Voltaire - 1839 - 616 pages
...pendus. Je ne vois de tous côtés que les injustices les plus barbares. Lally et son bâillon , Sirven , Calas , Martin , le chevalier de La Barre, se présentent...rêves. On croit que notre siècle n'est que ridicule , iJ est horrible. La nation passe un peu pour être une jolie troupe de singes; mais parmi ces singes... | |
| Edouard de Pompery - 1867 - 508 pages
...pendus. Je ne vois de tous côtés que les injustices les plus barbares. Lally et son bâillon, Sirven, Calas, Martin, le chevalier de la Barre se présentent quelquefois à moi dans mes rêves. On croit que.notre siècle n'est que ridicule , il est horrible. J'ai toujours la fièvre le 24 du mois d'Auguste,... | |
| Édouard de Pompery - 1878 - 308 pages
...pendus. Je ne vois de tous côtés que les injustices les plus barbares. Lally et son bâillon, Sirven, Calas, Martin, le chevalier de la Barre se présentent...notre siècle n'est que ridicule, il est horrible. J'ai toujours la fièvre le 24 du mois d'Auguste, vous savez que c'est le jour de saint Barthélemy,... | |
| Gustave Merlet - 1883 - 602 pages
...Français dansent comme si de rien n'était. Calas et le chevalier de la Barre m'apparaissent quelquefois dans mes rêves. On croit que notre siècle n'est que ridicule : il est horrible. » Tantôt il s'efforce de défendre la vie de l'amiral Byng1 contre l'inflexible politique du gouvernement... | |
| Gustave Merlet - 1894 - 752 pages
...Français dansent comme si de rien n'était. Calas et le chevalier de la Barre m'apparaissent quelquefois dans mes rêves. On croit que notre siècle n'est que ridicule : il est horrible. » Oui, cette tragédie de Toulouse lui fit alors oublier toutes les antres, jusqu'aux siennes ; oui,... | |
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