Memoires pour l'histoire des sciences et des beaux arts ..., Volume 5S.A.S, 1756 |
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Expressions et termes fréquents
affez ainfi ajoûte Anglois ARTICLE auffi auroit Auteur avoient avoit bles Briffon c'eft c'eſt Catholique caufe ceffe chofe claffe Colonies Commerce confeils conféquent conferver confidère connoître Daude deffein déja Dieu Differtation divifions Duc d'Ormond Duc de Marlborough Ecrivains effentiel enfans eſt Etats étoient étoit facré fage fans fçait fçavant fçavoir fe trouve fecond felon fens fent feroit fervice fervir feul fiècle fimple foit font fource fous fouvent François fuccès fuite fuivant fujets fyftême guerre Hiftoire Hiftorien Hollandois inftructions Jofeph jufqu'à jufte juftice l'Anonyme l'Auteur l'efprit l'Eglife l'Etat l'Hiftoire laiffer Loi Salique Loix Louis XIV Madame de Maintenon Mémoires ment Miniftres Moyfe n'eft n'étoit néceffaire négociation obfervations Ouvrage paffe paffions paix paroît penfer perfonnes peuples Pierre Pithou Pithou plufieurs pouvoit préfente premiére Prince principes propofe Proteftans Puiffance raifon refte Religion Réponſe Royaume s'eft Sicile teur Thrône tion Torcy Vandermonde Volume دو رو
Fréquemment cités
Page 2454 - Mais au son de sa voix les ondes se troublèrent, Et soudain s'écoulèrent Dans leurs gouffres profonds. Les bornes qu'il leur a prescrites Sauront toujours les resserrer. Son doigt a tracé les limites Où leur fureur doit expirer. La mer, dans l'excès de sa rage, Se roule en vain sur le rivage Qu'elle épouvante de son bruit. Un grain de sable la divise : L'onde approche, le flot se brise, Reconnaît son maître, et s'enfuit.
Page 2180 - Philippe v sur le trône d'Espagne; elle seule pouvoit l'y maintenir : les hommes n'avoient pas conduit ce grand événement. Celui de la paix ne devoit pas être attribué à leur habileté; mais, avant que d'accorder cette paix à la France , que Dieu par sa bonté a toujours protégée , le moment devoit en être précédé par les humiliations d'un grand roi. Sa résignation satisfit à la justice divine, et le Dieu de miséricorde regarda favorablement le monarque et ses peuples...
Page 2171 - ... bien bornées ; il voit souvent sa présomption punie par les fautes qu'il commet, et qu'il auroit évitées s'il eût eu le conseil d'un homme sage. Une idée bonne, examinée et débattue entre deux personnes unies par le même désir de réussir, en devient meilleure : si l'un n'aperçoit pas le défaut du projet qu'il a formé, l'autre le découvre ; tous deux de concert le rectifient. Les contradictions éclairent quand elles naissent du désir réciproque de chercher le bien , et de le...
Page 2359 - On retient les hommes dans leur devoir par le charme des approbations & par la terreur des châtimens ; on ne peut contenir les Princes ces que par la crainte des jugemens divins & du blâme de la poftérité.
Page 2311 - Roi demandoit de nouvelles conférences en Hollande, proposa, pour concilier les avis du conseil et le sien, de répondre à Gautier, et de le charger de dire aux ministres de la reine de la Grande-Bretagne que le Roi, justement irrité de la conduite des Etatsgénéraux, ne vouloit plus entendre parler de la paix par la voie de la Hollande; mais qu'il en traiteroit avec plaisir par l'entremise de l'Angleterre. Quant à la lettre de compliment demandée par le comte de Jersey, elle étoit nécessaire...
Page 2587 - Nouvelle, méthode fart , courte & facile pour le traitement des perfonnes attaquées de la rage.; par le frère Claude du Chai- • i.
Page 2359 - faffent fouvent des voyages à la » campagne ; qu'ils entrent dans » les cabanes des payfans , pour » voir, par eux-mêmes , la mua...
Page 2203 - ... jamais nul autre ne lui a été comparable dans la manière de traiter avec un peuple, de le gouverner, de le persuader par la force de ses discours.
Page 2321 - Le fécond fpécifioit les renonciations à faire pendant la fufpenfion , tant par le roi d'Efpagne à la couronne de France, que par les princes de la famille royale de France à la couronne d'Efpagne.
Page 2311 - Jerfey , écrivez» lui fimplement , que vous avez été j» bien aife d'apprendre de moi , qu'il » étoit en bonne fanté, que vous m'avez ,, chargé de le remercier de fon fouve» nit, & de lui faite vos complimens.