 | Jean François Paul de Gondi de Retz - 1779 - 538 pages
...reine & à l'aflemblée du clergé. Ces trois lettres furent fupprimées , parce que les fuffragants ayant jugé à propos de les mettre entre les mains...Mazarin , il les garda longtemps, puis les renvoya au fieur de Lyonne pour les rendre au cardinal de Retz, difant (jus LM n'avoient pas voulu les ouvrir... | |
 | Guy Joly - 1779 - 534 pages
...reine & à l'aflemblée du clergé. Ces trois lettres furent fupprimées , parce que les fuffragants ayant jugé à propos de les mettre entre les mains...Mazarin , il les garda longtemps, puis les renvoya au fleur de Lyonne pour les rendre au cardinal de Retz , difant que L, M. n'avoient pas voulu les ouvrir... | |
 | Jean François Paul de Gondi de Retz - 1820 - 512 pages
...reine et à l'assemblée du clergé. Ces trois lettres furent supprimées, parce que les suffragans ayant jugé à propos de les mettre entre les mains du cardinal Màzarin , il les garda longtemps , puis les renvoya au sieur de Lionne pour les rendre au cardinal... | |
 | 1825 - 576 pages
...Reine, et à l'assemblée du clergé. Ces trois lettres furent supprimées , parce que les suffragans ayant jugé à propos de les mettre entre les mains...les garda long-temps, puis les renvoya au sieur de Lyonne pour les rendre au cardinal de Retz, disant que Leurs Maj estés n'avoient pas voulu les ouvrir,... | |
 | Petitot (M., Claude-Bernard) - 1825 - 596 pages
...Reine, et à l'assemblée du clergé. Ces trois lettres furent supprimées , parce que les snffragans ayant jugé à propos de les mettre entre les mains...les garda long-temps, puis les renvoya au sieur de Lyonne pour les rendre au cardinal de Retz , disant que Leurs Majestés n'avoient pas voulu les ouvrir,... | |
 | Joseph Fr. Michaud - 1851 - 648 pages
...l'assemblée du clergé. Ces trois lettres furent supprimées, parce que les suffraIII. CDM, T. It. gansayant jugé à propos de les mettre entre les mains du cardinal...les garda long-temps, puis les renvoya au sieur de Lyonne pour les rendre an cardinal de Retz, disant que Leurs Majestés n'avoient pas voulu les ouvrir,... | |
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Maj estés n'avoient pas voulu les ouvrir, ni souffrir qu'on rendît à l'assemblée du clergé celle qui lui étoit adressée. Ainsi il n'y eut que l'acte de nomination qui parut ; et, en vertu de cet acte, le sieur Du Saussay se mit aussitôt... 