De ça je me consoleFlammarion, 2007 - 410 pages Emylina, depuis son enfance, n'oublie plus rien, pour être sûre de ne pas oublier quelque chose d'important. Ni son grand-oncle muet, survivant déporté, ni son oncle révolutionnaire assassiné par la police dans les années 1980, ni son enfance dans la Roumanie de Ceausescu, ni les mots qu'elle classe dans son cahier «À Ne Pas Oublier». Son coup de foudre pour une jeune Italienne fait aussi partie des choses inoubliables. Unies par le même sentiment de malaise et de colère face à leur génération, elles sont alliées et inséparables. Mais l'Italienne disparaît brutalement, en même temps qu'un meurtre est commis dans le café où elle travaillait. Alors commence une quête qui n'est pas une enquête. C'est l'histoire des disparitions qui amènent à la vie. Des vivants qu'on a envie de tuer et des morts inoubliables. C'est l'histoire de cette épreuve qu'est grandir, étrangère à son époque et à sa génération, dans un monde qu'on déteste, l'histoire des refuges possibles. L'histoire de ce dont on se consolera peut-être, et du reste, qui nous laisse inconsolables. |
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