Journal (littéraire) de Nancy, Volume 10 |
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Expressions et termes fréquents
adreffés affemblée affez affurément ainfi amant Anaximandre Arras auffi beau befoin belle c'eft c'eſt caufe ceffe chanfons chante charmes Chevalier de Boufflers chofe cœur compofé Comte Comté de Bourgogne connaiffance défirs déja derniere Difcours diftingués donne efpeces efprit enfans enfuite eſt Etrennes fage faifait fans doute favant fe trouve fecond fecours fecret fein femble femmes fenfible fens fentiment fera fervir feul fiecle fille fimple fociété foins foit font fouf fous fouvent fuccès fuis fuite fuivant fujet fur-tout goût grace homme intéreffant j'ai jeune jolie jour jufqu'à l'Abbé l'Académie l'amour l'Auteur l'efprit laiffe Lecteurs Libraire Littéraire Logogriphe Longueval lorfque maniere Médecine monnoies Mufes n'eft n'eſt Nancy néceffaire obfervations Ouvrage paffer Pélagie penfe perfonne philofophie phyfique pieces plaifir plaifirs plantes plufieurs poéfie préfente prefque premiere propofe raifon refte Rétif rue des Mathurins s'eft talens tendre teur tion ufage Villaque volume zincourt
Fréquemment cités
Page 130 - L'ennui bientôt les fait quitter. Sur leurs airs et sur leur figure Presque tous fondent leur espoir ; Ils font entrer dans leur parure Tout le goût qu'ils pensent avoir. Dans le cercle de quelques belles Ils vont s'établir en vainqueurs ; Mais ils ont toujours auprès d'elles Plus d'aisance que de faveurs. De toutes leurs bonnes fortunes Ils ne se prévalent, jamais : Leurs maîtresses sont si communes , Que la honte les rend discrets ; Ils préfèrent , dans leur ivresse , La débauche aux plus...
Page 136 - Pâques 1785 un Prix femblable fur les queftions fuivantes : Quelles furent autrefois les différentes branches de commerce dans les contrées qui forment aujourd'hui la Province d'Artois , en remontant même au temps des Gaulois ? Quelles ont été les caufes de leur décadence , & quels feraient les moyens de les rétablir , notamment les Manufactures de la Ville.
Page 121 - Les enfants de Dieu voyant que les filles des hommes étaient belles, prirent pour leurs femmes celles qui leur avaient plu.
Page 47 - Ouvrage; ils y joindront, à part, dans un papier cacheté & écrit de leur propre main...
Page 135 - Ordinaires des Etats , annonce que ce Prix fera adjugé pour la première fois dans la Séance publique qu'elle doit tenir vers le temps de Pâques 1784 -, & elle propofe pour fujet la queftion fuivante...
Page 391 - D'ÉPITAPHES sérieuses, badines, satiriques et burlesques de la plupart de ceux qui, dans tous les temps, ont acquis quelque célébrité par leurs vertus...
Page 389 - Paris, | Chez Moutard, Imprimeur-Libraire de la Reine, | de Madame, & de Madame Comtesse d'Artois, | rue des Mathurins, Hôtel de Cluni.
Page 52 - D'une longue union ils sont aussi le gage. Je ne regrette rien de ce que m'ôta l'âge, II m'a laissé de vrais amis. On m'aime presque autant, j'ose aimer davantage. L'astre de l'amitié luit dans l'hiver des ans ; Elle est le fruit du goût, de l'estime...
Page 14 - Mais écoutez, et suivez mes avis. Défaites-vous de cette barbe énorme Qui vous déguise et qui vous rend difforme. Ce manteau brun vous vieillit de dix ans. Quittez cela. Voyez nos élégants : C'est un habit qu'il faudra qu'on vous brode ; Je vous dirai la couleur à la mode.
Page 234 - Se le troifième à Noël. Il faut faire parvenir les lettres & l'argent , francs de port , à cette veuve , qui fe charge de faire les frais de l'envoi des volumes. Elle fera imprimer au commencement de ces Analefles le nom des Soufcripteurs.