Histoire de France illustrée depuis les origines jusqu'à la révolution: ptie. I Tableau de la géographie de la France, par P. Vidal de la Blanche. t. 1. ptie. II Les origines ; le Gaule indépendente et la Gaule romaine, par G. Bloch. t. 2. ptie. I. Le christianisme, les barbares, Mérovingiens et Carolingiens, par C. Bayet, C. Pgister, A. Kleinclausz. -t. 2. ptie. II. Les premiers Capétiens (987-1137) par A. Luchaire. -t. 3. ptie. I. Louis VII-Philippe-Auguste-Louis VII (1137-1226) par A. LuchaireErnest Lavisse Hachette, 1911 |
Autres éditions - Tout afficher
Histoire de France illustrée depuis les origines jusqu'à la révolution: ptie ... Ernest Lavisse Affichage du livre entier - 1911 |
Expressions et termes fréquents
administration Allobroges Alpes Ammien Marcellin Aquitaine Arles armées Arvernes Auguste Ausone avaient Barbares Belgique Bibracte Bituriges Bordeaux Bretagne C'était capitale Celtes celtique César chap chef-lieu cité citoyens romains civile civitas Claude colonies romaines conquête Corpus inscript culte curateur d'Auguste décurions Dioclétien druides duumvirs Éduens empereurs époque foncier forme frontière gallo-romaine Gaule Gaule romaine Gaulois Germanie gouvernement gouverneur Grèce guerre Helvètes Hirschfeld Ibères impériale impôts Ive siècle Ive siècle av Julius l'an l'Aquitaine l'armée l'empereur l'Empire l'État l'impôt l'Italie latin légat légions Lingons Lyon Lyonnaise magistrats Marseille Massaliotes Mayence ment militaire Mommsen monnaies monuments municipal n'avait n'était Narbonnaise Narbonne Nerviens Nimes Nord OUVRAGES A CONSULTER pagus pays peuples politique populations Postume pouvait préfet premier proconsul provinces provinciaux recrutement reste Rhin Rhône Rome römischen s'était Sénat Septime Sévère Séquanes seulement siècle ap soldats Strabon suivant territoire tétrarchie Tibère tion titre Trèves Trévires troupes vallée Vercingétorix vicus villes Voconces
Fréquemment cités
Page 421 - Elle a vécu avec moi trente-six ans, trois mois et dix jours, sans m'avoir causé le moindre chagrin. Notre long amour a péri brisé par la mort. Plût aux dieux que le destin nous eût tous les deux en même temps couchés dans la tombe. » — Un vétéran de l'armée de Germanie a épousé une affranchie. Elle lui exprime en ces termes sa reconnaissance : « II m'a nourrie de son travail. Il a eu pour moi la bienveillance d'un patron, la tendresse d'un père. » Ici c'est un père, une mère...
Page 104 - Coulanges, eurent assez d'intelligence pour comprendre que la civilisation valait mieux que la barbarie. Ce fut moins Rome que la civilisation elle-même qui les gagna à elle. Être Romain, à leurs yeux, ce n'était pas obéir à un maître étranger, c'était partager les mœurs, les études, les plaisirs de ce qu'on connaissait de plus cultivé et de plus noble dans l'humanité.
Page 279 - Étude sur l'administration des finances de l'empire romain dans les derniers temps de son existence, pour servir d'introduction à l'histoire des institutions financières en France. In-8, xix-530 p. Paris, Guillaumin et G».
Page 50 - ... affaires. Après lui, ils adorent Apollon, Mars, Jupiter, Minerve. De ces dieux ils se font à peu près la même idée que les autres peuples : Apollon éloigne les maladies, Minerve enseigne les éléments des métiers et des arts: Jupiter a l'empire du ciel ; Mars préside à la guerre.
Page 304 - Ainsi donc, cher et bien-aimé parent Agricola, ton illustre Magnificence, se conformant à notre présente ordonnance et à la coutume établie par tes prédécesseurs, fera observer dans les...
Page 59 - L'ORIGINE DE fin. Ils les rapportaient l'une et l'autre au môme principe. Ils consi- L'HOMME. déraient le dieu de la mort (Disputer) comme le père de tous les Gaulois. Cette idée est commune à toutes les mythologies. Elle traduit l'impression produite par le va-et-vient des choses, par l'alternance éternelle qui est la loi de la nature. Le jour ne sort-il pas de la nuit avant d'y rentrer? La terre nourricière n'est-elle pas l'universel sépulcre? Le travail qui aboutit à la dissolution des...
Page 381 - Sud-Ouest les inscriptions ne laissent pas d'être nombreuses, eu égard à la population, elles se raréfient dans l'Est et le Nord, dans les cantons de Berne, de Soleure, d'Argovie, de Baie, et, ce qui n'est pas moins caractéristique, elles sont dues la plupart, non à des indigènes, mais à des fonctionnaires ou à des soldats. La distinction qui existe aujourd'hui entre les deux Suisses allemande et romande remonte donc à l'antiquité, sauf qu'au lieu d'une Suisse allemande nous avons alors...
Page 371 - J'étais en quartier d'hiver, dans ma chère Lutèce ; c'est ainsi que les Celtes appellent la petite ville des Parisiens, située sur le fleuve qui l'environne de toutes parts, en sorte qu'on n'y peut aborder que de deux côtés, par deux ponts de bois. Il est rare que la rivière se ressente beaucoup des pluies de l'hiver et de la sécheresse de l'été.
Page 117 - Le danger n'est point passé. Vos voisins sont restés les mêmes. Ils sont pauvres et vous êtes riches. Si nous exigeons de vous le service militaire, si nous vous imposons des tributs, c'est pour vous assurer la paix. Espérez-vous donc n'avoir plus de troupes à livrer et à entretenir quand vous devrez seuls pourvoir à votre défense?