| Jean Calvin - 1854 - 508 pages
...esté du temps que j'y estois enveloppé. Car comme lors je sentois la vocation de Dieu qui me tenoit lié, en laquelle je me consolois, maintenant au contraire...je ne vous puis expliquer que de bouche, desquelles toutesfois je ne puis contenter ceulx auxquels j'ay à faire. Néantmoins je sçay que nostre Seigneur... | |
| Jean Calvin - 1854 - 930 pages
...esté du temps que j'y estois enveloppé. Car comme lors je sentois la vocation de Dieu qui me tenoit lié, en laquelle je me consolois, maintenant au contraire...je ne vous puis expliquer que de bouche, desquelles toutesfois je ne puis contenter ceulx auxquels j'ay à faire. Néantmoins je sçay que nostre Seigneur... | |
| Jean Calvin - 1854 - 508 pages
...esté du temps que j'y estois enveloppé. Car comme lors je scntois la vocation de Dieu qui me tenoit lié, en laquelle je me consolois, maintenant au contraire je crains de le tenter si je reprcns un tel fardeau lequel j'ay cogneu m'estre importable. Il ya autres raisons lesquelles je ne... | |
| Amédée Roget - 1870 - 1044 pages
...esté du temps que j'y estois enveloppé. Car comme lors je senlois la vocation de Dieu qui me tenoit lié, en laquelle je me consolois, maintenant, au contraire, je crains de le tenter si je reprends un tel fardeau lequel j'ai cogneu m'être insupportable. » Au reste, nous avons une donnée... | |
| Aimé Louis Herminjard - 1878 - 530 pages
...esté du temps que je y estois enveloppé. Car comme lors je sentois la vocation de Dieu qui me tenoit lié, en laquelle je me consolois, maintenant au contraire...je ne vous puis expliquer que de bouche, desquelles toutesfois je ne puis contenter ceulx auxquelz j'ay à fère. Néantmoins j'espère que Nostre Seigneur... | |
| Carl Adolf Cornelius - 1899 - 666 pages
...y estois enveloppé. Car comme lors je sentois la vocation de Dieu qui me tenoit lié, en la quelle je me consolois, maintenant au contraire je crains...fardeau, lequel jay cogneu m'estre importable. Il ya aultres raisons, lesquelles je ne puis expliquer que de bouche, desquelles toutes fois je ne puis contenter... | |
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