Histoire de la Restauration, Volume 6Pagnerre, 1853 |
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Expressions et termes fréquents
accusé âme amis armées avaient Bonaparte Bourbons Bourdonnaie Bourmont C'était carbonari cause Chambre des pairs Chateaubriand chef cœur colère complot comte d'Artois comte Decazes condamné conjurés conseil conspiration constitutionnel cour crime d'Angoulême d'État Decazes demander députés devant dévouement Didier dit-il duc de Berry duc de Richelieu duchesse duchesse d'Angoulême éclater ennemis Eybens famille femme Ferdinand fortune frère général gloire gouvernement Grenoble guerre haine homme jeune jour juges l'accusé l'âme l'armée l'esprit l'Europe l'opinion Labédoyère Lainé laissait larmes Lavalette Lecourbe libéraux liberté loi d'élection Louis XVIII Louvel lui-même madame main Majesté maréchal Ney ment militaire ministre modération monarchie mort mourant n'avait Naples Napoléon nation nationale officiers orateur pable palais pardon paroles Pasquier passions patrie pensée père peuple politique populaire prince règne révolution Riégo royalistes royauté Royer-Collard s'était sang secret sentait seul soldats supplice témoins tion tribune triomphe trône troupes ultra-royalistes vengeance victime Villèle voix votes zèle
Fréquemment cités
Page 85 - ... j'espère qu'un jour, lorsqu'ils seront plus grands, ils pourront se réunir avec vous, et jouir en entier de vos tendres soins, qu'ils pensent tous deux à ce que je n'ai cessé de leur inspirer ; que les principes, et l'exécution exacte de ses devoirs sont la première base de...
Page 270 - ... qu'elle ait lieu en séance publique et à la face de la France. Je propose à la Chambre de porter un acte d'accusation contre M. Decazes, Ministre de l'Intérieur, comme complice de l'assassinat de Monseigneur le duc de Berry, et je demande à développer ma proposition.
Page 86 - Je meurs dans la religion catholique, apostolique et romaine, dans celle de mes pères, dans celle où j'ai été élevée, et que j'ai toujours professée. N'ayant aucune consolation spirituelle à attendre...
Page 85 - J'ai un profond regret d'abandonner mes pauvres enfants. Vous savez que je n'existais que pour eux et vous, ma bonne et tendre sœur ; vous qui avez , par votre amitié , tout sacrifié pour être avec nous, dans quelle position je vous laisse ! « J'ai appris par le plaidoyer même du procès, que ma fille était séparée de vous.
Page 85 - ... conseils que l'expérience qu'elle aura de plus que lui et son amitié pourront lui inspirer, que mon fils à son tour, rende à sa sœur tous les soins, les services, que l'amitié peut inspirer ; qu'ils sentent enfin tous deux que, dans quelque position où ils pourront se trouver, ils ne seront vraiment heureux que par leur union...
Page 86 - J'ai à vous parler d'une chose bien pénible à mon cœur. Je sais combien cet enfant doit vous avoir fait de la peine. Pardonnez-lui, ma chère sœur; pensez à l'âge qu'il a et combien il est facile de faire dire à un enfant ce qu'on veut et même ce qu'il ne comprend pas.
Page 268 - ... demande la suspension de la liberté individuelle et de la liberté de la presse. Serait-il...
Page 86 - Et où en trouver de plus tendre , de plus cher que dans sa propre famille? Que mon fils n'oublie jamais les derniers mots de son père , que je lui répète expressément : Qu'il ne cherche jamais à venger notre mort.