Memoires pour l'histoire des sciences et des beaux arts ..., Volume 1S.A.S, 1730 |
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
affez aifé ainfi ajoûte années Juliennes Arifte auffi avoient avoit ayent c'eft c'eſt Caffini caufe cauſe chofe compofé confideré confifte corps differentes Differtation Eccléfiaftique efpéce efprit Eglifes enfuite Epactes eſt étoient étoit Eudoxe Evêques fans fçavoir fe font fecond felon fens fent feroit fervir feul fiécles fignifie fimple fleur fluides foit folides Forbin fous fouvent fruit fuivant fujet fuppofer fyftole Giannone Grégoire XIII Grégorienne Hébreu Hiftoire Huet Ifles jufqu'à jufte l'Auteur l'efprit l'Eglife l'Epacte l'Hiftoire l'ufage laiffe lefquels Lunaire maniére matiére fubtile ment Minif Monfieur n'eft n'eſt nombre d'or Obfervations paffage paffer paroît Pere Labat perfonnes Pleureufes plufieurs plûtôt pourroit prefente prefque prémier prémiére Prince puifque R. P. Labat R. P. Mahoudeau raifon reffort refte Religion renfer Roucou s'eft Saint Sçavans tems teur tion toûjours Trevoux Trituration troifiéme trouve Vaiffeaux vertu fyftaltique دو دو دو رو رو دو رو رو
Fréquemment cités
Page 412 - Ils rempliflènt une chaudiére d'eau de mer , & la mettent fur un grand feu. Quand cette eau commence- à bouillir , ils en re.çoivent la vapeur dans des éponges qu'ils tiennent au-deflus de fa furfàce.
Page 416 - Bretagne, ou celle du hareng fut les côtes de Normandie, » ou celle du thon fur les côtes de Provence-, toute la mer file alors » comme de l'huile •, & pour peu qu'on la frappe avec un aviron , » elle paroît toute en feu; ce qui ne vient que de la grande quantité » de ces fortes de poilïons, dont la mer eft alors couverte, & dont » plu/leurs meurent, Se fe pourriiTent dans l'eau. Les Fontainiers re...
Page 194 - ... dans le fein de la Terre : il y démêle comment la Nature s'y prend à former le Diamant , l'Argent & l'Or , pour nous entichir : il y -découvre l'origine des Vents & des feux fouterrains : il voit ces feux s'allumer , ces Vents fe former , ébranler la Terre , & répandre une falutàire horreur.
Page 209 - Une caufe, qui meut les corps , eft extérieure aux corps ; les corps n'étant d'eux-mêmes , chacun en particulier, qu'une portion d'étendue indifférente pour le mouvement ou le repos; ils n'ont nulle efficace , nulle qualité fecrette , qui leur faffe préferer le mouvement au repos.
Page 407 - ... que très -difficilement. Dans les pleines & nouvelles « lunes, où la mer monte plus haut, & avec plus de vîtefle que dans « les autres tems , elle entraîne auflî une plus grande quantité de ces »> matières. On ne peut concevoir combien eft défagréable & mal »> faine l'odeur qu'elles répandent , & qui dure fouvent d'une marée « à l'autre. C'eft-là , fans doute , ce qui a donné lieu à la fable de
Page 383 - Mémoires pour fervir à l'hiftoire de France & de Bourgogne , contenant un Journal de Paris fous les règnes de Charles VI & de Charles VII...
Page 195 - Se dans ces nuages le tonnerre & la foudre: par quelle route les rayons parti s du foleil , vont fe rompre & fe réfléchir dans les nuées, pour venir offrir à nos regards les plus belles couleurs : du milieu des airs il s'éleve...
Page 410 - cite un choliafte d'Ariftophane, qui aflure que les Grecs jettoient »> une certaine dofe d'eau de mer dans leurs vins , pour les conferver. » On fait encore quelque chofe de femblable dans les pays du Nord, » où l'on ne cherche qu'à rendre les débauches & plus longues &" plus « violentes : c'eft un aveu que fait le Chevalier de Terlon,qui a été « fî long-tems Ambafladeur en Suède.
Page 266 - ... les toucher , la plupart étant posées dans des endroits fort élevés et les autres étant fermées par des grilles de fer qu'on n'ouvre jamais, et dont il n'est permis d'approcher qu'à une certaine distance. La magnificence des...
Page 227 - quelques-uns des préfidens étaient trop » vieux ou infirmes, l'empereur nomme fes, „ allèfleurs pour tenir leur place. „ 2°. Cette cérémonie ne confifte pas „ feulement à labourer la terre, pour exci...