| Jean François Paul de Gondi de Retz - 1779 - 556 pages
...pourtant pas aller de peur i'être remarqués , fe contentant d'appuyer fous main la conduite des autres. Toute la conféquence de cette affaire ne fut pas...fentit bien que quelques jours après, qu'on vit qu'il >' avoit peu de perfonnes dans Paris & dans les provinces , qui n'y euflent quelqu'iniérêt direct... | |
| Guy Joly - 1779 - 544 pages
...pourtant pas aller de peur d'être remarqués , fe contentant d'appuyer fous main la conduite des autres. Toute la conféquence de cette affaire ne fut pas...comprife dans le commencement , ni par la cour, ni par lei frondeurs. On ne la fentit bien que quelques jours après, qu'on vit qu'il y avoit peu de perfonnes... | |
| 1825 - 576 pages
...sous main la conduite des autres. Toute la conséquence de cette affaire ne fut pas assez comprise dans le commencement, ni par la cour ni par les frondeurs. On ne la sentit bien que quelques jours après, qu'on vit qu'il y avoit peu de personnes dans Paris etdans les... | |
| Claude Bernard Petitot, Alexandre Petitot, Louis Jean Nicolas Monmerqué - 1825 - 596 pages
...sous main la conduite des autres. Toute la conséquence de cette affaire ne fut pas assez comprise dans le commencement, ni par la cour ni par les frondeurs. On ne la sentit bien que quelques jours après , qu'on vit qu'il y avoit peu de personnes dans Paris et dans... | |
| Jean François Paul de Gondi de Retz - 1872 - 728 pages
...vêtus de noir , avoient créé douze syndics ' ni par la cour ni par les Frondeurs. On ne la sentit bien que quelques jours après, qu'on vit qu'il y avoit peu de personnes dans Paris et dans les provinces qui n'y eussent quelque intérêt direct ou indirect Les... | |
| |