Petite bibliotheque des théatres: Le sabotier, ou, Les huit sols. Le rival par amitié, ou, Frontin QuakreAu bureau [de la Petite bibliotheque des théatres], 1784 |
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Expressions et termes fréquents
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M. POINTU IRIS Isabelle itou j'ai j'aime j'aurois j'avois j'en j'ons JACQUES SPLIN jamais JAQUOT JAV OTTE JAVOTTE JEANNETTE jeunes Bergers joue L'AMOUR L'HUISSIER LEANDRE LISE long-tems LOYER Lucile maniere MARGO MATHURINE Milord MOMUS Monsieur Pointu Monsieur Ronge-Fer pauvre pendule Piece plaisir premiere Procureur Quakre QUATRE COINS ravisseur rien RIVAL PAR AMITIÉ sage sais seroit seul sieur sort Souscripteurs stilà tems Thalie Théatre THERES THERESE THIBAUT trictrac v'là vais VALENTIN Variétés Amusantes veux veux-tu VINDSOR vîte voilà voleur voulez-vous دو
Fréquemment cités
Page 12 - Aujourd'hui, ces messieurs font les petits-maîtres, les beaux esprits, parlent nouvelles, littérature, prennent le thé dans les cafés, et jugent définitivement et sans appel aux parterres de nos spectacles. Je ne veux plus chez moi de pareils freluquets. Maître Ronge-Fer mon confrère, qui depuis cinquante ans exerce avec honneur au bailliage de Falaise, m'a promis de m'envoyer un sujet unique, déjà célèbre dans tout le Haut et Bas Maine.
Page 38 - Jamais je ne pus parvenir à lui faire accepter une seule guinée. Enfin, après quatre jours de marche, nous entrâmes heureusement dans le port de Brest. Depuis ce moment, je me suis emparé de lui. Nous sommes venus ensemble à Paris. Nous logeons dans le même hôtel. Ma table est la seule chose que j'aie pu lui faire accepter. Nous ne nous quittons pas un instant. C'est le plus honnête homme que je connaisse, et c'est contre lui que je veux plaider.
Page 54 - ... de ma chère Thérèse. Tenez, Monsieur, voilà le reste de votre argent, je n'en ai plus besoin. Ayez bien soin de cette pauvre petite; aimezla autant que je l'aime. Adieu, Thérèse; oubliez-moi. Pour moi, je n'aurai pas long-tems à vous regretter. Adieu, M. Loyer; adieu, Monsieur; adieu, Thérèse.
Page 51 - ANDR E. Non. Tenez , je vais vous faire une proposition qui vous plaira peut-être. .Vous avez, dit-on, une fille au Couvent. M. POINTU. Oui, Monsieur. L Í ANDR E.
Page 40 - Est-il des plaisirs plus vrais ! Il n'est point d'âge pour les goûter. Lorsque l'hiver des ans nous glace , et ne permet plus à nos cœurs de battre à l'approche d'un objet charmant, où nous consolons-nous ? A la table. Qui nous réchauffe encore? C'est le vin. Le vin est le plus doux présent fait à l'humanité. L'homme n'est véritablement heureux qu'à la table. Il n'est charmant que lorsqu'il a une petite pointe de vin.
Page 31 - J'entends, un moment de foibleiTe, de diftraction. . . cela arrive tous les jours aux plus honnêtes gens. Mais quand on s'y prend comme vous, tout s'arrange. Voyons, expliquez-moi le fait.
Page 35 - ... pensois le moins , me saisissant à brasse - corps , se précipite avec moi dans la mer , à l'instant même où mon vaisseau saute et disparoît pour Toujours. Je dois rendre cette justice à vos Guerriers ; ce sont des lions dans le combat.
Page 59 - Un certain soit , dans la belle saison , « Voulut au bois, avec quelques compagnes , » Aux Quatre Coins jouer sur le gazon.
Page 24 - Font juste douze francs. Le compte est juste. Tiens, mon enfant, voilà douze autres francs pour cette semaine; ménage-les bien. JEANNETTE : Je ménage tant que je peux. M. POINTU : Tu as raison, mon enfant, tu as raison. Après la sagesse, rien ne sied mieux à une fille que l'économie. JEANNETTE : Je suis bien sage aussi. M. POINTU : Sois-la longtemps, Jeannette; conserve ton innocence et ta simplicité.
Page 6 - Pouvez-vous me reprocher mon incapacité ? M. POINTU. Non. Je suis juste : vous avez du talent; vous ne tournez pas mal une requête ; vous grossoyez fort bien ; vous entendez la chicane à merveille : enfin vous êtes un garçon parfait ¡ mais vous allez avoir la bonté de...