L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ce temps, Volume 4

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1776
 

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Fréquemment cités

Page 12 - Tu ne peux concevoir encore • Ce qui m'arrache ces fanglots. Que le chagrin qui me dévore, N'attaque jamais ton repos : . Se plaindre de ceux qu'on adore , . C'eft le plus grand de tous les maux...
Page 41 - Quels fuccès leurs talens femblent nous préfager ! Ceux-là font de leurs mains courir ce char léger Que roule un feul courfier fur une double roue ; Ceux-ci fur un théâtre, où leur mémoire échoue, En Bouffons
Page 29 - ce qu'il devoit attendre ? vous allez. »... — Ah ! l'on voit bien que vous » ignorez ce qui fe pafle en ces lieux... » dans mon cœur déchiré de mille » traits. Je vais ... je vais mourir à » l'autel... — Quoi ! fi Créqui n'eût » point fuccombé .... — Ciel ! que » ne peut-il renaître ! comme je
Page 41 - de langueur, Enfans efféminés de pères fans vigueur ; Et cependant, nourris des leçons de nos Sages, Vous les voyez encore, amoureux & volages,
Page 41 - en main, de Beautés en Beautés, La mort qui les attend au fein des voluptés ; De leurs biens, prodigués pour d'infâmes caprices
Page 45 - Eux feuls peuvent prétendre au rare privilège D'aller au Louvre, en corps, commenter l'Alphabet; Grammairiens-Jurés , immortels par brevet : Honneurs , richefle , emplois,
Page 358 - Célèbres, curieufes & intéreffantes , de toutes les Cours Souveraines du Royaume , avec les jugemens qui les ont décidées. 180
Page 45 - des volumes d'injures, Pour le trône des Arts, combattent par brochures : Mais plus forts par le nombre & vantés en tous
Page 31 - n'a que la force de tendre fa » main à fon époux, & de lui montrer » cette bague qu'elle a toujours » portée ; le Chevalier la couvre de
Page 220 - mourut. Une chofe aflez plaifante » à mon gré , c'eft que M. de Voltaire » reçut de Paris une invitation de fe » trouver à l'enterrement de ce

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