Bibliothèque raisonnée des ouvrages des savans de l'Europe, Volume 6Wetsteins & Smith, 1731 |
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Expressions et termes fréquents
affez ainfi ajoûte Anglois auffi auroit Auteur avoient avoit Barbeyrac Bayle befoin BERTAUDIN c'eft c'eſt caufe chofes Colonel compofé conferver confidérable connoiffance d'Andilly d'Ornano Dannemark deffein Dictionaire DIEU Difcours Differtation diverfes donner Edition efprit enfuite eſt étoient étoit eût fage faifoit fans fanté favoir fe trouve feconde felon femble fens fent feroit fervir feulement fimple foin foit font fous fouvent fuis fuite fuiv fujet Grace Hiftoire Hippocrate homme Ibid Journal des Sçavans jufqu'à jufte Jurieu l'Abbé l'Auteur l'Ecriture l'efprit l'Eglife l'Hiftoire là-deffus laiffer Lettre Livre Loix long tems Maizeaux maniére Maréchal d'Ornano Médecine Memoires ment Miniftre Monfieur n'avoit n'eft n'étoit néceffaire occafion Ouvrage paffage paffer pagg Païs parler paroît penfer perfonne Philofophie plaifir plufieurs plûtôt pouvoit préfent prefque premiere prémiers public Puylaurens Raifon refte Religion s'eft ſuiv Superftition tems Tetuan teur tion toûjours Traduction Traité ufage Vink Waterland
Fréquemment cités
Page 77 - ... m'envoya dire par M. de Modène que, comme il savoit que j'avois plus de pouvoir sur lui que qui que ce fût, il me prioit de lui écrire pour lui persuader de revenir à la cour. Je répondis que je ne le pouvois , parce que je savois les sujets de mécontentement. qu'il avoit , et qu'il étoit juste que ce fût par des effets plutôt que par des paroles que M. de Luynes lui témoignât son affection. M. de Luynes connut par cette réponse qu'il devoit se résoudre ou à rompre entièrement...
Page 291 - J'ai voulu lire ce que M. Jurieu a fait fur le même fujet , il ya bien de la différence. Le Livre de M. Bayle eft le Livre d'un honnête homme , & celui de M. Jurieu , celui d'une .vieille de Prêche.
Page 105 - Ion avarice fordide ; & l'on montroit qu'il avoit été fouvent convaincu de menfonge , de fraude & de perfidie. Aulu-Gelle avoit pris avec lui, pour juger ce procès, plufieurs de fes amis accoutumés au barreau , mais qui ne demandoient qu'à expédier, parce qu'ils avoient bien d'autres...
Page 79 - Ces raisons me firent dire à M. le colonel que je ne voyois point de différence entre cet éloignement et la ruine entière de sa fortune ; mais qu'étant indubitable que le refus d'obéir seroit suivi d'une prison, c'étoit à lui de se sonder lui-même pour voir s'il s'y pourroit résoudre. Comme il avoit un...
Page 100 - ... lût m'éloigner d'auprès de lui. Mais, monsieur, vous « êtes homme bon et homme d'honneur , et cela me « fait vous supplier de me promettre de lui dire que «je prie Dieu qu'il ne lui arrive pas souvent des « choses aussi préjudiciables à son service qu'est celle • « d'éloigner un aussi homme de bien que je suis. — « Je vous le promets , » me répondit M. d'Ouailly , extrêmement touché et ayant presque les larmes aux yeux ; et comme c'étoit un très-brave gentilhomme , et très-homme...
Page 360 - Je chante la défobéïflance du premier hom„ me , & les funeftes effets du fruit défendu, „ la perte d'un Paradis, & le mal & la mort, „ triornphans fur la terre , jufqu'à ce qu'un „ Dieu-homme vienne juger les Nations , & „ nous rétabliflè dans le féjour bienheureux".
Page 91 - ... par moi. Ainsi M. le colonel ne pouvant plus résister à cette tentation domestique fortifiée par M. de Chaudebonne qui, bien que mon ami, comme je l'ai dit, désiroit d'avoir part à la confiance de Monsieur ; et M. le président Le Coigneux faisant jouer toute sorte de ressorts pour venir à ses fins, il changea tout d'un coup de conduite à mon égard. Il cessa et fit que Monsieur cessa aussi d'avoir confiance en moi. Il ne me parloit plus que de choses indifférentes , ne prenoit plus soin...
Page 47 - Public ne fe pre",, vienne pas contre ces changemcns , & ne ,, blâme pas la liberté de ma Traduction , je „ dois l'avertir que je n'ai rien fait qu'avec „ l'approbation & fous les yeux de l'Auteur.
Page 95 - ... aussitôt après la détention de M. le maréchal d'Ornano, sans savoir que c'étoit Monsieur qui m'y envoyoit, joignant à cela le refroidissement que M. le maréchal d'Ornano avoit eu pour moi, s'imaginoient que j'avois su le dessein de l'arrêter ; et il y en avoit même quelques-uns qui disoient qu'il y avoit grande apparence que je ne lui avois pas rendu de fort bons offices. J'étouffai ces discours , et leur fermai la bouche, en disant hautement et publiquement que , pendant que j'avois...
Page 93 - ... moi , et par lui de celui de Monsieur, le considéra dès lors plutôt comme son ennemi que comme son ami. Mais sachant quelle étoit mon affection pour M. le colonel , il ne m'en témoigna rien , ni ne m'en fit jamais témoigner la moindre chose; et rien n'étant capable de m'empêcher de servir de tout mon pouvoir M. le colonel , je continuai avec la même ardeur qu'avant de solliciter M. le cardinal touchant la charge de maréchal de France, et l'en pressai de telle sorte, qu'enfin il me donna...