Mercure de France au dix-neuvième siècle

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1782
 

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Fréquemment cités

Page 216 - Je me flattais toujours d'une espérance vaine, Faisant le chien couchant auprès d'un grand seigneur. Je me vis toujours pauvre, et tâchai de paraître ; Je vécus dans la peine, espérant le bonheur, Et mourus sur un coffre, en attendant mon maître.
Page 97 - Anglcis , par une Société de Gens de Lettres; nouvellement traduite en François par une Société de Gens de Lettres ; enrichie de Figures & de Cartes.
Page 192 - Dame étoit folle. Il s'envola plus loin. Eh bien donc ! que mes gens Tâchent de l'engager à revenir céans , Et je lui donne ma parole Qu'il fera libre déformais. Libre ! eh ! ne l'eft-il pas , dit l'un d'entre eux encore Eifayons cependant : mais ce fut fans fuccès.
Page 221 - Nouveau ( Voyage ( en ( Espagne ( fait en 1777 et 1778 | dans lequel on traite des Mœurs, du Carac(tère, des Monuments anciens et modernes, ( du Commerce, du Théâtre, de la Légis(lation des Tribunaux particuliers à ce ( Royaume, et de l'Inquisition; avec de I nouveaux détails sur son état actuel, et | sur une procédure récente et fameuse, ( à Londres ( chet P.
Page 192 - ... dame il faudrait quelques grains d'ellébore. Qu'ai-je besoin de ses bienfaits? Sers-la, toi, c'est ton lot, rampe sous sa puissance. Moi, je chéris l'indépendance, Et vivent les chardonnerets! Une fois hors de cage, ils n'y rentrent jamais. » D'un tableau qui paraît choquer la vraisemblance, Permis à qui voudra de s'appliquer les traits. Sur le nom de la dame on voit que je me taia : Honni soit donc qui mal y pense.
Page 76 - Ci-gît un fameux cardinal Qui fit plus de mal que de bien Le bien qu'il fit, il le fit mal Le mal qu'il fit, il le fit bien.
Page 44 - ... dans les préjugés, il a conservé le même caractère avec sa constitution et son climat. Ici, un peuple transplanté a changé de mœurs comme de pays; là, il a porté avec lui son caractère, et ni le temps, ni...
Page 75 - Par le malheur instruit, dès ses plus jeunes ans, Cher au peuple, à l'armée , au prince, à la victoire ; Redouté des Anglais . haï des courtisans , II ne manqua rien à sa gloire.
Page 41 - ... l'on peut dire que le plus grand bienfait des princes à leur égard, a été de les rendre indépendantes de leur puissance.
Page 188 - Alors voici , d'un pas craintif & prompt , ' venir ma mie , & fa bouche tant belle cueillir , pomper un baifer fur mon front , qui, bienheureux, fe trouvoit plus près d'elle. / Et ce baifer , tant fut...

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