. le jour où j'aurai assez de cette chère amie, je lui dirai ~! am SEage, юр 1ф biefer lieben greunbin überbrüffig fein шегЬе, юегЬе id) i^r anrufen: çafdjoll! Parisismen - Page 302de Césaire Villatte - 1888 - 306 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Xavier de Montépin - 1856 - 382 pages
...que réponds-tu?.. "— Tout ce qu'elle veut... — C'est politique. — Du Talleyrand.tout pur !.. le jour où j'aurai assez de cette chère amie, je lui dirai : zut !.. avec accompagnement de clarinette en la mineur. — Scélérat de roué, va !.. — C'est... | |
| Lucien Rigaud - 1878 - 382 pages
...diable! — Ah! zut alors. « Zut pour le naturel. » (Clairville et Siraudin, Le Mot de la fin.) « Le jour où j'aurai assez de cette chère amie, je lui dirai zut. a (X. de Montépin, Les Viveun de Paris.) Il ya cinquante ans, pour donner plus de force au zut... | |
| Cesaire Villatte - 1884 - 264 pages
...na, baä fehlte поф! -- ! SDaâ wirb mir über! SSerbufte! Seeî' mir im Зírfфe! к., j. ». le jour où j'aurai assez de cette chère amie, je lui dirai ~! ат Жаде, юр {ф biefer lieben greunbin überbrüffig fein toerbe, шегЬе ¡ф i^r jurufen:... | |
| |