L'Orléanais, histoire des ducs et du duché d'Orléans

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Mallet, 1845 - 475 pages
 

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Fréquemment cités

Page 226 - Dieu pour prêter secours à vous et à votre royaume; » et vous mande le roi des cieux par moi, que vous » serez sacré et couronné en la ville de Reims , et serez » lieutenant du roi des cieux, qui est roi de France.
Page 187 - Charles, duc d'Orléans et de Valois, comte de Blois et de Beaumont et seigneur de Coucy : Philippe, comte de Vertus, et Jean , comte...
Page xix - ... de la ville d'Orléans, qui porte de gueules à trois cœurs de lis d'argent, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or. « Au commencement de ce siècle, Schiller, qui venait de faire représenter son drame...
Page 222 - Il courait depuis un temps une certaine prophétie qu'on disait même tirée des livres de l'enchanteur Merlin, et qui annonçait que la France, perdue par une femme, serait sauvée par une femme. Il paraissait bien en effet que la reine Isabelle avait jeté le royaume à sa perte en le livrant aux Anglais; mais qui viendrait le délivrer?
Page 213 - ... renversèrent leurs masses. Alors Berri, roi d'armes de France , cria sur la fosse : « Dieu veuille avoir pitié de l'âme de très-haut et très-excellent prince Charles , roi de France , sixième du nom, notre naturel et souverain seigneur. » Ensuite il reprit : « Dieu accorde bonne vie à Henri par la grâce de Dieu , roi de France et d'Angleterre , notre souverain seigneur*.
Page 463 - France je ne puis plus vous transmettre d'ordres en son nom et il ne me reste qu'à vous dégager de l'observation de tous les ordres que je vous ai transmis et à vous recommander de faire tout ce que votre excellent jugement et votre patriotisme si pur vous suggéreront de mieux pour les intérêts de la France et de vous conformer à tous les devoirs que vous avez à remplir.
Page xxxvii - ... être quatre amours, si on ne leur avait point arraché les ailes. Le bon apôtre de roi fait là le saint homme , et est bien mieux pris, que quand le Bourguignon le mena à Liège.
Page 202 - Oui, répliqua-t-il, j'ai voulu jeûner. — Mon cousin, faites bonne chère , ajouta doucement le roi ; si Dieu m'a accordé la grâce de gagner la victoire sur les Français , je reconnais qu'elle n'est pas due à mes mérites. Je crois que Dieu a voulu les punir, et si ce que j'en ai ouï dire est vrai , il ne faut pas...
Page 406 - Alors elle traverse les rues, un bouquet de paille à la main , en criant : « Que ceux qui ne sont pas Mazarins prennent la paille, sinon ils seront saccagés. » Le peuple se précipite sur ses pas; on fait entrer les blessés et les bagages du prince ; la ville se trouve ainsi déclarée contre le roi.
Page 176 - ... des maux encore pires, à cause de la grande puissance du duc de Bourgogne, grande en apparence, petite en réalité, on peut répondre que le duc de Bourgogne n'est rien en comparaison de la puissance royale. Quelle puissance at-il, fors celle que tu lui as donnée et que tu souffres qu'il ait? Justice et vérité, quelque tardives qu'elles soient, à la fin et par la grâce de Dieu, sont et demeurent maîtresses, et il n'ya rien encore de plus sûr que de travailler pour justice et vérité....

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