| Brillat-Savarin - 1834 - 510 pages
...nous surprendre au moment où on s'y attend le Je partais pour la France ; je quittais lesEtatsUnis après trois ans de séjour; et je m'y étais si bien...que je demandai au ciel (et il m'a exaucé) dans ces momens d'attendrissement qui précèdent le départ, fut de ne pas être plus malheureux dans l'ancien... | |
| Brillat-Savarin - 1834 - 812 pages
...tranquillité. SÉJOUR EN AMÉRIQUE. BATAILLE. Je partais pour la France ; je quittais lesÉtatsUnis après trois ans de séjour; et je m'y étais si bien...que je demandai au ciel (et il m'a exaucé) dans ces momens d'attendrissement qui précèdent le départ, fut de ne pas être plus malheureux dans l'ancien... | |
| Brillat-Savarin - 1842 - 500 pages
...surprendre au moment où on s'y attend le moins. Je partais pour la France, je quittais les États-Unis après trois ans de séjour, et je m'y étais si bien...arrivé parmi les Américains, je parlai comme eux ', je m'habillai comme eux, je me gardai bien d'avoir plus d'esprit qu'eux, et je trouvai bon tout... | |
| Brillat-Savarin - 1842 - 524 pages
...surprendre au moment où on s'y attend le moins. Je partais pour la France, je quittais les États-Unis après trois ans de séjour, et je m'y étais si bien...l'avais principalement dû à ce que, dès que je fus arnvé parmi les Américains, je parlai comme eux ', je m'habillai comme eux, je me gardai bien d'avoir... | |
| Brillat-Savarin - 1864 - 506 pages
...je partis pour les États-Unis, où je trouvai un asile, du travail et de la tranquillité. SEJOUR EN AMÉRIQUE. BATAILLE. Je finis ce chapitre en racontant...bonheur, je l'avais principalement dû à ce que, dès (pie je fus arrivé parmi les Américains, je parlai comme eux ', je m'habillai comme eux, je me gardai... | |
| C. J. A. M. de Colnet du Ravel - 1870 - 530 pages
...surprendre aumoment où on s'y attend le moins. Je partais pour la France, je quittais les États-Unis après trois ans de séjour, et je m'y étais si bien...arrivé parmi les Américains , je parlai comme eux *, je m'habillai comme eux, je me gardai bien d'avoir plus d'esprit qu'eux, et je trouvai bon tout... | |
| Paul Hazard, Fernand Baldensperger - 1922 - 756 pages
...se rend à Philadelphie pour s'y embarquer et rentrer dans son pays. « Je quittais les ÉtatsUnis après trois ans de séjour, et je m'y étais si bien...arrivé parmi les Américains, je parlai comme eux, je m'habillai comme eux, je me gardai bien d'avoir plus d'esprit qu'eux et je trouvai bon tout ce qu'ils... | |
| 1922 - 662 pages
...musicales. En 1907, il s'embarque à Philadelphie pour l'Europe. «Je quittais les Etats-Unis, dit-il, après trois ans de séjour, et je m'y étais si bien...arrivé parmi les Américains, je parlai comme eux, je m'habillai comme eux, je me gardai bien d'avoir plus d'esprit qu'eux et je trouvai bien tout ce... | |
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