Bibliothèque impartiale [by J.H.S. Formey]., Volume 21754 |
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Expressions et termes fréquents
affez affurément aifé ainfi aprés ARTICLE auffi auroit avoient avoit Bible c'eft c'eſt caiffe caufe ceffe Chariton chofe Cilindre Clergé Concile de Trente conféquent confiderables corps deffus derniere differentes diftinguer écou Edition efprit enfuite eſt Etats étoient étoit Evêques fans fe font fe trouve fecond fecret felon femence fens fentiment fépare feroit fervir feulement fimple fingulier foient foin foit fous fouvent ftans fuffit fuis fuite fuivant fuivre fujet fyftème gens Hiftoire homme incardiné intereffant j'avois Julien l'Auteur l'efprit l'Eglife l'Hiftoire laiffe Lettres Loix longtems maniere ment merite mœurs Monfieur n'avoit n'eft n'eſt n'etoit Nature néceffaire Obfervations occafion octavo œufs Ouvrage paffer païs paroit particuliere penfer perfonne peuples Philofophie Phyfique plaifir plufieurs Poëme Poëte poffible pourroit préfente prémier premiere Priam Prince principes Profeffeur puiffe quarto queftion raifon renfer Rouffeau s'eft Sixte tems teur tion ufage Verfion verité Volume vuë Zumbo دو
Fréquemment cités
Page 31 - L'ESCLAVAGE, proprement dit, est l'établissement d'un droit qui rend un homme tellement propre à un autre homme, qu'il est le maître absolu de sa vie et de ses biens. Il n'est pas bon par sa nature...
Page 10 - Charlottenbourg étoit le rendez -vous des gens de goût; toutes fortes de divertiflemens & de fêtes variées à l'infini rendoient ce féjour délicieux & cette Cour brillante. . SOPHIE CHARLOTTE avoit l'ame forte; fa Religion étoit épurée, fon humeur douce, fon efprit orné de la lefture de tous les bons Livres François & Italiens.
Page 26 - Proteftans , obligés de réfléchir fur des matieres de foi, fe dépouillerent tout d'un coup des préjugés de l'éducation, & fe virent en liberté de fe fervir de leur raifon, de ce guide qui eft donné aux hommes pour les conduire , & dont au moins ils devroient faire ufage pour l'objet...
Page 429 - Coquette , libertine , et peut-être friponne , Quelque nom odieux qu'en ces vers je te donne , Je sens , dans le moment que l'on doit t'abhorrer, Que mon cœur hormis toi ne trouve rien d'aimable ; Et par un charme inconcevable, Avec ce qui rendrait une autre abominable, Tu trouves le moyen de te faire adorer.
Page 228 - Le Spectateur, ou le Socrate moderne, où l'on voit un portrait naïf des mœurs de ce siècle, traduit de l'anglais (de Steele et Addison).
Page 8 - Sacre on obferva qu'il fe mit lui-même la Couronne fur la tête. Il créa en mémoire de cet événement l'ordre des Chevaliers de l'Aigle noir. Le Public ne pouvoit cependant pas revenir de la prévention dans laquelle il étoit contre cette Royauté. Le bon fens du vulgaire défiroit une augmentation de puifîànce avec une augmentation de dignités.
Page 24 - & en envoïoient le produit à Rome: les Miracles devinrent à la fin fi fré,quens (*•) , que les Auteurs rapportent qu'il tomba l'année 1500. une pluie de croix rouges & blanches fur tous les paflans ; on trouva même de ces croix dans le pain, ce qui fut regardé comme le préfagé d'un grand* malheur. LE fiécle que Leon X. illuftra en Italie...
Page 378 - La terreur nous resserre le cœur, parce que nous craignons pour nous le malheur que nous voyons dans les autres: mais cette crainte est...
Page 15 - Voifins étoient ravagés par la guerre; pour avoir eu le cœur naturellement bon; & fi l'on reut, pour n'avoir pas donné d'atteintes à la vertu conjugale: enfin il étoit grand dans les petites, chofes, & petit dans les grandes; & fon malheur a voulu qu'il fût placé dans l'Hiftoire entre un Pere & un Fils, dont les talens fupérieurs le font éclipfer. ti' • FRÉDÉRIC GUILLAUME •"'•••"•••'••' SECOND ' : ; .
Page 33 - C'eft un des. malheurs de Ces pays , que la plus grande partie de la, nation n'y foit faite que pour fervir à la volupté de l'autre. Cette fervitude...