Bibliothèque des mémoires relatifs à l'histoire de France pendant le 18e et le 19e siècle, Volume 301875 |
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 183 - ... m'avaient reçu et applaudi : je venais rappeler à la majorité ses volontés , et l'assurer de son pouvoir. » Les stylets qui menaçaient les députés sont aussitôt levés sur • leur libérateur ; vingt assassins se précipitent sur moi , et cherchent ma poitrine; les grenadiers du corps législatif, que j'avais laissés à la porte de la salle , accourent , et se mettent entre les assassins et moi.
Page 84 - S'il faut s'expliquer tout à fait, s'il faut nommer les hommes, je les nommerai, Je dirai que les directeurs Barras et Moulins m'ont proposé de me mettre à la tête d'un parti tendant à renverser tous les hommes qui ont des idées libérales.
Page 176 - II n'ya plus de Directoire et ne sont plus membres de la représentation nationale, pour les excès et les attentats auxquels ils se sont constamment portés et notamment le plus grand nombre d'entre eux, dans la séance de ce matin, les individus ci-après nommés.
Page 177 - Ces changements ne peuvent avoir pour but que de consolider, garantir et consacrer inviolablement la souveraineté du peuple français , la République une et indivisible , le système représentatif...
Page 261 - Et si quelque orateur, payé par l'étranger, parlait de me mettre hors la loi , qu'il prenne garde de porter cet arrêt contre lui-même ! S'il parlait de me mettre hors la loi, j'en appellerais à vous mes braves compagnons d'armes , à vous , braves soldats que j'ai tant de fois menés à la victoire ; à vous...
Page 180 - ... vous environne, et le corps législatif sait que vos âmes sont tout entières à la patrie. « Citoyens consuls, nous venons, avant de nous ajourner, de prêter le serment que vous allez répéter devant nous, le serment sacré de fidélité inviolable à la souveraineté du peuple, à la république française une et indivisible, à la légalité, à la liberté et au système représentatif Le silence le plus profond régnait dans la salle.
Page 315 - ... les factieux seront abandonnés des bons citoyens qu'ils abusent... Si vous n'avez pas ce courage, c'en est fait de la liberté. Je vois la guerre civile, qui déjà est allumée dans ma patrie, étendre partout ses ravages, et déchirer la France en petits états; je vois l'horrible monstre de la dictature ou de la tyrannie , sous quelque nom que ce soit , s'avancer sur des monceaux de ruines et de cadavres, vous engloutir successivement les uns et les autres, et renverser la république.
Page 247 - ... enfin, à sa nullité au dedans, l'administration joint le tort le plus grave qu'elle puisse avoir aux yeux d'un peuple fier, je veux dire l'avilissement au dehors, alors une inquiétude vague se répand dans la société, le besoin de sa conservation l'agite, et promenant sur ellemême ses regards, elle semble chercher un homme qui puisse la sauver.
Page 157 - Cromwell, on répand que je veux établir un gouvernement militaire. « Représentants du peuple, si j'avais voulu opprimer la liberté de mon pays, si j'avais voulu usurper l'autorité suprême, je ne me serais point rendu aux ordres que vous m'avez donnés, je n'aurais pas eu besoin de recevoir cette autorité du Sénat. Plus d'une fois, et dans des circonstances extrêmement favorables, j'ai été appelé à la prendre.
Page 136 - La République est mal gouvernée depuis deux ans. Vous avez espéré que mon retour mettrait un terme à tant de maux ; vous l'avez célébré avec une union qui m'impose des obligations que je remplis : vous remplirez les vôtres et vous seconderez votre général avec l'énergie, la fermeté et la confiance que j'ai toujours eues en vous.