| Voltaire - 1777 - 562 pages
...a été fouvent imprimée, « J'ai vu la lettre que votre nièce vous écrit de Paris. L'amitié v qu'elle a pour vous lui attire mon eftime. Si j'étais...étant ce que je fuis , je » penfe autrement. Je ferais au défefpoir d'être caufe du malheur »> de mon ennemi ; & comment pourrais-je vouloir l'infortune... | |
| Charles Palissot de Montenoy - 1779 - 104 pages
...de les dépofer ici. Lettre du Roi de Pruffe à M. de Poltaire. " J'AI vu la lettre que votre niece vous écrit „ de Paris. L'amitié qu'elle a pour...lui attire „ mon eftime. Si j'étais Madame Denis, jepen„ ferais de niêîne ; mais étant ce que je fuis, je „ penfe autrement. Je ferais au défefpoir... | |
| Voltaire - 1785 - 478 pages
...Berlin , le 23 août ; lettre qui a tant couru depuis , et qui a été fouvent imprimée. » J'ai lu la lettre que votre nièce vous » écrit de Paris....penferais de même ; mais étant » ce que je fuis, je perife autrement. Jeferais 11 au défefpoir d'être caufe du malheur de » mon ennemi; et comment pourrais-je... | |
| Frederick II (King of Prussia) - 1789 - 286 pages
...un double mérijte, / LETTRE CCXXXIV. Du Roi. KerKn , ce 23 sngnfte 175». J .•••.• . . 'Ai vu la lettre que votre nièce vous écrit - - . ....' . • • •• mon eftime. Si j'étais madame pénis je penferais de même ; mais /étant ce que je fuis, je penfe autrement. Je ferais au défefpoir... | |
| Voltaire - 1792 - 430 pages
...chambre de fon nouvel hôte, dans le palais de Berlin, lez; août; lettre qui a tant couru depuis , et qui a été fouvent imprimée. £< J'ai vu la lettre...étant ce que je „ fuis, je penfe autrement. Je ferais au défef„ poir d'être caufe du malheur de mon ennemi, ,, et comment pourrais je vouloir... | |
| Frederick II (King of Prussia) - 1805 - 548 pages
...bonne grâce , acquiert un double mérite. LETTRE CCXXXIV. Du Roi. Berlin , ce 93 augufte 1/50. J 'Ai vu la lettre que votre nièce vous écrit de Paris....mais étant ce que je fuis, je penfe autrement. Je ferais au défefpoir d'être caufe du malheur de mon ennemi , 6V comment pourrais-je vouloir l'infortune... | |
| Voltaire - 1820 - 546 pages
...de Berlin , le a3 août ; lettre qui a tant couru depuis, etqui acté souvent imprimée: « J'ai lu la lettre que votre nièce vous écrit de » Paris. L'amitié qu'elle a pour vous lui attire mon » estime. Si j'étais madame Denis, je penserais de » même; mais étant ce que. je suis, je pense... | |
| Johann David Erdmann Preuss - 1838 - 428 pages
...177. auf ©ans* Souci an 3Soltaite auf @ait$í (Souci. 23. Slugufl 1750. J'ai vu la k'ttre que voire nièce vous écrit de Paris. L'amitié qu'elle a pour vous lui attire mou estime. Si j'étois Madame Denis je penserois de même; mais étant ce que je suis, je pense autrement.... | |
| Camille Paganel - 1847 - 570 pages
...envoyée de la chambre du monarque, dissipa toutes ses craintes : « J'ai lu, lui mandait Frédéric, la lettre que votre nièce vous écrit de Paris. L'amitié qu'elle a pour vous lui attire mon estime. Si j'étais madame Denis, je penserais de même; mais, étant ce que je suis, je pense autrement.... | |
| Frederick II (King of Prussia) - 1853 - 780 pages
...chez Sandcr, i8o3, in-4. p. 89. b Voltaire arriva à Potsdam le io juillet. Berlin, 23 ,-ioîït i75o. J'ai vu la lettre que votre nièce vous écrit de...Paris. L'amitié qu'elle a pour vous lui attire mon estime. Si j'étais madame Denis, je penserais de même; mais étant ce que je suis, je pense autrement.... | |
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