Mercure françias1778 |
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Expressions et termes fréquents
affemblée affez affure ainfi Anglois armée auffi auroit avoient avoit Barmécide Bavière befoin bleffés Bohême Breft c'eft c'eſt Calife canons caufe chofe circonftances Comte Comte d'Orvilliers Confeil conféquence conferver confidérable Congrès connoiffances connoître déja difpofitions Duchaffault écrit-on efprit ennemis eſt Etats étoient étoit faifant fans doute fe font feconde fecours felon femble Fénélon fens fent fera feroit fervice fervir feul flotte foit fomme fous fouvent François frégate fucceffion fuccès fuis fuite fuivant fujet fur-tout Général Gluck Grande-Bretagne Guernesey guerre Haut-Palatinat hommes intéreffantes jufqu'à juftice l'Amérique l'Amiral Keppel l'armée l'Auteur l'efcadre l'efprit l'Electeur laiffe lefquels lettre loix lorfque Maréchal de Broglie Mercure Miniftre Motte mufique n'avoit n'eft néceffaires obfervations ordre paffer Palatin paroît penfer perfonnes Philadelphie plaifir plufieurs Poëte pofition pouvoit préfent prefque prife Prince propofe Pruffe Pruffienne Puiffances puiffe raifon Ratisbonne réfolution refpectifs refte Royale Ruffie s'eft ſon talens tems tion troupes vaiffeaux
Fréquemment cités
Page 112 - Que la trompette du jugement dernier sonne quand elle voudra, je viendrai, ce livre à la main, me présenter devant le souverain juge. Je dirai hautement : Voilà ce que j'ai fait, ce que j'ai pensé, ce que je fus.
Page 44 - N'attendez point de moi de regrets, ni de larmes ; Un grand cœur à ses maux applique d'autres charmes. Les faibles déplaisirs s'amusent à parler, Et quiconque se plaint cherche à se consoler. Moi, je jure des dieux la puissance suprême...
Page 112 - Si la nature a bien ou mal fait de briser le moule dans lequel elle m'a jeté, c'est ce dont on ne peut juger qu'après m'avoir lu. Que la trompette du jugement dernier sonne quand elle voudra, je viendrai, ce livre à la main, me présenter devant le souverain juge.
Page 27 - Le charme le plus touchant de ses ouvrages est ce sentiment de quiétude et de paix qu'il fait goûter à son lecteur ; c'est un ami qui s'approche de vous, et dont l'âme se répand dans la votre ; il tempère, il suspend au moins pour un moment vos douleurs et vos peines; on pardonne à l'humanité tant d'hommes qui la font haïr, en faveur de Fénélon qui la fait aimer. Le peu d'écrits qu'il a laissés sur la littérature est plein de goût, de finesse et de lumières. Nourri de la lecture des...
Page 121 - Mercure de France, dédié au roi par une société de gens de lettres, contenant le journal politique des principaux...
Page 304 - Traité complet sur la fabrication et le commerce du pain, par M. Parmentier, pensionnaire de l'Hôtel royal des Invalides, membre du Collège de pharmacie de Paris, de l'Académie des sciences de Rouen et de celle de Lyon, démonstrateur d'histoire naturelle.
Page 227 - Le 16 du mois dernier, LL. MM. & la Famille Royale fignèrent le contrat de mariage du Comte de Charlus , Capitaine au régiment de Schomberg , avec la Comtefle de Guynes, Dame de Remiremont.
Page 44 - Cornelie , tenant les ceri^' dres de Pompée. Nous mettrons ce dernier morceau fous les yeux du Lecteur. O vous ! à ma douleur objet terrible & tendre, Éternel entretien de haine & de pitié , Reftes du grand Pompée , écoutez fa moitié. N'attendez point de moi de regrets ni de larmes ; Un grand cœur à fes maux applique d'aurrcs charmes.
Page 46 - A Paris , chez Monory , Libraire de SAS Mgr. le Prince de Condé , rue & vis-à-vis l'ancienne Comédie Françoifê , 1777.
Page 127 - Europe galante. Campra, qui n'avait fait encore que des messes et des motets pour la cathédrale de Paris, transfuge comme La Motte du sacré au profane , mit cet opéra en musique, et fut si enivré, ou plutôt si perverti par le succès, que...