Traité élémentaire d'astronomie physique. Avec des additions relatives a l'astronomie nautique par m. de Rossel. 5 tom. [and] Atlas, Volume 5

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Page ii - Traités sont remplies dans les divers États avec lesquels la France a conclu des conventions littéraires. Tout exemplaire du présent Ouvrage qui ne porterait pas , comme cidessous, la griffe du Libraire-Éditeur, sera réputé contrefait.
Page ii - Traités internationaux, toutes contrefaçons, soit du texte, soit des gravures, ou toutes traductions faites au mépris de leurs droits. Le dépôt légal de cet ouvrage a été fait à Paris...
Page ii - In-8° 7 fr. 5o c. l'Auteur et l'Éditeur de cet ouvrage se réservent le droit de le traduire ou de le faire traduire en toutes les langues.
Page 311 - ... la longitude moyenne du premier satellite , moins trois fois celle du second , plus deux fois celle du troisième. En même temps, elle a donné naissance à une inégalité périodique qui dépend de la petite quantité dont les moyens mouvemens s'écartaient primitivement du rapport que nous venons d'énoncer.
Page 134 - Il se fortifia dans cette pensée par les considérations physiques el métaphysiques les plu* étranges. Il la soumit à une multitude d'épreuves pénibles, qui se montraient toujours infructueuses, sans jamais le décourager. Enfin il eut le bonheur, bien mérité, de l'établir comme un fait rigoureux , par des preuves complètes et indubitables, quand il eut reconnu que l'orbite décrite n'était pas un cercle, mais une ellipse dont le soleil occupe un des foyers. 69. Je rendrai bientôt compte...
Page 190 - ... force, inhérente aux particules matérielles qui constituent l'universalité des corps planétaires. La troisième loi de Kepler, en vertu de laquelle les carrés des temps des révolutions des planètes sont proportionnels aux cubes de leurs moyennes distances au soleil, fournit à Newton le moyen de démontrer cette identité.
Page 111 - |nant, dont les éléments étaient calculés de manière à satisfaire aux oppositions de cette planète observées par Tycho; et j'ai dit comment ce manque de succès l'avait conduit à soupçonner que l'orbite réelle pouvait bien ne pas être un cercle exact. Après qu'il (*) Tout le détail de son calcul est présenté avec une parfaite clarlc dans l'Asironomie de Schubert, tome II, pages i(i?.-ifi5.
Page 381 - La plus petite -J-ç, si la densité des couches, infiniment petite près de la surface, va en croissant à l'infini de la périphérie au centre. Dans la même supposition, la pesanteur apparente à la surface de tous ces sphéroïdes va en croissant, de l'équateur au pôle, proportionnellement au carré du sinus de la latitude; et la quantité totale de cet accroissement est déterminée par la condition suivante : Soit P? l'intensité de la pesanteur apparente au pôle, P0 cette intensité à...
Page 15 - ... de leurs révolutions sidérales , et les longueurs des grands axes de leurs ellipses, pour mettre en évidence la troisième loi de Kepler, qui lie tous, les éléments séparés de notre système planétaire en un seul faisceau. Tel est le plan que je me suis tracé, et que je nie propose de remplir dans les chapitres qui vont suivre. CHAPITRE III. Détermination des mouvements révolutifs moyens que les cinq planètes exécutent autour du centre du soleil. SECTION I. — Considérations préliminaires.
Page 152 - Kepler pouvait disposer, et les difficultés matérielles qu'il avait à en trouver dont la combinaison pût lui donner les rayons vecteurs héliocentriques , par la méthode de les appréciations jusqu'aux tractions de seconde, comme nous venons de le faire, il est commode d'employer les Tables de Bagay, qui donnent les logarithmes des sinus , cosinus , etc., explicitement de seconde en seconde , pour tous les degrés du quart de cercle. Cela facilite singulièrement l'évaluation des parties proportionnelles...

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