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" Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populations; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, J'ignore en les portant les noms des nations. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts... "
Byron et le romantisme français: essai sur la fortune et l'influence de l ... - Page 321
de Edmond Estève - 1907 - 560 pages
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Revue nationale et étranǵre, politique, scientifique et littéraire, publ ...

Revue nationale et étrangère - 1864 - 604 pages
...Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, « J'ignore en les portant les noms des nations. « On me dit une mère et je suis une tombe. « Mon hiver...« Avant vous j'étais belle et toujours parfumée; « J'abandonnais au vent mes cheveux tout entiers, « Je suivais dans les cieux ma route accoutumée,...
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Les destinées: poëmes philosophiques

Alfred de Vigny - 1864 - 214 pages
...populations ; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre , J'ignore en les portant les noms des nations. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver...« Avant vous j'étais belle et toujours parfumée , J'abandonnais au vent mes cheveux tout entiers , . Je suivais dans les cieux ma route accoutumée,...
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Revue nationale et étrangère politique, scientifique et littéraire, Volume 16

1864 - 598 pages
...Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, « J'ignore en les portant les noms des nations. « On me dit une mère et je suis une tombe. « Mon hiver...« Avant vous j'étais belle et toujours parfumée; « J'abandonnais au vent mes cheveux tout entiers, « Je suivais dans les cieux ma route accoutumée,...
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Les contemporains: sér. Leconte de Lisle. José-María de Heredia. Armand ...

Jules Lemaître - 1886 - 350 pages
...populations ; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre; J'ignore en les portant les noms des nations. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver...comme son hécatombe, Mon printemps ne sent pas vos adorations1. Ainsi M. Leconte de Lisle : Pour qui sait pénétrer, Nature, dans tes voies, L'illusion...
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Les contemporains: sér. Leconte de Lisle

Jules Lemaître - 1885 - 346 pages
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Dix-neuvième siècle: études littéraires

Émile Faguet - 1887 - 580 pages
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Etudes Litteraires Sur Le Dixneuvieme Siecle

Émile Faguet - 1887 - 486 pages
...populations ; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre ; J'ignore en les portant le nom des nations. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver...Avant vous, j'étais belle et toujours parfumée; J'abandonnais au vent mes cheveux tout entiers, Je suivais dans les cieux ma route accoutumée, Sur...
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Poètes et romanciers

Elme-Marie Caro - 1888 - 390 pages
...populations ; Je ne distingue pas leur terrier de leur ccudre, J'ignore en les portant les noms des Nations. On me dit une mère, et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts comme une hécatombe, Mon printemps ne sent pas vos adorations. Voilà ce que dit cette voix triste et superbe....
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Études littéraires sur le dix-neuvième siècle

Émile Faguet - 1889 - 480 pages
...populations ; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre ; J'ignore en les portant le nom des nations . On me dit une mère, et je suis une tombe. Mon hiver...Avant vous, j'étais belle et toujours parfumée; J'abandonnais au vent mes cheveux tout entiers, Je suivais dans les cieux ma route accoutumée, Sur...
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Les contemporains: sér. Leconte de Lisle. José-María de Heredia. Armand ...

Jules Lemaître - 1889 - 344 pages
...populations ; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre; J'ignore en les portant les noms des nations. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver...hécatombe» Mon printemps ne sent pas vos adorations '. Ainsi M. Leconte de Lisle : Pour qui sait pénétrer, Nature, dans tes voies, L'illusion t'enserre...
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