Bibliothèque françoise ou Histoire littéraire de la France, Volumes 31 à 321740 |
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Expressions et termes fréquents
affés affez affurément aifé ainfi auffi auroit Auteur avoient avoit Bretagne c'eft c'eſt c'étoit caufe Cenfeurs chés chofes conféquent conferver confidérable confulter connoiffance Critique Cuper deffein déja Dieu Difcours différens Differtation Diodore de Sicile Ducs de Bretagne Ecrivain Edition efprit Egyptiens enfuite eſt étoient étoit fans doute favoir fe trouve fecond felon femblables femble fens fentiment feroit fervir feul fimple foin foit folide font fous fouvent François fuis fuite fuivi fujet fuppofe Goujet Hiftoire Hiftoriens homme jufqu'à jufte l'Ame l'Auteur l'efprit l'Hiftoire l'Idolatrie laiffa Lamech Lettres Livre Loix ment Monfieur Montgeron n'eft n'eſt néceffaire Obfervations paffage paffer Paffions parle paroit penfer perfonne Peuple Philofophie plaifir Pluche plufieurs poffible Polybe pouvoit préfent prefque prémier Préteurs Prince puiffe Quefteurs queftion raifon raport refte remarque rien Rodéric Rollin Rollon Romains Rome s'eft SAUZET ſon Systême tems teur tion Tite-Live ufage دو دو رو
Fréquemment cités
Page 334 - L'argent, l'airain, le fer amenèrent les vices; Ramène l'âge d'or, et qu'il dure à jamais. ÉPITAPHE DE JEAN-BAPTISTE ROUSSEAU G 'I-GIT l'illustre et malheureux Rousseau, Le Brabant fut sa tombe, et Paris son berceau. Voici l'abrégé de sa vie, Qui fut trop longue de moitié : II fut trente ans digne d'envie Et trente ans digne de pitié...
Page 24 - que nous vient cet art ingénieux De peindre la parole et de parler aux yeux , Et par les traits divers de figures tracées, Donner de la couleur et du corps aux pensées.
Page 137 - Au mépris de la richesse Des esclaves de la cour. J'y goûterai ma paresse , Et la douceur d'un beau jour; Si je n'y vois pas l'entrée De ma maison entourée D'une foule de flatteurs , J'y verrai les fleurs nouvelles Et leurs robes naturelles Me présenter leurs odeurs. Que je plains dans sa fortune L'homme à qui la vanité Et la grandeur importune Font haïr la vérité ! Sous le poids de l'ignorance , II gémit dans l'abondance, Ce maître absolu de tout, Et des plaisirs de sa vie Sent la fausseté...
Page 136 - ... vierges sacrées , Venez, sur l'émail des fleurs Que le soleil a parées* Des plus naïves couleurs, Dévoiler à notre vue Cette beauté toute nue Qui ne peut souffrir le fard ; Belle de ses propres charmes , Qui peut tout vaincre sans armes, Et qui sait plaire sans art. Tels du sein de la nature Sortent ces riches tableaux Dont la riante peinture A des traits toujours nouveaux. Tout l'art, quelque effort qu'il fasse N'en peut exprimer la grâce ; Et ces ouvrages parfaits • ( Tenant de leur...
Page 59 - Il ya pourtant bien des occasions où la langue n'est qu'une entre les grands et le peuple; et alors ce n'est pas pécher contre la noblesse que d'employer les termes ordinaires. Ce vers de Racine : * Madame, j'ai reçu des lettres de l'armée, est noble, quoique simple, parce que ce qu'il exprime ne peut être rendu que de la même façon, qui que ce soit qui le dise. Celui-ci du même : Pour bien faire, il faudrait que vous la prévinssiez, n'est pas assez noble, parce qu'on n'y sent pas autant...
Page 205 - Les Philosophes Chrétiens qui parlent sincèrement disent tout net qu'ils sont Chrétiens, ou par la force de l'éducation, ou par la grâce de la foi que Dieu leur a donnée, mais que la suite des raisonnements philosophiques et démonstratifs ne serait capable que de les rendre sceptiques à cet égard toute leur vie. »x. Cependant, Voltaire insère son allusion aux Philosophes Chrétiens...
Page 138 - S'achète par trop de soins : Le hasard l'oie et la donne , Et bien souvent l'abandonne A qui la mérite moins. Donc un vain désir m'excite A parvenir au séjour Que le vrai bonheur habite; Car, le chercher à la cour, Parmi tant de misérables Et d'infortunés coupables Qui gémissent dans les fers, C'est du monde en son enfance Vouloir trouver l'innocence Et le vrai calme aux enfers. Ah ! quel sentier solitaire Me présente tant d'appas? L'amitié simple et sincère ' Vient y conduire mes pas....
Page 138 - ... calme aux enfers. Ah ! quel sentier solitaire Me présente tant d'appas ? L'amitié simple et sincère Vient y conduire mes pas. Suivons cette aimable guide Pour arriver où réside La pure félicité : Mon sort sera doux et rare. Mais la trompeuse m'égare : Dieux ! que d'infidélité ! Dans le sein de l'indolence Cherchons du moins le repos , Et que mon indifférence Me mette à l'abri des maux. Mais quoi ! c'est sur ma paupière , De peur de voir la lumière , Mettre un funeste bandeau ; C'est...
Page 141 - ... l'humanité & des vertus morales. Je puis même dire que ces faits , joints à la réputation d'homme de bien , qu'il s'étoit confervée jufqu'à fon exaltation , prouvent de plus qu'un vrai attachement exclut toujours ce qu'on appelle débauche. Il eft poffible de dérober aux yeux du public une inclination.
Page 83 - Car la flatterie n'eftautre chofe qu'un commerce de menfonge , fondé d'un côté fur l'intérêt , & de l'autre fur la vanité. Le...