Quand nous habitions tous ensemble Sur nos collines d'autrefois, Où l'eau court, où le buisson tremble. Dans la maison qui touche aux bois, Elle avait dix ans, et moi trente ; J'étais pour elle l'univers. Oh ! comme l'herbe est odorante Sous les arbres... Gouttes de rosée: French lyric poems - Page 75de L. Pylodet - 1866 - 188 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| 1925 - 990 pages
...à Villequier, à drxneuf ans : Quand nous habillons tous ensemble Sur nos collines d'autrefois, Où l'eau court, où le buisson tremble, Dans la maison...bois, Elle avait dix ans, et moi trente; J'étais pourellu l'univers. Oh ! comme l'herbe est odorante Sous les arbres profonds et verls 1 • • Quand... | |
| 1856 - 472 pages
...douleurs ont commencé pour le poêle par la mort d'une fille chérie, dont l'image le suit partout. Elle avait dix ans et moi trente; J'étais pour elle...odorante Sous les arbres profonds et verts ! Elle luisait mon sort prospère, Mon travail léger, mon ciel bleu : Quand elle me disait : « Mon père!... | |
| Victor Hugo - 1858 - 284 pages
...Novembre 181G, jour des morts. IV Quand nous habitions tous ensemble Sur nos collines d'autrefois, Où l'eau court, où le buisson tremble, Dans la maison...les arbres profonds et verts! — Elle faisait mon sorl prospère, Mon travail léger, mon ciel bleu. Lorsqu'elle me disait ; « Mon père, » Tout mon... | |
| Victor Hugo - 1858 - 416 pages
...Novembre 1846, jour rtes morts. Quand nous habitions tous ensemble Sur nos collines d'autrefois , Où l'eau court, où le buisson tremble, Dans la maison..., et moi trente ; J'étais pour elle l'univers. Oh Lcorame l'herbe est odorante Sous les arbres profonds et verts ! Elle faisait mon sort prospère, Mon... | |
| Louis Veuillot - 1859 - 648 pages
...ravie, Rien qu'en m'aimant savait m'aider; C'était le bonheur de ma vie De voir ses yeux me regarder. Elle faisait mon sort prospère, Mon travail léger,...: Mon père, Tout mon cœur s'écriait : Mon Dieu ! Cette note pure revient presque toujours dans l'atmosphère sereine des affections de famille : Oh... | |
| Henriette de Witt - 1873 - 414 pages
...Sur nos collines d'autrefois, Où l'eau court, où le buisson tremble, Dans la maison qui touche au bois. Elle avait dix ans et moi trente ; J'étais...sort prospère, Mon travail léger, mon ciel bleu, Lors qu'elle me disait : Mon père ! Tout mon cœur s'écriait : Mon Dieu! A travers mes songes sans... | |
| Emil Pfundheller - 1875 - 382 pages
...ENSEMBLE. (Les Contemplations.) Quand nous habitions tous ensemble Sur nos collines d'autrefois, Où l'eau court, où le buisson tremble, Dans la maison...bleu. Lorsqu'elle me disait: «Mon père," Tout mon coeur s'écriait: «Mon Dieu!" A travers mes songes sans nombre, J'écoutais son parler joyeux, Et... | |
| James Parton - 1877 - 554 pages
...Sur nos collines d'autrefois, Où l'eau court, où le buisson tremble, Dans la maison qui touche au bois, Elle avait dix ans, et moi trente ; J'étais..."Mon père," Tout mon cœur s'écriait : "Mon Dieu !' À travers mes songes sans nombre, J'écoutais son parler joyeux, Et mon front s'éclairait dans... | |
| James Parton - 1877 - 548 pages
...Sur nos collines d'autrefois, Où l'eau court, où le buisson tremble, Dans la maison qui touche au bois, Elle avait dix ans, et moi trente ; J'étais...Mon père," Tout mon cœur s'écriait : "Mon Dieu !' Et mon front s'éclairait dans l'ombre A la lumière de ses yeux. Elle avait l'air d'une princesse... | |
| Victor Hugo - 1870 - 284 pages
...Novembre 1846, jour des Morts. LVI Quand nous habitions tous ensemble Sur nos collines d'autrefois, Où l'eau court, où le buisson tremble, Dans la maison...sort prospère, Mon travail léger, mon ciel bleu. 32 Lorsqu'elle me disait : « Mon père, » Tout mon cœur s'écriait : « Mon Dieu ! » A travers... | |
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