| Alfred de Vigny - 1882 - 358 pages
...roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populatious ; Je ne distingne pas leur terrier de leur cendre, J'ignore en les portant les noms des natious. On me dit une mère et je suis une tombe. Mou biver prend vos morts comme sou hécatombe.... | |
| Jules Lemaître - 1886 - 350 pages
...dans un langage superbe : Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis, les populations ; Je ne distingue pas leur terrier de...comme son hécatombe, Mon printemps ne sent pas vos adorations1. Ainsi M. Leconte de Lisle : Pour qui sait pénétrer, Nature, dans tes voies, L'illusion... | |
| Émile Faguet - 1887 - 486 pages
...entend dans ces vers : Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populations ; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre ; J'ignore en les portant le nom des nations. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe.... | |
| Elme-Marie Caro - 1888 - 390 pages
...sans entendre, A côté des fourmis les populations ; Je ne distingue pas leur terrier de leur ccudre, J'ignore en les portant les noms des Nations. On me...je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts comme une hécatombe, Mon printemps ne sent pas vos adorations. Voilà ce que dit cette voix triste et superbe.... | |
| Jules Lemaître - 1889 - 344 pages
...dans un langage superbe : Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis, les populations ; Je ne distingue pas leur terrier de...hécatombe» Mon printemps ne sent pas vos adorations '. Ainsi M. Leconte de Lisle : Pour qui sait pénétrer, Nature, dans tes voies, L'illusion t'enserre... | |
| Jean-Marie Guyau - 1889 - 464 pages
...roule avec dé.lain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populations; Je ne distinguo pas leur terrier de leur cendre. J'ignore en les portant...tombe. Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe, Mes printemps ne sont pas vus adorations. Avant vous j'étais lielleet toujours parfumée, J'abandonnais... | |
| Émile Faguet - 1889 - 480 pages
...•entend dans ces vers : Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populations ; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre ; J'ignore en les portant le nom des nations . On me dit une mère, et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts comme son... | |
| Anatole France - 1890 - 404 pages
...fourmis ies populations; Je ne distingue pas leur terrier de ieur cendre, J'ignore en ies portant ies noms des nations. On me dit une mère et je suis une...prend vos morts comme son hécatombe. Mon printemps n'entend pas vos adorations. Avant vous j'étais belle et toujours parfumée, J'abandonnais au vent... | |
| 1891 - 972 pages
...de la Nature à l'Homme? Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populations, Je ne distingue pas leur terrier de leur...hécatombe, Mon printemps ne sent pas vos adorations. Lucrèce même n'a rien écrit de plus beau, d'une beauté plus sombre; et Lucrèce n'a pas trouvé... | |
| Ferdinand Brunetière - 1892 - 378 pages
...de la Nature à l'Homme? Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populations, Je ne distingue pas leur terrier de leur...hécatombe, Mon printemps ne sent pas vos adorations. Lucrèce même n'a rien écrit de plus beau, d'une beauté plus sombre, et Lucrèce n'a pas trouvé... | |
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