Journal de Jehan Aubrion, bourgeois de MetzF. Blanc, 1857 - 550 pages |
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Journal de Jehan Aubrion, Bourgeois de Metz: Avec Sa Continuation Par Pierre ... Jean Aubrion Aucun aperçu disponible - 2017 |
Expressions et termes fréquents
ainssy allont aprez assavoir aulcuns aultres aussy avoient avoit blefz Borgoigne c'estoit ceulx chanoinne chevalx chière chlr cité compaignons conte cowe de vin dame devant disoit dobvoit dommaiges duc de Lorenne duc de Lorraine esté estoient estoit estre faicte faisoit femme filz firent fist florins Francois fuit gens Gornaix grant église hault heust iiij Item Jaicque Jehan Aubrion jour de jullet jour de jung jour de mars jusques justice l'an l'évesque l'ostel du Doien landemain Landremont lectres lesquelx logier Lorains Lucembourg maistre eschevin maix mess's Metz Michiel moix morut n'avoit Nicole de Heu nulz parroiches Phelippe piétons plux porte Serpenoise pourtant prindrent prins print qu'ilz quoy Roucel roy des Romains s'en allit Serrière tantost Thionville tousiours Touteffois Trèves Triève vignes viije jour vint vouloit xije jour xxiiije yawe ycelle ycelluy
Fréquemment cités
Page 384 - Lorain que les avoit defïiez et tous ses aidant, il leur garderait bien de faire ou de porter aucuns dommaiges aux subgés de chapitre, et n'en vouloit rien... » « Item, on dit temps que sr Robert de la Mairche estoit à Metz, il fit apoinctement avec les sieurs de la cité, tellement qu'il fut retenus et mis aux gaiges de la cité le terme de xx ans ; et dobvoit avoir chacun ans vjc frans de pencion de la cité. Et, s'on avoit affaire de luy, il dobvoit servir la cité à iijc chevalx...
Page 399 - Florence au-dessus de sa fente, tenant en ses mains en la dextre le sceptre royal, et à la sénestre la main de justice, et son ordre au col, et aura ses mains gantées; et en la droite aura un anneau d'or, en la portant plus haut sur la poitrine que la sénestre. Et au regard de ceux de la chapelle dudit seigneur, ils s'en iront devant d'un logis en autre, pour préparer les églises et luminaires, et autres choses nécessaires à recueillir le corps.
Page 373 - Et dit le sr roy qu'il y yroit en personne, et les gens d'église de ses pays et les nobles ly consentirent de lever sus leurs subgés, de chacun feu, ung florin de Rin, le fort portant le feible, pour une foix seullement (1...
Page 333 - Robert avoit poc à prendre sur luy, et qu'il trovoit beaucop de gens pour luy servir, pourtant que les pays du dit roy estoient grant, et qu'il y avoit beaucop à prendre, il estoit de nécessité au dit roy de avoir gens d'armes pour mectre en garnison sur lez frontières contre ledit sr Robert.
Page 333 - SG) comment ilz avoient tousiours bien forny et secourus en ses affaires et nécessité , et qu'il avoit alors guerre au sr Robert de la Mairche , qui n'estoit que ung simple chevalier, et quasy rien à priser selon la puissance du dit roy. Touteffois , pourtant que le dit s...
Page 385 - ... vint à Metz le mercredi des festes de Pasques ; et ainssy il fut bien espuriez du dit duc de Lorenne et de son entreprinse. Et, pour entendre qu'il estoit ainssy (2), Jennont le bastairt, capitainne du dit sr Robert, s'en venoit à Mets, un jour après que le dit sr Robert y fuit, — que de rien ne se gardoit, et que de la dite entreprinse n'avoit aucunement oy nouvelles ; car il se tenoit à Cédan , appartenant au dit sr Robert ; — les gens de la garde du dit duc de Lorenne le trouvont...
Page 279 - Mes, et illec à son de trompe publier sa trahison , signification de l'exécution de sa mort; puis après, à deux heures après midi...
Page 309 - Dont , se on ly heust onctroiez , la conséquence en heust peu estre dangereuse pour la cité , pour les habitans et pour tout le pays , et tous lez subges d'icelle ; car ons heust esté ennemis au roy de France, et en heust on peu avoir grant guerre on temps advenir. Outreplux...
Page 437 - Et ce fait, le dit menuz peuple efforce! les dit personnaiges et monta sur le hour tellement qu'il fuit tout bel au dit personnaiges de descendre, car il furent en grand...
Page 28 - ... et arriva peu de jours après à Edesse , où il fut accueilli par tous les citoyens avec beaucoup de témoignages de joie. Le prince d'Antioche, arrivé dans cette ville, apprit la captivité du comte Baudouin, malheur infligé par le ciel en punition de nos péchés. Il remit au seigneur Tancrède le soin de veiller à la sûreté de la ville et de tout le pays ; les habitans y consentirent , et Tancrède s'engagea à ne faire aucune difficulté pour remettre le gouvernement au seigneur Baudouin...