Journal helvétique: ou, Annales littéraires et politiques de l'Europe et principalement de la Suissela Société Typographique, 1773 |
Autres éditions - Tout afficher
Journal helvétique: ou, Annales littéraires et politiques de l'Europe et ... Affichage du livre entier - 1760 |
Journal helvétique: ou, Annales littéraires et politiques de l'Europe et ... Affichage du livre entier - 1773 |
Journal helvétique: ou, Annales littéraires et politiques de l'Europe et ... Affichage du livre entier - 1775 |
Expressions et termes fréquents
Adelinde affez affure aifément ainfi Arminius auffi Bauvin befoin belle bonheur c'eft c'eſt caufe ceffe chant Chéréa chofe confeil conferve confidérable confolation connaiffances déeffe deffein defirs deftins derniere dieux difcours Dublin efprit enfans eſt fage fageffe faint fans fcene fcience fe font fe trouve feconde fecours fefait femble fenfible fens fentiment fera fervir feul fiecle fimple fociété foins foit fommes fon cœur fouf fous fouvent fuis fuivant fujet fur-tout génie goût grace habitans Helvétius hiftoire hommes intéreffant j'ai Jean Hus jour jufqu'à juftice juge Junon l'amour l'auteur l'efprit l'hiftoire laiffe Lamon loix long-tems lorfque maniere miniftre n'eft néceffaire obferver paffer paffions penfer pere perfonnes philofophie plaifir plaifirs plufieurs poëte poffede Pologne préfent prefque premiere prince propofe Pruffe puiffances raffemblé raifon refte refufé réponſe Ruffie s'eft Sicile Suiffe talens tems théatre tion tranfporté vaiffeaux Vénus Voltaire yeux כל دو دو رو وو
Fréquemment cités
Page 34 - Voici comme on les traite. Au point du jour trois coups de fouet sont le signal qui les appelle à l'ouvrage. Chacun se rend avec sa pioche dans les plantations , où ils travaillent presque nus à l'ardeur du soleil. On leur donne pour nourriture du maïs broyé, cuit à l'eau, ou des pains de manioc; pour habit, un morceau de toile. A la moindre négligence, on les attache, par les pieds...
Page 66 - Je reçus Apollon comme on reçoit à table Un ami qui nous plaît , un convive agréable , Non comme un maître dur qui se fait obéir; II vint charmer ma vie, et non pas l'asservir.
Page 71 - Dont je fuis encor tout confus. Les plus beaux momens de ma vie Sont donc ceux que je n'ai point vus ! Vous avez orné mon image Des lauriers qui croiflent chez vous : Ma gloire en dépit des jaloux , Fut en tous les temps votre ouvrage. (17) L'inauguration de la ftatue de M. de Voltaire, lète célébrée chez mademoifelle Clairon, en oSobrc 177».
Page 65 - J'ai moins écrit que toi , j'ai voulu moins de gloire. J'arrivai moins brillant au temple de mémoire. J'aimai les voluptés , les jeux et le loisir : J'eus des momens d'étude , et des jours de plaisir. Né sous un ciel heureux , j'en sentis l'influence : J'abandonnai ma vie à la molle indolence : Et mon goût pour les arts , mes faciles talens, Variaient mon bonheur et servaient mes penchans.
Page 70 - Quand la terre asservie était à nos genoux , La langue des vainqueurs devint celle du monde : En chefs-d'œuvre des arts la France plus féconde , Par l'attrait des talens, par le charme des vers, Sans l'avoir subjugué règne sur l'univers. Vos drames éloquens, honneur de Melpomène, Monumens qui manquaient à la grandeur romaine, Charment vingt nations avides d'en jouir; Et vos voisins jaloux vous doivent leur plaisir.
Page 64 - ... police ; Je célébrai , peut-être avec quelque juftice. Cet efprit qui joignait tant de talens divers. Qui commandait au monde , & fe connut en vers. Que dis-je ? il pofleda cet art fi difficile.
Page 70 - Ge langage des Dieux qu'adopta Melpomène. Pour la première fois je t'écris dans le tien ; ' Daigne d'un étranger excufer l'entretien : Et fi j'ai bégayé la langue de Voltaire , Je vais le lire encor pour apprendre à mieux faire.
Page 89 - Peuples patient en telle fûreté , qu'ils ont porté leur argent à la main ; & quand j'aurai tout réduit , vous verrez mes deux Royaumes vivre en toute concorde , la Juftice fi bien réglée , qu'on ne fera durer les procès éternellement. En mon Pays de Béarn , j'ai...
Page 59 - RÉPONSE D'HORACE A VOLTAIRE. 1773. Au plus gai des vieillards, au plus grand des poètes. A l'Orphée attendu dans nos belles retraites Des champs...
Page 88 - J'ai vu ce matin les articles de votre traité , lefquels j'ai fignés , & vous prie de les recevoir , felon ma volonté déclarée en marge de chacun d'iceux . fans vous arrêter , que je n'ai limité .qu'à trois lieues à l'entour de vous , où j'ai défendu l'exercice de la religion prétendue réformée...