Journal encyclopédique ou universel, Volume 71791 |
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Expressions et termes fréquents
adreffe affemblées affez affurer ainfi Alcime auffi avoient avoit bafes barometre befoin c'eft C'eſt caufe chaux chofes citoyens compofé conféquence conferver confidérable conftitution connoiffance connoître Décret deftinée derniere difcours diffolution dit-il efpece enfans enfuite eſt étoient étoit expofé fable fagacité fage fans doute fçavoir fciences féance feconde fecret femble fenfible fens fent féparer fera feront fervir feul fidérable fimple fociété foin foit folution fommes font Formofe fous fouvent fouverains François fuccès fuivant fujet fupérieur furtout hommes j'avois jufqu'à jufte l'acide l'Affemblée Nationale l'air l'alkali l'athmoſphere l'auteur l'eau l'efprit-de-vin l'Eglife l'hiftoire laiffé loix longtems lorfque lumieres maffe maniere mêlange ment mercure mife miniftres Mirabeau n'eft n'étoit Nation néceffaires obfervations oifeaux paffer pafteur paroît Paul penfe perfonne Peuple plufieurs poffible pofte préfent prefque premiere prince profeffeur propofe Pruffe puiffe queftion raifon refte s'eft tems tion Virginie
Fréquemment cités
Page 23 - L'ignorance est l'attribut primitif de l'homme brut et isolé : dans la société, elle est la plus funeste infirmité des hommes; elle y est même un crime, parce que les hommes, étant doués d'intelligence doivent s'élever à un ordre supérieur à l'état des brutes; elle y est un crime énorme par son délit, car l'ignorance est la cause la plus générale des malheurs du genre humain et de son indignité envers l'auteur de la nature, envers la lumière éternelle, la suprême raison et la...
Page 355 - ... dans leurs querelles à des voies juridiques que toute la rigueur des lois n'a jamais pu forcer les particuliers d'admettre dans les leurs ? Un simple gentilhomme offensé dédaigne de porter ses plaintes au tribunal des maréchaux de France, et vous voulez qu'un roi porte les siennes à la Diète européenne?
Page 410 - Que ceux que la crainte des persécutions et des troubles auraient éloignés de leur patrie, soient certains de trouver en y rentrant la sûreté et la tranquillité. Et pour éteindre les haines, pour adoucir les maux qu'une grande révolution entraîne toujours à sa suite, pour que la loi puisse d'aujourd'hui commencer à recevoir une pleine exécution, consentons à l'oubli du passé.
Page 355 - ... dédaigne de porter ses plaintes au tribunal des maréchaux de France, et vous voulez qu'un roi porte les siennes à la Diète européenne? Encore y at-il cette différence que l'un pèche contre les lois et expose doublement sa vie, au lieu que l'autre n'expose guère que ses sujets; qu'il use, en prenant les armes, d'un droit avoué de tout le genre humain et dont il prétend n'être comptable qu'à Dieu seul.
Page 403 - Majesté le roi de Prusse, ayant entendu les désirs et les représentations de Monsieur et de M. le comte d'Artois, se déclarent conjointement qu'elles regardent la situation où se trouve actuellement le roi de France comme un objet d'un intérêt commun à tous les souverains de l'Europe.
Page 121 - La différence entre les deux voix vient donc de celle qu'il ya entre le larynx aflîs & en repos fur fes attaches dans la parole, & ce même larynx fufpendu fur fes attaches , en action & mu par un balancement de haut en bas & de bas en haut.
Page 180 - ... font marcher les nations à la liberté , ou qui les précipitent dans l'esclavage. Il faut donc qu'ils soient toujours aux ordres de l'intérêt public. En conséquence les académies et les...
Page 121 - Ces différens tons ou accens dépendent uniquement de l'ouverture plus ou moins grande de la glotte. En quoi confifte donc la différence qui fe trouve entre la parole fim pie & la voix de chant.
Page 370 - ... à une grande diftance des rebords , & d'enduire de vernis la couture quand elle fera finie. Quant aux yeux des oifeaux , il eft facile de voir...
Page 161 - SI , par la connoiffance d'un fpacifique , on entend celle de fa recette', on pourra théoriquement mieux l'apprécier , & fe prévenir pour ou contre : car une chofe inconnue n'excite ni mépris , ni envie ; mais lorfqu'on connoît un objet , on jouit de la...