... qu'il suffit d'ouvrir seulement pour s'en convaincre. Or, la langue poétique partout, si ce n'est celle du peuple, en est tirée du moins. Malherbe, homme de cour, disait : J'apprends tout mon français à la place Maubert ; et Platon, poète s'il... Dictionnaire historique d'argot - Page xlde Lorédan Larchey - 1888 - 377 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Paul-Louis Courier - 1826 - 408 pages
...convaincre. Or, la langue poétique partout, si ce n'est celle du peuple , en est tirée du moin?. Malherbe, homme de cour , disait : J'apprends tout mon français à la place Maubert; et Platon , poète s'il en fut, Platon, qui n'aimait pas le peuple, l'appelle son maître de langue. Demandez... | |
| Paul-Louis Courier - 1826 - 408 pages
...convaincre. Or, la langue poétique partout, si ce n'est celle dvi peuple , en est tirée du moins. Malherbe, homme de cour, disait : J'apprends tout mon français à la place Haubert; et Platon , poète s'il en fut , Platon , qui n'aimait pas le peuple , l'appelle son maître... | |
| Paul-Louis Courier - 1828 - 460 pages
...convaincre. Or, la langue poétique partout , si ce n'est celle du peuple, en est tirée du moins. Malh'erbe, homme de cour, disait : J'apprends tout mon français à la place Maubert; et Platon, poète s'il en fut, Platon, qui n'aimait pas le peuple , l'appelle son maître de langue. Demandez... | |
| Paul-Louis Courier - 1831 - 754 pages
...convaincre. Or, la langue poétique partout, si ce n'est celle du peuple , en est tirée du moins. Malherbe, homme de cour, disait : J'apprends tout...n'aimait pas le peuple, l'appelle son maître de langue. Demandez le chemin de la ville à un paysan de Varlungo ou de Peretola , il ne vous dira pas un mot... | |
| Paul-Louis Courier - 1831 - 532 pages
...convaincre. Or, la langue poétique partout , si ce n'est celle du peuple , en est tirée du moins. Malherbe , homme de cour, disait : J'apprends tout...Platon, qui n'aimait pas le peuple, l'appelle son maitre de langue. Demandez le chemin de la ville à un paysan de Varlungo ou de Peretola , il ne vous... | |
| Paul-Louis Courier - 1834 - 448 pages
...s'en convaincre. Or, la langue poétique partout, si ce n'est celle du peuple, en est tirée du moins. Malherbe, homme de cour, disait : J'apprends tout mon français à la place Maubert ; et Platon , poète s'il en fut , Platon , qui n'aimait pas le peuple, l'appelle son maître de langue. Demandez... | |
| Paul-Louis Courier - 1834 - 898 pages
...Malherbe, homme de cour, disait : J'apprends tout mon français à la place Maubert ; et Platon , poète s'il en fut , Platon, qui n'aimait pas le peuple, l'appelle son maître de langue. Demandez le chemin de la ville à un paysan de Varlungo ou de Peretola , il ne vous dira pas un mot... | |
| Paul-Louis Courier - 1834 - 446 pages
...Malherbe, homme de cour, disait : J'apprends tout mou français à la place Maubert ; et Platon, poète s'il en fut , Platon , qui n'aimait pas le peuple, l'appelle son maître de langue. Demandez le chemin de la ville à un paysan de Varlungo ou de Peretola , il ne vous dira pas uu mot... | |
| Amédée Duquesnel - 1836 - 426 pages
...convaincre. Or la langue poétique partout , si ce n'est celle du peuple , en est tirée au moins. Malherbe, homme de cour, disait : J'apprends tout mon français à la place Haubert; et 'Platon, poète s'il en fut, Platon, qui n'aimait pas le petiple, l'appelle son maître... | |
| Amédée Duquesnel - 1845 - 830 pages
...s'en convaincre. Or la langue poétique partout , si ce n'est celle du peuple, en est tirée au moins. Malherbe, homme de cour, disait : J'apprends tout mon français à la place Maubert ; et Platon, poète s'il en fut, Platon, qui n'aimait pas le peuple, l'appelle son maître de langue. » Le style... | |
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