Journal étrangerChez J. F. Quillau, 1756 |
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Expressions et termes fréquents
affez affure ainfi animaux auffi Averne avoient avoit bafe Baron Bayes belle Berguen billet Borlace c'eft c'eſt Caftor caufe cervier chaffe chaffeur cher chevaux chofe Ciel CLAUDIA compofe Comte de Lincoln confidère Cornouailles courfiers cryftaux déja Diane difcours différens Ducheffe effe efpèce enfuite eſt étoient étoit fang fans doute fçais fçait fçavoir fe trouve fe trouvent fecours felon femblable fent fert fervir fes pattes feule FLORE foient foin foit fon amour font fous fouvent fuis fuite fuivant fujet homme inftructions inoculés INSITITIAS Jeanneton joye jufqu'à jufte l'Hiftoire l'inoculation l'ours laiffe Laure LEONARD lorfqu'il lorfque loup loutre maifon maîtreffe MARQUIS LOUIS ment mouffe n'eft n'eſt Norwège obferve ORDONO OTTAVIAN paffer paffion paroît peau perfonne petite vérole PHACTON plufieurs poiffons Pontoppidan pourroit Pouzzol préfent prefque Prince proye puiffe refte s'eft SCENE Seigneur Spalt THEODORE tion URBIN VARIOLAS voit دو رو
Fréquemment cités
Page 18 - Il les lalue humblement en adouciiîanc fa voix accoutumée à ne parler qu'aux chevaux. Diane , le remerciant d'un fourire de protection , entre , & la timide? Jeanneton attend fon retour. Dans ces belles écuries de fuperbes? chevaux placés en longues files, agitant leurs queues traînantes & faifant retentir leurs chaînes , mangeoient l'avoine dorée dans des auges travaillées en forme de coquilles. Chaque courber étoic féparé des autres , Se le nom de chacun c<oit écrit en lettres d'or...
Page 23 - Ce n'eft point affez que les Rois gouvernent eux-mêmes leurs peuples , & gagnent en perfonne des batailles ! Il faut encore que les femmes briguent des honneurs que j'avois refufé à leur fexe ! J'ai déjà...
Page 26 - La nourriture envenimée échauffe le fang des courtiers j ils deviennent furieux , fe cabrent , henniflent , & frappent des pieds. Le Baron , agité par des rêves finiftres , avoit quitté fon lit avant l'aube...
Page 27 - Il réveille fon palfrenier , & trois coups d'un ft£. flet perçant font retentir tous les coins du château folitaire , trembler toutes les fenêtres , & aboyer tous les chiens de chafle. Le palfrenier paroit auffi-tôt.
Page 235 - Rutland, & y pafscrent quelque temps avec une impatience auffi fecrette que réciproque , jufqu'à ce que le Lord , croyant enfin avoir trouvé l'heureux moyen de donner une autre tournure à leurs affaires , vint un jour à la toilette de...
Page 230 - Mais il étoit malheureufement du nombre de ceux .pour qui le fexe n'a qu'un feul mérite, qui ne regardent une époufe que comme un nouveau meuble , &quiceHTent d'en faire cas , dès qu'il ne leur paroît plus tel.
Page 24 - Le plus beau des mor„ tels , que vous dormez tranquillement ! Les „ graces régnent fur vos joues , même en dor,, mant , & votre front ferein annonce vos vic„ toires. Vous méritez fans doute d'être aimé „ de Diane. Mais vous ignorez le funefte pro,, jet qu'elle vient de former. Elle prétend con„ duire fans le fecours d'aucun homme un ,,PHAETON traîné par les courtiers les plus
Page 62 - ... en chaux : prétention qui ne nous paroît pas fondée , au moins à l'égard des métaux , qui ne donnent & ne contiennent certainement aucun principe aqueux , & qu'on ne convertit en chaux qu'en les privant du...
Page 61 - Rien ne prouve mieux, felon M. Borlace , que ces productions fe forment journellement , &: que la matière qui les produit a été fluide : car un corps folide ne peut fe trouver enfermé dans un autre corps folide, à moins que l'un n'ait été mis en fufion par demis l'autre , & ne l'ait enveloppe lorfque la matière fluide eft.
Page 38 - ... faute du char & la retire des eaux dans l'inftant où la Nixe accouroit pour fe faifir de fa proye. Diane toute mouillée fe trouve dans les bras du héros. Le* premier regard qu'elle jetta fur lui, exprima toute fa reconnoiflance.