Journal oeconomique, ou, Mémoires, notes et avis sur l'agriculture, les arts, le commerce, & tout ce qui peut y avoir rapport, ainsi qu' a la conservation & a l'augmentation des biens des familles, &cChez Antoine Boudet, 1753 |
Expressions et termes fréquents
affez ainfi air humide alimens animaux auffi avoit bled c'eft c'eſt Canal caufe chaleur Changes chaud chofe conféquent conferver confidérable d'eau deffus deniers de gros deniers fterlings différentes doit eaux efpéces enfuite eſt étoient étoit expofé fable faignée faint fang fans fanté fauvageon fçavoir fcorbut fe trouve fécher fecond felon femer fent fépare fera feroit fert fervir feule fiévres filtre fimple foient foin foit fols font Fontaine fous fouvent froid fuffit fuivant fujet fur-tout gleterre grains habitans jufqu'à karats l'air l'eau laiffe liqueur livres tournois long-tems lorfqu'il lorfque maladies maniere maravedis marc d'or Médecine ment mois monnoie n'eft naux d'An néceffaire obfervations onces paffer paroît Patates pefant perfonnes piaftres pieds plantes plufieurs poffible pouces poumons pourroit prefque premiere puiffe quantité raifon refpiration refte remédes réponſe riviere rixdales tems terre terrein Thefes tion tournois tuyau ufage vaiffeaux vaudront veine vent
Fréquemment cités
Page 49 - Le coq eft d'abord feul; mais aufluôt que les poules l'entendent, elles lui répondent, s'approchent & l'attendent fous l'arbre. Chaque coq a plufieurs poules comme le coq domeftique : il defcend de l'arbre , les coche , & féconde leurs œufs. La poule de bruyères eft plus petite que le coq, & reflemble par fon plumage à la faifane.
Page 47 - Chaque coq, pendant sa chaleur, se tient dans un certain canton d'où il ne s'éloigne pas; on le voit alors soir et matin se promenant sur le tronc d'un gros pin ou d'un autre arbre, ayant la queue étalée en rond , les ailes traînantes, le cou porté en avant, la tête enflée , sans doute par le redressement de ses plumes , et prenant toutes sortes de postures extraordinaires , tant il est tourmenté par le besoin de répandre ses molécules organiques superflues : il a un cri particulier pour...
Page 101 - Se c'eft faute d'en avoir eu de. telle qu'on la vouloit , qu'en différentes occafions on a verfé dans la bouche des noyés de l'urine chaude qui a paru produire de bons effets. On a prefcrit une décoûion de poivre dans du vinaigre pour fervir de gargarifme.
Page 98 - Suifle , & dans différens mois de chacune de ces années. On ya rapporté les moyens dont on s'eft fervi pour ranimer des hommes qui avoient perdu toute apparence de vie , & on va les retrouver décrits ici. Il feroit à fouhaiter qu'ils ne fuflent ignorés nulle part, qu'on pût répéter de fi diahtables expériences-, -toutes"/ les fois que Toccâfibri s'en...
Page 193 - Anglois , l'inventeur /le ce fecret , foutient que cette eau diftillée eft fort faine , & dit qu'il en a fait boire à des hommes & à des animaux fans qu'elle leur ait fait aucun mal , & que cette terre particulière. , délayée avec l'eau diftillée...
Page 97 - ... où on n'ait à regretter des hommes qui ont été noyés ; c'eft ce qui n'eft que trop certain , & qui eft affez connu. Mais...
Page 129 - ... le pied dans l'eau. Ceux des ponceaux qui n'étoient qu'en charpente ont été refaits en pierre ; on a racommodé les uns, on a élargi les autres, pour la commodité des voitures publiques. Il ya quatorze vannes dans cet égout, efpacées à peu près également, pour retenir les eaux...
Page 177 - Cette fleur a deux nuances bleues ; l'une claire dans les feuilles «xtérieures qui font larges ; l'autre plus chargée dans le milieu de la fleur. On peut fe fervir de l'une & de l'autre ; mais les feuilles du milieu qui font d'un bleu plus chargé...
Page 46 - ... d'une bande blanche qui repréfente un beau cercle blanc quand l'oifeau étale fa queue, comme font le paon & le coq d'Inde.
Page 98 - Auteurs auxquels nous devons croyance, prouvent cependant qu'on a fauve la vie à des hommes qui avoient refté dans l'eau & même fous l'eau, pendant plufieurs heures, & que ce n'a été quelquefois qu'au bout de deux heures qu'on a eu des lignes qui apprenoient qu'ils n'étoient pas réellement morts.