Journal encyclopédique ou universel, Volume 71757 |
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Expressions et termes fréquents
affez affociés ainfi amour infini Anglois auffi auroit avoient avoit c'eft c'eſt caufe chofes commerce compofé conferver confiderable corps Creatures deffein derniere details Dieu difference divifions divine efpece Efprit enfans enfuite eſt étoient étoit Etres falut fans fçience fe trouve feconde fecours fent feparement feroient feroit fervir feul fiécle foible foient foin foit font force fous fouvent François fuccès fuivant fujet fuppofe fyftême General Hanovre Herculaneum Hiftoire hommes Hopitaux jufqu'à l'acte l'amour l'Au l'Auteur l'efprit l'hiftoire l'Incarnation laiffa lativement lieuës loix Louisbourg lumiere maitre mandians maniere Marine Meliffe ment Miniftre Minorque n'eft Nation neceffairement neceffité neral obferver ouvrage paffé perfonne Philofophes phyfique plaifir plufieurs pourroit prefent prefque premiere prifonnier Prince Pruffe Pruffiens puiffance raifon refte reprefente roit s'eft tems teur tion Trinité troupes Vaiffeaux Veaux Marins Verbe verité دو دو دو رو رو دو رو رو رو وو
Fréquemment cités
Page 30 - H par ma lâcheté. Non, quoi qu'il » en arrive , rien ne pourra me ,» faire tomber les armes des mains, » que je n'aie auparavant exter» miné ce voleur qui a caufé la
Page 40 - Ils fçavent auffi les prendre dans l'eau , au moyen d'un efpece de grand fac , fait de peau de Veau Marin , à large ouverture , & qui fe ferme avec une corde , dont le bout eft fortement attaché fur le Rivage. Un Indien entre dans l'eau , préfentant l'ouverture de ce fac au Veau Marin ; un autre Indien , qui eft fur le Rivage , épouvante l'animal , qui ne manque point de fauter contre fon aggrefieur , & tombant dans le fac , qui fe ferme aufluôt , il fe trouve pris.
Page 70 - Amazones. On diftingue une Nation entière, dont l'ufage eft de fe faire un trou fort large à la lèvre d'en-bas, & d'y paffer un petit morceau de bois, auquel ce criftal eft attaché.
Page 72 - Ion hamac au deflus duquel on met comme en trophée, tous les fouets qui ont fervi à fon fupplice. Après les fix femaines les Chefs de la Nation...
Page 87 - ... pour moi un plaifir bien doux d'avoir fauve ma réputation , & fatisfait mon cœur. Je vous le répète donc , je m'accommode très-bien des François, il n'y a pas de foins , d'attentions , d'égards , P:ir où ils ne cherchent à me prévenir. Celiez donc de vous tourmenter ,& d'imaginer mille chimères fur le fort de nos Enfans. Il ne pouvoit leur arriver rien de plus heureux que ce changement de condition. Vous ne reconnoitriez plus vos Filles...
Page 70 - Nation porte, d'ailleurs, quelque marque, qui la fait diftinguer. L'unique habillement des femmes eft un morceau de toile, d'un demi pied en quarré, qu'elles ont à la ceinture; & quelques-unes n'y portent qu'une fimple feuille de carret. LES hommes fe fervent de leur arc, avec beaucoup d'adrefle, pour la chafle & pour la pêche. Ils font des hamacs, dont on admire le travail; de la poterie, qui n'eft pas moins eftimée; & des...
Page 166 - Timée , donner au fang le degré de fluidité néceflaire pour produire dans le corps une harmonie générale. Alors la force motrice devenoit flexible, & l'intelligence pouvoit la diriger. Il falloit donc éclairer la partie raifonnable de l'âme , après avoir calmé •Ja force motrice , & c'étoit l'ouvrage de la philofophic.
Page 66 - ENCYCLOF. qu'ils peuvent marcher fur terre, & grimper môme fur les rochers , & fur de* montagnes affés hautes. Ils fe plaifent à coucher au Soleil & à dormir fur le rivage. Quoiqu'il y en ait des milliers , qui ont 14 pieds de long, le plus grand nombre n'en a que cinq. Leur chair...
Page 89 - Foccupoit plus à rien d'utile ni d'honnête, & qui s'étoit vû,difoit-il , à la veille d'oublier tout ce qu'il favoit, a profité avec grand plaifir , comme vous jugez bien , de la première occafion qu'il a trouvée de fe rendre chez ma bonne amie Marfeille ; & depuis qu'il y eft arrivé , il ne s'eft point paflé de jour qu'elle ne m'ait fait faire de...
Page 44 - Arts méchaniques, qui peut pafler pour leur talent favori, n'eft pas pouflee au plus haut point. Ils font fort inférieurs, dans les Arts, aux Japonois, qui les cultivent comme eux ; & dans plufieurs chofes, ils n'égalent pas la dextérité & le génie des Européens. Comme prefque tout leur talent confifle dans l'imitation, ils ont cette ftérilité d'invention qu'on a toujours reprochée aux Imitateurs ferviles.