 | Eugène de Mirecourt - 1858 - 832 pages
...que Berlioz qui pût le faire revivre; et moi qui ai goûté vos divines compositions, dignes d'nn génie tel que le vôtre, je crois de mon devoir de...ma part, vingt mille francs, qui vous seront remis llI litlil.IOZ par M. le baron de Rothschild, sur lu présentation de l'incluse. « Croyez-moi toujours... | |
 | 1873 - 818 pages
...donnerons la traduction : « Mon cher ami, Beethoven « mort , il n'y avait que Berlioz qui pût le faire revivre , et « moi, qui ai goûté vos divines compositions,...hommage de « ma part vingt mille francs qui vous seront rerais par « M. le baron de Rothschild , sur la présentation de l'in•• cluse. Croyez-moi toujours... | |
 | Hector Berlioz - 1879 - 402 pages
...protégé le billet suivant1 : « Mon cher ami, Beethoven mort, il n'y avait que Berlioz qui pût le faire revivre ; et moi qui ai goûté vos divines compositions dignes d'un génie tel que vous, je crois de mon 1. Mio caro amico, Beethoven estinto, non c'era che Berlioz che potesse farlo... | |
 | Hector Berlioz - 1879 - 400 pages
...protégé le billet suivant1 : « Mon cher ami, Beethoven mort, il n'y avait que Berlioz qui put le faire revivre ; et moi qui ai goûté vos divines compositions dignes d'un génie tel que vous, je crois de mon 1. Mio caro amico, Beethoven estinto, non c'era che Berlioz che potasse farlo... | |
 | Hector Berlioz - 1922 - 406 pages
...protégé le billet suivant1 : « Mon cher ami, Beethoven mort, il n'y avait que Berlioz qui put le faire revivre ; et moi qui ai goûté vos divines compositions dignes d'un génie tel que vous, je crois de mon 1. liio caro amico, Beethoven estinto, non c'era che Berlioz rlu polosse farlo... | |
 | 1850 - 394 pages
...Italian letter : — " Mon cher ami. — Beethoven mort, il n'y avait que Berlioz qui pût le faire revivre ; et moi qui ai goûté vos divines compositions dignes d'un génie tel que vous, je crois de mon devoir de vous prier de vouloir bien accepter, comme un hommage de ma part, vingt... | |
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Berlioz qui puisse le faire revivre ; et moi, qui ai goûté vos divines compositions, dignes d'un génie tel que le vôtre, je crois de mon devoir de vous prier d'accepter, comme un hommage de ma part, les 20.000 francs qui vous seront remis par M. 