Almanach des musesClaude Sixte Sautreau de Marsy, Charles Joseph Mathon de la Cour, Vigée (M., Louis-Jean-Baptiste-Étienne), Marie Justin Gensoul Chez Delalain, 1789 |
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Expressions et termes fréquents
affez aimable ainfi airs ALCIPPE Amans amant amour appas auffi avoit beau beauté belle bonheur BOURDIC c'eft c'eſt c'étoit careffe chanter charmans charme Châteaux en Eſpagne cher ciel cieux déferts defirs deftin Dieu Dieux douleur doux efprit eſt étoit FABLE FABLIAU fage fans ceffe favez fecret fein féjour fenfible fens fentiment feroit feul fiècle filence fleurs foir foit foleil fon cœur fonge font foupirs fous fouvent fublime fuis FULVY fur-tout gloire Glycère goût grace hameaux hélas heureux jeud jeune jolie jour l'amitié l'amour l'efprit l'hymen l'univers laiffe LINDOR loix long-tems lund Madame MARGENCY Matin Melpomène modefte Monfieur mortels Mufe n'eft n'eſt Noms des Lev paffer Paphos par-tout pefant plaifir plaifirs plaire pleurs Poëte PONS DE VERDUN préfent printems raiſon refte rofe ſes ſon talens tems tendre Thémire tréfors trifte vend Vénus vois voix Vulcain yeux Zélis
Fréquemment cités
Page 196 - ... flexibles rameaux. Que je me plais sous ces berceaux ! Flore étale dans sa corbeille Mille boutons éclos du souffle des Zéphirs , Les bluets enlaçant leurs gerbes de saphirs A l'incarnat de la rose vermeille ; Du lis et du jasmin le calice argenté, Se marie au rubis de la fraîche groseille. Quel mélange d'odeurs ! quelle variété ! Non loin de ces berceaux , la diligente abeille Du calice des fleurs extrait sa liqueur d'or. La nature renaît, je puis jouir encor. Quel désir incertain...
Page 207 - Je vins sur sa hauteur méditer quelquefois : L'auguste poésie anime encor sa voix En contemplant les cieux dont elle est descendue : Son audace a besoin de leur vaste étendue. Je connus, j'entendis...
Page 111 - Qu'elle défend d'abord, & puis qu'elle abandonne. Oui , d'abord tu les prends; enfuite on te les donne, Après on te les offre; & la coquette enfin Les ravit fur ta bouche , en dépit de ta rr.aia.
Page 205 - Ils me prodiguent la louange , Je dois les trouver excellens ; Mais le doux parfum de l'encens Ne me fait point prendre le change.
Page 82 - ... n'a pas permis cet aveu déplorable. Ah! cachons-lui, la plus honteufe erreur le pardon même, hélas! feroit st craindre il eur fans doure augmenté mon bonheur mais ma Zéiis eur été trop à plaindre. Par M, AUGUSTE GAUDI.
Page 111 - Va déployer la ligne et jetter l'hameçon ; Enfin veut-elle , un soir , dans la plaine fleurie , Vaincre , d'un pied léger , ton pied qu'elle défie? Accepte : elle s'élance ; et toi, vole : soudain,' Que ton pas ralenti lui cède le chemin ; Et vainqueur en effet , prête-lui ta victoire. Alors , mets à profit l'ivresse de sa gloire. Heureusement vaincu, tu peux alors ôser ; Tupeux.
Page 183 - ... de sa peinture de la société parisienne. Elle y ajoute une pointe de sentiment que l'on chercherait en vain chez Voltaire: Avec mon cœur toujours d'accord, excuser tout est ma manie; à mes yeux personne n'a tort; rien ne m'aigrit, rien ne m'offense; je vois avec indifférence des fats outrant l'impertinence, des nains qui cherchent la grandeur, des Midas jouant l'importance, des prudes sans mœurs, sans décence, d'honnêtes femmes sans honneur. Pourquoi verrois-je avec humeur rouler ce monde...
Page 41 - Croyez que l'auteur fortuné Sortira bientôt du nuage Dont il se tient environné. Qu'enorgueilli de son ouvrage , Dans son triomphe glorieux II jouisse au moins sans partage, Si ce n'est pas sans envieux. Au reste si ces vers heureux Vous ont peint telle que vous êtes , Digne de régner sur les jeux , D'embellir les plus belles fêtes ; S'ils ont loué ces jolis yeux Faits pour tourner toutes les têtes , Ce coloris doux, cet air frais De la rose dans son enfance , Et cette galté sans apprêts.
Page 109 - Vénus m'a révélé comment on plait.aux belles. Venez , la complaifance ouvre un cœur a l'amour : Qui toujours cherche a. plaire , eft fur de plaire un joui...
Page 176 - J'ai partagé, dit-il , tous mes dons entre vous, mes regards , mon fourire , & mon tendre langage mais de ces dons ceflez de tirer avantage i je n'ai, pour vous punir, qu'à les raffembler toi».