Bibliothèque choisie: pour servir de suite à la Bibliothèque universelle, Volume 26Jean Le Clerc H. Schelte, 1713 |
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Bibliothèque choisie: pour servir de suite à la Bibliothèque ..., Volume 19 Jean Le Clerc Affichage du livre entier - 1710 |
Bibliothèque choisie: pour servir de suite à la Bibliothèque ..., Volume 15 Jean Le Clerc Affichage du livre entier - 1708 |
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Expressions et termes fréquents
abfolue affez affurément ainfi ajoûte Anglois Anne de Luxembourg auffi auroit Auteur avoient avoit c'eft c'eſt Caftille caufe Cefar châque chofe Chrétiens Clark Comte de Cambridge conféquence croyent deffein Defpreaux déja Dieu differentes dire diverfes Divine doctrine Dodwel Duc de Hereford Duc de Lencaftre Edition Efprit enfuite Epicure eſt étoient étoit Etre exifte expreffions fage fans favoir fe trouve fecond felon femblable femble fens fentimens fentiment feroit fervir feulement fimple foient foit font fous foûtenir fouvent ftile fubftance fuiv fujet fuppofe Guerre des Gaules hommes Hüet l'Ame l'Auteur l'Ecriture laiffer Latin Longin Lucrece lumiere maniere Martyrs Matiere ment n'avoit n'eft n'eſt n'étoit néanmoins néceffairement néceffité Noodt paffages paffer pagg parlé paroît Payens penfer perfonne Philofophie plufieurs Poëte pofer poffible pourroit pouvoit Preaux préfent premiere Puiffance puiffe raifon recueuil refte Religion Richard rien Ruinart s'eft Satirique Spinoza tems tion toûjours Ufures verité
Fréquemment cités
Page 451 - Droit de la nature et des gens, ou système général des principes les plus importants de la morale, de la jurisprudence, et de la politique, traduit du latin de feu Mr. le Baron de Pufendorf par Jean Barbeyrac, avec des notes du traducteur et une préface qui sert d'introduction à tout l'ouvrage.
Page 68 - Satire , que le métier de médire , qu'il pratiquoit, eft Couvent fatal à fon Auteur, lui attire de la honte & ne lui caufe que des larmes.
Page 364 - Pour ceux qui l'ont entendu , & qui ne fc font pas joints à une Eglife Epifcopale , pour y recevoir cet efprit d'immortalité, Dieu les conferve bien, félon M.
Page 72 - Par-là, il a fait voir que, du moins en ce point, il n'eft pas fort ennemi de la Morale relâchée. Il ne faut pas trop s'en étonner. Que ne croyoit-il point devoir faire , pour s'acquitter envers un homme, qui avoit pris fi hautement fon fon parti décrié? Il fe perfuadarfans doute d'être obligé , par fa recbnnoiflance , de rabbattre au...
Page 76 - Mr. de-Pelliffàu ; fans parler de tous les autres, qui affiflerent à cette lecture, au nombre de neuf, ou dix, dont aucun ne contredit le fentiment de Mr.
Page 94 - Il ne devoir pas ignorer qu'il étoit l'homme du monde , qui avoit le moins de droit d'exiger qu'on...
Page 91 - Originaux, & qui a d'ailleurs toutes les lumieres néceflaires , pour s'en bien acquiter. Je ne parle pas de moi , quoique j'aye employé la plus grande partie de ma vie à cette même etude, & que le Public n'ait pas mal reçu ce que j'ai produit , fut l'Ancien Teftament.
Page 107 - ... puifque je l'ai traduit & commenté. Ce feroit donc à moi une extrême folie de renoncer à des lumieres claires , pour fuivre les conjeciures de Longi* , & de Mr.
Page 364 - S- n'eft n'eft rendue immortelle , que par un efprit d'immortalité , que Dieu y joint à l'égard de ceux qui font dans fon alliance ; & qui le reçoivent aujourdhui , dans le baptême, mais feulement lors qu'il eit adminiftré par des Prêtres ordonnez par des Evêques.
Page 104 - Par confequent , c'étoit une hardiefle inexcufable , dans nôtre Satirique, de prétendre en pouvoir mieux juger, que lui, & fur tout de le cenfurer, avec cette aigreur.