Les derniers jours du paradis

Couverture
Editions Gallimard - 399 pages
Alors que l’Amérique se prépare à fêter les cent ans de l’Armistice de 1914, un siècle de paix mondiale, d’avancées sociales et de prospérité, Cassie n’arrive pas à dormir. Au milieu de la nuit, elle se lève et regarde par la fenêtre. Elle remarque alors dans la rue un homme étrange qui l’observe longtemps, traverse la chaussée... et se fait écraser par un chauffard. L’état du cadavre confirme ses craintes : la victime n’est pas un homme mais un des simulacres de l’hypercolonie, sans doute venu pour les tuer, son petit frère et elle. Encore traumatisée par l’assassinat de ses parents, victimes sept ans plus tôt des simulacres, Cassie n’a pas d’autre solution que de fuir. L’hypercolonie est repartie en guerre contre tous ceux qui savent que la Terre de 2014 est un paradis truqué. Robert Charles Wilson se renouvelle à chacun de ses ouvrages et nous offre ici un roman de science-fiction paranoïaque, haletant, dans la lignée du Village des damnés de John Wyndham ou de L’invasion des profanateurs de Jack Finney.

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À propos de l'auteur (2016)

Né en 1953 en Californie mais vivant aujourd’hui à Toronto, Robert Charles Wilson s’est imposé en moins de vingt ans comme l’une des têtes de file de la science-fiction canadienne. On lui doit notamment Darwinia, BIOS, Mysterium, Les Chronolithes, ambitieuse variation sur le thème des paradoxes temporels, ou, plus récemment, Spin, qui a reçu le prestigieux prix Hugo, et ses suites, Axis et Vortex, ou Julian tous publiés aux Éditions Denoël dans la collection « Lunes d’encre ».

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