Bibliotheque universelle des Romans, ouvrage periodique: dans lequel on donne l'analyse raisonnée des Romans anciens & modernes, François, ou traduits dans notre langue; avec des anecdotes & des notices historiques & critiques concernant les auteurs, ou leurs ouvrages; ainsi que les moeurs, les usages du temps, les circonstances particulières & relatives, & les personnages connus, déguises ou, emblêmatiques, Volume 37

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Lacombe, 1780
 

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Fréquemment cités

Page 31 - Oil, dit-il, en séant sur mon lit et pensant après toi, je vis deux longs fétus sur le pavement qui tournoient ensemble et se jouoient. » — «Et ce étoisje, dit Orton ; en celle forme-là m'étois-je mis.
Page 6 - ... beaucoup à fouffrir fous le joug pefant de la. fervitude .auquel il n'étoit point accoutumé. En effet , peu de tems après qu'il...
Page 102 - ... connoissances fort étendues, exerça les arts propres à son sexe, et perfectionna ses dons naturels par l'étude et l'application : mais on voulut en vain lui donner des principes généraux. Elle puisa les siens dans l'observation des mouvemens de son cœur. On ne put l'accoutumer à soumettre sa raison à des préjugés, à confondre des biens de convention avec des biens réels, la véritable gloire avec la contrainte que peut s'imposer l'orgueil pour usurper son nom. Rejetant tous les sophismes...
Page 102 - ... douceur, mille grâces attrayantes n'avoient rapproché d'elle ceux que la vénération , inspirée par son premier abord , pouvoit en tenir à trop de distance. Elle acquit des connoissances fort étendues, exerça les arts propres à son sexe, et perfectionna ses dons naturels par l'étude et l'application : mais on voulut en vain lui donner des principes généraux. Elle puisa les siens dans l'observation des mouvemens de son cœur. On ne put l'accoutumer à soumettre sa raison à des préjugés,...
Page 62 - ... penchée, l'œil éteint & fixé fur «la terre, je n'ofe jouir de l'afpect du * Ciel ; mes regards font bleflfés de fon « éclat ; le pâle flambeau , qui luit dans «les ténèbres , eft l'aftre qui me plaît «davaiîtage. Pendant que toute la Na...
Page 193 - Etrangers s'affeoir auprès d'elles , & de leur demander s'ils étoient connus d'Emmanuel , de leur père , ou de celui de Ferdinand. Je me...
Page 165 - Une vive douleur pénètre son ame; il se prosterne devant la tombe ou reposent les cendres de sa mère; il arrose de ses pleurs le marbre où la princesse de Suabe a fait exprimer les témoignages de son attachement à la mémoire de la comtesse de Surger.
Page 36 - Leur taille n'a ni la fi», nefle ni l'élégance de celle des An»gloifes; elles n'ont point ces figures » vives &£ enjouées qui enflamment. Leur « voix, quoique douce, n'eft point pé« nétrante ; fi quelquefois leur teint s'a»nime, c'eft plutôt le défir que le fen
Page 167 - Elle lui écrit , l'avertit de fe défendre contre la furprife dont un événement imprévu doit le frapper. Elle lui indique un jour , un lieu , une heure...
Page 154 - Réconcilié avec l'Empereur , il donne la paix à toute la Germanie ; une partie de fes Princes , intérefTés au Traire , vient le figner.

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