L'Année littéraire, Volumes 3 à 4Fréron., 1791 |
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Expressions et termes fréquents
affez ainfi ajoûte Apologue auffi avoient avoit Belton c'eft c'eſt c'étoit caufe Cécile ceffe chofe cœur confidérable Connétable connoiffances connoître déja Derville difcours Dinouart efpèce efprit enfuite Erigone eſt étoient étoit fage faifit faifoit fang fans fçait fçavez fecond fecret felon fenfible fens fentiment feroit fervir feul fiècle fieur Fléchier foin foit fon ame fon fils fon père font fous fouvent François fublime fuccès fuis fuivie fujet gens goût grace Hiftoire hommes Idoménée jufqu'à L'ANNÉE LITTÉRAIRE l'auteur l'efprit l'Hiftoire laiffe Lettres loix lorfqu'il lorfque Lorraine Louvois Luxe Luxembourg ment Michel de l'Hôpital Minif Miniftre Monfieur Montmorenci n'eft néceffaire nobleffe nouart obfervations ouvrage paffe paffions paroît penfe perfonne Philofophie plaifir plaifirs plufieurs Poëfie Poëte préfent prefque Prince propofe puiffe raifon refpect refte s'eft Santeul Sélinde talens teur tion ufage vertu Voltaire Walpool yeux Zéphis دو دو دو رو وو
Fréquemment cités
Page 156 - ... des États, je ne vois pas encore comment ce luxe et ces passions doivent être contraires aux mœurs. Je ne puis cependant me dissimuler que dans quelques parties de l'univers, il ya des nations qui ont le...
Page 310 - Je vous écris parce que je n'ai rien à faire; je finis parce que je n'ai rien à vous dire.
Page 195 - Aussi mal appris , je te jure, Que leurs guides impertinens, Toujours ivres , toujours jurans , Aveugles, sourds, impitoyables. Qu'il faut tuer de temps en temps, Pour les rendre un peu plus traitables. Grâce aux chocs devenus fréquens, Cent fois notre conque légère Pensa se briser comme un verre. Et nous laisser, le long des champs, Philosopher sur la poussière. A la...
Page 291 - Je crois cependant qu'on le lui arrachera quelque jour. J'en juge principalement par le nombre & la nature des Découvertes dont on a déjà enrichi cette matière. Les Vérités Phyfïques, fruits de l'Obfervation & de l'Expérience, fe multiplieront & fe perfectionneront fans ceffe.
Page 196 - Du foleil le dernier rayon , Jouant fur la voûte azurée , Ne peut quitter cette Contrée , Malgré l'ordre de la faifon. Son or & fa pourpre mobiles , ., Au fond des flots font réfléchis: La préfence de deux Amis L'a fufpendu fur ces alîles.
Page 154 - Je leur dirais que si l'on fait abstraction de l'esprit militaire qui n'entre pas dans le caractère des Italiens, ce caractère vaut bien celui des autres nations. Vous ne verrez nulle part plus d'humanité et de bienfaisance, nulle part la société n'a plus de charmes qu'en Italie, nulle part on ne cultive plus les vertus privées. Je...
Page 162 - ... occupations & à fes devoirs. L'éloquence reçoit des fentimens d'un peuple bien gouverné \ par fa force & fes charmes elle rallumeroit les fentimens patriotiques dans les momens où ils feroient prêts à s'éteindre.
Page 150 - Cette opinion est assez générale, et même M. Hume ne s'en éloigne pas. Comment aucun des philosophes et des politiques qui ont pris le luxe pour objet de leurs spéculations ne s'est-il pas dit : dans les commencements des nations, on est et on doit être plus attaché aux principes du gouvernement ; dans les sociétés naissantes, toutes les lois, tous les...
Page 146 - Ce désir doit nécessairement leur faire aimer et rechercher les richesses ; le désir de s'enrichir entre donc et doit entrer dans le nombre des ressorts de tout gouvernement qui n'est pas fondé sur l'égalité et la communauté des biens : or l'objet principal de ce désir doit être le luxe; il ya donc du luxe dans tous les États, dans toutes les sociétés...
Page 303 - ... du cheval, les yeux de l'éléphant, le cou du taureau, les cornes du cerf, la poitrine du lion, le ventre du scorpion, les ailes de l'aigle, la cuisse du chameau, les pieds de l'autruche, la queue du serpent.