Histoire de Tournai et du Tournésis, Volume 1Massart et Janssens, 1840 - 769 pages |
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Histoire de Tournai et du tournésis: depuis les temps les plus regulés jusqu ... Alexandre-Guillaume Chotin Affichage d'extraits - 1982 |
Expressions et termes fréquents
Anglais Antoing arbalétiers armée armes Audenarde avaient ayant bailliage bannières bataille Bauduin beffroi Belges Belgique Blandain Bruges C'était Cambrai camp César Charles Charles-Quint charte château châtelain chef chevaliers Chilpéric Chron cité commandant compagnies bourgeoises comte de Flandre comte de Hainaut Consaux conseil Courtrai d'or députés doyens duc de Bourgogne échevins églises ennemis envoya époque États du Tournésis évêque de Tournai firent Flamands François Ier Franks Gand garnison gouverneur Grand'Place guerre habitans hommes Hoverlant Jacques Jean Jean Cousin jour jurés justice l'abbaye l'an l'armée l'église l'empereur l'Escaut l'évêque Lille livres long-tems Louis Louis XIV magistrats main maison marché monarque mort Mortagne Mouskes Muisis Nerviens nombre Notre-Dame officiers paix paroisse pays pendant peuple Philippe porte Poutrain premier prévôt prince priviléges provinces rois Romains royal s'était secours seigneur serment siècle siége sire soldats souverain St-Brice St-Martin suivante tems tems-là tion Tornaco Tournaisiens Tournay Tournésis trève troupes Valenciennes village villes
Fréquemment cités
Page 267 - Anglais avançaient à pas lents , comme fesant l'exercice. On voyait les majors appuyer leurs cannes sur les fusils des soldats pour les faire tirer bas et droit.
Page 86 - Ils relevaient et rattachaient sur le sommet du front leurs cheveux d'un blond roux, qui formaient une espèce d'aigrette et retombaient par derrière en queue de cheval. Leur visage était entièrement rasé, à l'exception de deux longues moustaches qui leur tombaient de chaque côté de la bouche. Ils portaient des habits de toile serrés au corps et sur les membres avec un large ceinturon auquel pendait l'épée. Leur arme favorite était une hache à un ou deux tranchants, dont le fer était...
Page 266 - Messieurs des gardes françaises, tirez. » Le comte d'Auteroche, alors lieutenant des grenadiers et depuis capitaine, leur dit à voix haute : « Messieurs, nous ne tirons jamais les premiers ; tirez vous-mêmes...
Page 319 - Frères et amis , nous avons conquis la liberté , et nous la maintiendrons. Nous offrons de vous faire jouir de ce bien inestimable , qui vous a toujours appartenu , et que vos oppresseurs n'ont pu vous ravir sans crime. » Nous avons chassé vos tyrans.
Page 273 - ... commandants des corps; il ordonna qu'on eût soin des blessés, et qu'on traitât les ennemis comme ses propres sujets. Le maréchal de Saxe, au milieu de ce triomphe, se fit porter vers le roi; il retrouva un reste de force pour embrasser ses genoux , et pour lui dire ces propres paroles : « Sire , j'ai assez vécu ; je ne souhaitais « de vivre aujourd'hui que pour voir votre majesté « victorieuse. Vous voyez, ajouta-t-il ensuite, à quoi
Page 264 - Antoing : il lui servit de premier aide de camp, sacrifiant la jalousie du commandement au bien de l'état, et s'oubliant soi-même pour un général étranger et moins ancien. Le maréchal de Saxe sentait tout le prix de cette magnanimité, et jamais on ne vit une union si grande entre deux hommes que la faiblesse ordinaire du cœur humain pouvait éloigner l'un de l'autre.
Page 319 - Nous avons conquis la liberté, et nous la maintiendrons. Nous offrons de VOUS faire jouir de ce bien inestimable qui vous a toujours appartenu, et que vos oppresseurs n'ont pu vous ravir sans crime. Nous avons chassé vos tyrans. Montrez-vous hommes libres , et nous vous garantirons de leur vengeance, de leurs projets et de leur retour. Dès ce moment, la nation française proclame la souveraineté du. peuple, la suppression de toutes les autorités civiles et militaires qui vous...
Page 78 - Vive le Christ, qui aime les Francs ! Qu'il garde leur royaume et remplisse leurs chefs -de la lumière de sa grâce! qu'il protège l'armée , qu'il leur accorde des signes qui attestent leur foi , la joie de la paix et la félicité!
Page 271 - Anthoin, s'ils étaient venus donner la main aux Anglais, il n'y avait plus de ressource, plus de retraite même, ni pour l'armée française, ni probablement pour le roi et son fils.
Page 14 - Loire par assaut et autrement ou il en eu mains mors et prins et lez a desconfis en bataille, et croies que le conte de Suffort, La Poulie son frère, le sire de Tallebort, le sire de Scallez et...