Vie, c'est fécondité, et réciproquement la fécondité, c'est la vie à pleins bords, c'est la véritable existence. Il ya une certaine générosité inséparable de l'existence, et sans laquelle on meurt, on se dessèche intérieurement. Il faut fleurir;... Morale et éducation - Page 32de P. Félix Thomas - 1899 - 171 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| 1901 - 728 pages
...haute intensité de la vie a pour corrélatif nécessaire sa plus large expansion. » Guyau ajoute : « Vie, c'est fécondité, et réciproquement la fécondité,...vie à pleins bords, c'est la véritable existence. » II soutient que la vie féconde est la vie généreuse et aimante, non la vie isolée dans un moi... | |
| 1904 - 650 pages
...comptr fait, une perte pour l'individu, c'est un agrandissement souhaitable et même une nécessité... Vie, c'est fécondité, et réciproquement la fécondité...laquelle on meurt, on se dessèche intérieurement. Il faut fleurir : la moralité, le désintéressement, c'est la fleur de la vie humaine. » [Esquissa... | |
| Jean-Marie Guyau - 1885 - 302 pages
...Renan : chacun de nous sent en lui une sorte de poussée de la vie morale, comme de la sève physique . Vie, c'est fécondité, et réciproquement la fécondité,...à pleins bords, c'est la véritable existence. Il y aune certaine générosité inséparable de l'existence, et sans laquelle on meurt, on se dessèche... | |
| 1888 - 758 pages
...soi-même? C'est donc tout notre être qui est naturellement sociable, dans toutes ses puissances; la vie ne peut pas être complètement égoïste, quand même...laquelle on meurt, on se dessèche intérieurement. Il faut fleurir. La moralité, le désintéressement, c'est la fleur de la vie humaine. » Et Guyau... | |
| Alphonse Serre - 1889 - 1024 pages
...sociable. En somme, la vie est nutrition et production. Plus elle acquiert, plus elle dépense. « Vie, c'est fécondité, et réciproquement, la fécondité...laquelle on meurt, on se dessèche intérieurement. Il faut fleurir; la moralité, le désintéressement, c'est la fleur de la vie humaine '. 1 Vers d'un... | |
| Eugène Roberty - 1897 - 244 pages
...nécessairement de telles prémisses ? Citons encore, du même auteur, ces lignes si profondément vraies : « II ya une certaine générosité inséparable de l'existence,»...désintéressement, c'est la fleur de la vie humaine. » (Ibid., p. 101.) Mais, certes, le biologiste aurait pu dire avec autant de fondement : II ya Une... | |
| Eugène Roberty - 1897 - 236 pages
...nécessairement de telles prémisses? Citons encore, du même auteur, ces lignes si profondément vraies : « 11 ya une certaine générosité inséparable de l'existence,...désintéressement, c'est la fleur de la vie humaine. » (Ibid., p. 101.) Mais, certes, le biologiste aurait pu dire avec autant de fondement : 11 ya une... | |
| Raymond Thamin - 1897 - 698 pages
...cette force d'expansion devenue consciente de son pouvoir qui se donne à elle-même le nom de devoir. Vie, c'est fécondité, et réciproquement la fécondité,...générosité inséparable de l'existence, et sans laquelle ou meurt, on se dessèche intérieurement. Il faut fleurir; la moralité, le désintéressement, c'est... | |
| Jules Bovon - 1897 - 464 pages
...même le plus sociable ; car «c l'idéal de la vie individuelle, c'est la vie en commun. » — « II ya une certaine générosité inséparable de l'existence,...laquelle on meurt, on se dessèche intérieurement. II faut fleurir ; la moralité, le désintéressement, c'est la fleur de la vie humaine. On a toujours... | |
| Eugène Roberty - 1897 - 236 pages
...nécessairement de telles prémisses? Citons encore, du même auteur, ces lignes si profondément vraies : « II ya une certaine générosité inséparable de l'existence,...laquelle on meurt, on se dessèche intérieurement. Il faut fleurir; la moralité, le désintéressement, c'est la fleur de la vie humaine. » (Ibid.,... | |
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