Je sens passer sur moi la comédie humaine Qui cherche en vain au ciel ses muets spectateurs. « Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populations; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, J'ignore en les... Morale et éducation - Page 73de P. Félix Thomas - 1899 - 171 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Alfred de Vigny - 1882 - 358 pages
...roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populatious ; Je ne distingne pas leur terrier de leur cendre, J'ignore en les portant les noms des natious. On me dit une mère et je suis une tombe. Mou biver prend vos morts comme sou hécatombe.... | |
| Auguste Angellier - 1893 - 466 pages
...roule avec dédain, sans voir el sans entendre, A côté des fourmis, les populations ; Je ne dislingue pas leur terrier de leur cendre , J'ignore en les portant les noms des nations. On me dit nne mère, et je suis une tombe, Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe. Mon printemps ne sent... | |
| Ferdinand Brunetière - 1894 - 324 pages
...Je suis l'impassible théâtre Que ne peut remuer le pied de ses acteurs. Je n'entends ni vos cris, ni vos soupirs; à peine Je sens passer sur moi la...cendre, J'ignore en les portant les noms des nations. 1. « Je sens sur ma tète le poids d'une condamnation que je subis toujours, ô Seigneur, mais ignorant... | |
| Ferdinand Brunetière - 1894 - 316 pages
...Je suis l'impassible théâtre Que ne peut remuer le pied de ses acteurs. Je n'entends ni vos cris, ni vos soupirs ; à peine Je sens passer sur moi la...cendre, J'ignore en les portant les noms des nations. \. « Je sens sur ma tête le poids d'une condamnation que je subis toujours, ô Seigneur, mais ignorant... | |
| Léon Alexandre Morel - 1895 - 722 pages
...and newer purple get, Each hère decliuing violet. » (tiesperides. On Jiilia'x Hccovenj .} •J. • Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre,...nations. On me dit une mère et je suis une tombe, Mon biver prend vos morts comme son hécatombe, Mon printemps ne sent pas vos adorations. C'est là ce... | |
| Ferdinand Brunetière - 1895 - 324 pages
...comédie humaine, Qui cherche en vain au ciel ses muets spectateurs. Je roule avec dédain, sans voir si sans entendre A côté des fourmis les populations,...cendre, J'ignore en les portant les noms des nations. 1. « Je sens sur ma tête le poids d'une condamnation que je subis toujours, ô Seigneur, mais ignorant... | |
| 1897 - 716 pages
...parvis d'albâtre, Mes colonnes de marbre ont les dieux pour sculpteurs. Je n'entends ni vos cris, ni vos soupirs : à peine Je sens passer sur moi la...cendre, J'ignore en les portant les noms des nations. On ine dit une mère, et je suis une tombe : Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe : Mon printemps... | |
| Arturo Graf - 1898 - 512 pages
...ecc. 1 II Leopardi nella Ginestra: Non ha natura al seme Dell'uom più stima o cara Ch'alia formica. Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, J'ignore en les portant les noms des nations. A tale vanto il poeta sente riempiersi il cuore di amarezza e di aborrimento, e distogliendo lo sguardo... | |
| Vincenzo Morello - 1900 - 370 pages
...voir et sins entendre A còte des fuormis, les populations; Je ne distingue pas lenr terrier de lenr cendre; J'ignore en les portant les noms des nations. On me dit une mère et je suis un tombe. Mon hi ver prends vos morts eomme son hécatombe, Mon printemps ne sent pas vos adoratious.... | |
| Julien Luchaire - 1906 - 376 pages
...fourmis les populations; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, J'ignore en les portant le nom des nations. On me dit une mère et je suis une tombe, etc. De même Leopardi s'écrie : « \7oyez comme De notre race elle a soin, l'amoureuse Nature! Une... | |
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