Histoire et traité des sciences occultes: ou, Examen des croyances populaires sur les êtres surnaturels, la magie, la sorcellerie, la divination, etc. : depuis le commencement du monde jusqu'à nos jours, Volume 2

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Louis Vivès, 1857
 

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Fréquemment cités

Page 5 - La théorie en est obscure, les principes vagues, incertains, et qui approchent du visionnaire. Mais il ya des faits embarrassants, affirmés par des hommes graves qui les ont vus, ou qui les ont appris de personnes qui leur ressemblent : les admettre tous , ou les nier tous...
Page 550 - Quelques-uns même, naguère enthousiastes, en furent effrayés comme d'un funeste présage. Ils crurent que ces nuées enflammées s'amoncelaient sur nos têtes, et s'abaissaient sur cette terre, pour nous en défendre l'entrée. Il est vrai que cet orage fut grand comme l'entreprise. Pendant plusieurs heures, ses lourds et noirs nuages s'épaissirent et pesèrent sur toute l'armée ; de la droite à la gauche, et sur cinquante lieues d'espace, elle fut tout entière menacée de ses feux et accablée...
Page 656 - ... mort ; d'où l'on conclut qu'il était un signalé vampire. Le bourreau lui enfonça un pieu dans le cœur. On fit un bûcher, et l'on réduisit en cendres le cadavre. On ne trouva aucune marque de vampirisme ni dans le cadavre du fils ni dans celui des autres.
Page 356 - Tournelle , il ya preuve qu'au même jour et à la môme heure que Brasde-Fer avait commencé à lever le sort, Hocque, qui était un homme des plus forts et des plus robustes, était mort en un instant dans des convulsions étranges, et se tourmentant comme un possédé , sans vouloir entendre parler de Dieu ni de confession. — Bras-de-Fer...
Page 69 - RoscCroix, faisons séjour visible et invisible, en cette ville, par la grâce du Très-Haut, vers lequel se tourne le cœur des justes; nous montrons et enseignons, sans livres ni marques, à parler toutes sortes de langues des pays où nous voulons <Hre pour tirer les hommes, nos semblables, d'erreur de mort.
Page 550 - Il en partit bientôt pour Kowno, où régnait le plus grand désordre. Le fracas des coups de tonnerre n'était plus entendu ; ces bruits menaçants, qui grondaient encore sur nos têtes, semblaient oubliés. Car si ce phénomène, commun dans cette saison, a pu étonner quelques esprits, pour la plupart le temps des présages est passé. Un scepticisme, ingénieux chez les uns, insouciant...
Page 307 - Brissac, major des gardes du corps, pour être conduit au roi à qui il voulait parler en particulier. Il ne se rebuta point des rebuffades qu'il en reçut, et fit tant que le roi en fut informé et lui fit dire qu'il ne parlait pas ainsi à tout le monde. Le maréchal insista, dit que, s'il voyait le roi, il lui dirait des choses si secrètes et tellement connues à lui seul, qu'il verrait...
Page 307 - ... que c'était une illusion et une folie dont il ne se vanta à personne. A deux jours de là, passant au même endroit, la même vision lui arriva encore, et les mêmes propos lui furent tenus ; il y eut de plus des reproches de son doute et des menaces réitérées ; et pour fin...
Page 550 - Cosacks, ce jour-là, comme les suivants, le ciel seul se montra notre ennemi. En effet, à peine l'empereur avait-il passé le fleuve qu'un bruit sourd avait agité l'air. Bientôt le jour s'obscurcit, le vent s'éleva et nous apporta les sinistres roulements du tonnerre. Ce ciel menaçant, cette terre sans abri nous attrista.
Page 307 - Dieu l'aiderait dans tout son voyage, et qu'à une chose secrète qu'il dirait au roi, et que le roi seul au monde savait, et qui ne pouvait être sue que de lui, il reconnaîtrait la vérité de tout ce qu'il avait à lui apprendre. Que si d'abord il ne .pouvait parler au roi...

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