L'Etat criminel: les génocides au XXe siècleSeuil, 1995 - 442 pages "Le XXe siècle aura eu le triste privilège de connaître la barbarie organisée, administrée, étatisée dont le génocide reste la variante la plus affreuse. Qu'est-ce qu'un génocide? Cet essai n'est pas un catalogue de l'horreur. Il est d'abord une tentative d'intelligibilité face à l'"État criminel". On y trouve les faits sur les génocides et autres massacres "génocidaires", de la Shoah aux violences de Bosnie et du Rwanda. Plus profondément, Yves Ternon, en utilisant les outils des différents spécialistes des sciences humaines, s'efforce de rendre raison du phénomène qui hante notre histoire contemporaine."--Page 4 of cover. |
Table des matières
Section 1 | 7 |
Section 2 | 9 |
Section 3 | 17 |
Droits d'auteur | |
19 autres sections non affichées
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
accusation actes allemands Arméniens avaient avant Cambodge camps caractère citoyens civile collectif Commission communauté communiste concept conditions considérer contrôle Convention cours créer crime crime contre l'humanité criminel Croates d'autres décembre définit déportation désigner destruction détruire devant différents dirigeants doit économique effet Einsatzgruppen établi État ethnique événements fonction fondée force forme général génocidaire génocide gouvernement groupe guerre Herero hommes humaine Indiens internationale jugement Juifs Khmers rouges koulaks Kurdes l'armée l'État l'histoire l'homme l'ONU l'un limites massacres membres menace menée ment mesure meurtre militaire millions minorités mise monde morale mort moyens musulmans nation nationale nature nazis nouveau nouvelle organisations parle passé pays pendant permet perpétré personnes peuple place population porte pose pouvoir première préserver Press projet qu'une question raison rapport régime région religieux représente répression responsabilité reste serait Serbes seul siècle situation sociale société souvent structure système terres territoire tion totale traite tuer Turcs Tziganes victimes violence volonté zones