Oeuvres complètes ...: Méthode d'équitation ...

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Chez l'auteur, 1859 - 744 pages

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Table des matières

I
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II
22
III
33
IV
46
V
56
VI
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VII
65
VIII
78
XXXIX
267
XL
271
XLI
279
XLII
285
XLIII
289
XLIV
293
XLVI
295
XLVII
301

IX
82
X
89
XI
93
XII
99
XIII
110
XIV
113
XV
116
XVI
127
XVII
130
XVIII
132
XIX
136
XX
141
XXI
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XXII
152
XXIII
155
XXIV
162
XXV
171
XXVI
175
XXVII
179
XXVIII
183
XXIX
185
XXX
197
XXXI
209
XXXIII
219
XXXIV
231
XXXV
245
XXXVII
253
XXXVIII
257
XLVIII
307
XLIX
315
L
319
LI
321
LII
325
LIV
327
LVI
355
LVII
371
LVIII
379
LIX
403
LX
413
LXI
443
LXII
449
LXIII
484
LXIV
496
LXV
514
LXVI
521
LXVII
525
LXVIII
526
LXIX
534
LXX
553
LXXI
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LXXII
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LXXIII
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LXXIV
580
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585
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Expressions et termes fréquents

Fréquemment cités

Page 448 - ÉCHAPPER. Laisser échapper son cheval de la main, c'est tout lui rendre, afin qu'il prenne un galop accéléré, Je n'ai jamais été partisan de laisser ainsi le cheval livré à lui-même, d'abord parce qu'on perd les moyens de le diriger et de le secourir, en modérant ses forces; ensuite parce qu'on se met à la merci de ses caprices ou de sa faiblesse. Il est vrai que certains chevaux seraient plus adroits, avec la liberté de leurs mouvements, que sous le joug de- moyens contre nature ; mais...
Page 585 - SAUT DE PIE, c'est un petit mouvement du cheval qui imite le saut d'une pie. Rien ne dénote le cheval mal monté comme de le voir, tous les cinq ou six temps de pas, se contracter, tendre ses jambes de devant, et faire ce petit saut. Ce défaut, car c'en est un, est pour l'ordinaire un signe de faiblesse chez le cheval , et d'une irrécusable maladresse chez le cavalier, qui recherche mal à propos son coursier, sans consulter ses moyens.
Page 443 - CRU (monter à), monter à poil, c'est monter un cheval sans selle ni couverture. Quelques instructeurs de cavalerie s'imaginent donner plus de solidité à leurs soldats en les faisant ainsi monter à cru; ils sont dans l'erreur : les conformations bizarres de certains chevaux, qui ont l'échiné saillante , ou qui sont bas du devant , rendent la position du cavalier difficile et défectueuse. A défaut de selle, il vaut mieux encore prendre une couverture pliée en quatre, qui force l'élève à...
Page 57 - ... et le flattera de la main sur le chanfrein et sur l'encolure, puis, avec la main gauche, il saisira les rênes de la bride, à 16 centimètres des branches du mors, en soutenant le poignet avec assez d'énergie pour présenter autant de force que possible dans les instants de résistance du cheval. La cravache sera tenue à pleine main...
Page 596 - Pour l'intonation, il faut aider au sens des paroles par des mouvements de corps plus ou moins vifs, en raison des allures que vous lui commandez : ainsi , marchez plus vite quand il est au galop, plus doucement quand il va le trot, et ralentissez encore pour l'allure du pas. Bien que vous soyez à une grande distance du cheval, il n'en aura pas moins les yeux sur vous, et suivra plus facilement la mobilité de votre corps, qu'il n'obéira à des paroles qu'il ne comprendra que par les indications...
Page 597 - ... à son épaule ; si , après avoir répété ce mouvement autant de fois qu'il marquera de l'hésitation, il vient franchement à vous , marchez pour entretenir son action , et le conduire sur la piste opposée. Les changements de main s'obtiendront plus facilement encore, le cheval cherchant toujours à s'éloigner de son instructeur. Pour obtenir ce changement , vous vous porterez un peu en avant , du côté vers lequel il marche , en lui montrant la chambrière. Le reste de défiance qu'il...
Page 596 - ... suivra plus facilement la mobilité de votre corps, qu'il n'obéira à des paroles qu'il ne comprendra que par les indications accessoires. Le cheval ayant été habitué d'avance à s'approcher au mot : A moi! accompagné d'une retraite de corps, prendra aisément des changements de direction par le moyen suivant : diteslui: Doublez! s'il hésite^ la chambrière et le caveçon feront leurs fonctions pour l'amener jusqu'à vous; puis vous le conduirez jusqu'à l'extrémité de la ligne du doublé...
Page 432 - Supposons que le cavalier soit à main droite, à deux pas du coin d'un des grands côtés: il part de deux pistes comme pour le changement de main ; mais, au milieu de la ligne, on reporte, le cheval à l'autre main, pour reprendre le mur, à peu près à deux pas de l'angle opposé du même côté.
Page 201 - Pourquoi faut-il un mors doux pour tous les chevaux, quelle que soit leur résistance? R. Parce que le mors dur a toujours pour effet de contraindre et de surprendre le cheval, tandis qu'il faut l'empêcher de faire mal et le mettre à même de bien faire.
Page 547 - Malheureusement la manière de conduire un cheval tient le plus souvent au caractère du cavalier, et les principes sont inefficaces; la réflexion seule opère à cet égard. METTRE DANS LA MAIN. Le cheval dans la main est celui qui, soumis à la moindre opposition de main et de jambes, soutient son encolure, place sa tête, et dispose son corps de manière à être dans un équilibre parfait. La liaison intime entre la force de chaque partie peut seule donner à leur action prestesse et régularité....

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