Recueil des dépêches, rapports, instructions et mémoires des ambassadeurs de France en Angleterre et en Ecosse pendant le XVIe siècle: Conservés aux Archives du Royaume, à la Bibliothèque du Roi, et publiés pour la première fois sous la direction de C.P.C.Panckoucke, printer, 1840 |
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Recueil des Dépêches, Rapports, Instructions et mémoires des ..., Volume 6 Charles Purton Cooper Affichage du livre entier - 1840 |
Expressions et termes fréquents
advis affin ainsy arryvé aulcuns aultant aultres aulx aussy avecques aviez avoient avoit avoit faict avoyr bientost bonne c'estoit celluy ceste court ceste heure ceste princesse ceulx Chastre choses Chrestiennes comte de Lestre comte de Montgommery conseil contantement costé cueur d'avoyr d'Élisabeth d'ung debvoit deçà dellà dellibération DÉPESCHE desjà dicte Dame Envoyée exprès jusques Escosse escript estat esté estoient estoit estre eulx faict fère feu Roy filz foys françoys honnestes honnorable j'ay jamays jour jusques à Calais l'ambassadeur l'aultre l'ung laysser luy avoit luy ay Madame mandé Marie Stuart Méru mesmes Mestresse mettray mieulx milord de North Monseigneur le Duc monstré Montgommery moys n'avoit navyres néantmoins négociation parolles party peût peyne poinct pourroit pouvoit prince qu'ilz quoy rayson religyon responce Rochelle Roy d'Espaigne royaulme Royne d'Angleterre sçavoyr sellon seroit Sire tousjours toutz uzer Vostre Majesté vouloit voyr voz affères Voz Majestez voz subjectz vray
Fréquemment cités
Page 161 - ... la preuve, pour le regard de Vostre Majesté, de plus de quinze ans, et du Roy, vostre filz , depuis son aage de discrétion ; et que , si elle avoit doubté, d'aultrefoys , de quelque sienne affection, lorsqu'il n'estoit que Duc d'Anjou , qu'elle estimât qu'à présent toutes ses affections seroient d'ung grand Roy de France, son voysin , qui , en restablissant les ruynes de son royaulme par une perdurable paciffication de ses subjects , chercheroit de confirmer avec elle la mesmes confédération...
Page 396 - Majesté avoit au dict pays, et tué le général et emmeyné l'artillerye , elle m'a dict que c' estoit chose dont ilz ne luy avoient pas demandé congé de la fère, et qu'elle ne la trouvoit nullement bonne; et que, puisque je m'en pleignoys, elle leur en feroit fère une si bonne réprimande que, s'ilz ne se monstroient, dorsenavant, plus modérez, elle les chasseroit de son royaulme. Et ayant ainsy layssé la dicte Dame bien contante , je me suys pour ceste foys retiré. Et sur ce , etc. Ce...
Page 212 - Il est arryvé icy , d'Allemaigne , ung françoys, qu'on m'a dict s'appeler, de son propre surnom , Poutrin , mais il se faict nommer Dupin , lequel a esté négocier en ceste court, et les ministres, avec aulcuns aultres principaulz protestantz, le sont allez assister. Qui ont, toutz ensemble, ainsy qu'on me l'a rapporté, fort instamment pressé d'avoir argent ou crédit de ceste princesse pour fère la levée , en Allemaigne ; mais , après beaucoup de réplicques, d'ung costé et d'aultre, elle...
Page 361 - ... bien fort à la paix. Me Wilson a escript, de Flandres, que les choses s'y tournoient fort disposées à la paix, s'estant le grand commandeur layssé entendre que le Roy, son Mestre, pourroit condescendre de retirer les Hespaignols, et laysser à ceulx de la nouvelle religyon la liberté de conscience sans exercisse, et de remettre toutz les anciens privilèges du pays, et confirmer le gouvernement de Ollande et Zélande au prince d'Orange, et de luy rendre son filz qui est en Espaigne; et qu'à...
Page 149 - ... apparance quelconque que de toute amityé ; aussy que je sçay bien que , sur la résolution de leur armement , ilz ont mis en avant plusieurs considérations des choses de France, et que les minystres françoys, qui sont icy, et aulcuns, de la part des eslevez , ne cessent de négocyer , toutz les jours, avec eulx ; et que mesmes le cappitayne Montdurant et ceulx de sa troupe ont envoyé offrir leur service à la dicte Dame , je ne puis fère que je n'aye grande meffiance de leur susdict armement....
Page 127 - Guyenne ; je me résouls , d'ung costé , Sire , de retenir ceste princesse , aultant que je pourray, en vostre dévotion, et de divertyr, s'il est possible, qu'il ne vous viegne nul mal d'elle ny des siens, ou le moins que fère se pourra, et vous supplyer très humblement , de l'aultre , que vous ne layssiés, pour cella, de vous pourvoir contre leur armement , comme contre suspectz amys, ou bien contre couvertz enuemys, affin qu'ilz ne vous puissent uzer de surprinse.