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à pied, à cheval, par eau, en charrettes & charriots; c'est une déroute complette; des le 4, l'Electeur s'eft retiré; enfin la horde des Prêtres & des Nobles eft aux abois, pendant que le Peuple attend les François comme

des libérateurs.

Un Papier Allemand dit que les Puiffances coalifées avoient compté principalement fur l'appui de la Sardaigne & de l'Espagne, qui depuis deux ans faifoient leurs difpofitions, qu'il est bien furprenant que ces Rois étant les plus proches parents de la Maifon de Bourbon, ils n'ayent encore rien fait pour la foutenir.

par la fenêtre un vafe rempli de cette eau, dans lequel lefdits effets avoient été mis en diffolution. D'après la déclaration du Jury de jugement, & les conclufions du Commiffaire National, le Tribunal a prononcé la peine d mort contre ledit Jofeph Picard & la fille Leclerc, comme atteints & convaincus d'avoir été complices des vols faits au GardeMeuble avec fraction & a mains armées dans les nuits des 11, 13, 14, 15, 16 & 17 Septembre dernier, & a ordonné de plus la confifcation de leurs biens.

François Denis, déjà repris de juftice, & Anne Pech, veuve Simoneau, impliqués dans cette affaire, ont été acquités d'accufa,

Voici à-peu-près la manière dont on a annoncé dans l'étranger l'affaire du 20 Sep- mais ledit Denis, accufé d'un vol tembre, & la fufpention des hoftillités. Hait avec fraction, a été recroué dans les prifonse

L'ennemi a ipofté avec vivacité & ave quelque fuccès à notre canonnade, mais f perte a été plus confidérable que la nôtre; nous l'aarions battu complettement fi des considérations majeurs n'avoient empêché le Roi de livrer bataille.

Enfuite de la prife de Verdun, il ne tenoit qu'à nous d'affiéger Metz, Thionville & Sedan, dont nous nous ferions certainement endu maîtres, mais les conquêtes n'entroient pas dans les vues des Cours de Berlin & de Vienne. Leur unique intention étoit de tirer de l'oppreffion le Roi de France & fes partisans & de pénétrer dans l'intérieur du Royaume afin de connoître les véritables fentimens de la Nation.

Le Général Dumouriez renvoya fort obligeament quelques prifonniers qui n'étoient point militaires; la générosité de cette démarche donna lieu à d'autres propofitions d'échanges.

Le Général François répondit qu'il falloit attendre l'autorisation du Confeil, voilà ce qui a donné lieu à la suspension d'hostilités.

TRIBUNAUX.

TRIBUNAL CRIMINEL. Jofeph Picard, dit Laurain, accufé d'avoir acheté ou récélé deux petits canons avec boulets, & un mortier d'or & d'argent, enrichis de diamans, provenans du tréfor du Garde-Meuble, qui ont été brifés : & la fille Anne Leclerc, accufée de complicité, & d'avoir, le jour de la vifite faite chez ledit Picard, acheté de l'eau-forte, d'avoir jetté

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Attons des Ind. de 20 liv. 1967.
Portion de 3 12 liv. 10 f. 240.
Portion de roc liv.... 80.
Empr. de 125 mill. pair. 4. 1. 1. 4. p. pair.
t. p. pair. t. 4. 1. 1. 1. t. be.

3

5

Emprunt de 30 millions:
Le billet & le ballevir. 44. 4. be.
dem fans bull. 14. 4. 4. 2.
Idem forti. . 5. 4.
Bulletin non forti 73.734.
Reconn. de bull. non forties. 75.
Emp. National. 8. 7. 8. 74. 4. 9. 91.
Caille d'Efcompte 3600. 10. 15. 20.
Pemi-Actions. 1809. 5. 10.

Nouv. 'ndes. 963. 64. 63. 69.63. 64. Affurance des Incend. 385. 86, 85. 84. 83. 82.84.85.86. 87. 98. 89. 90. 91. 92. 93. Affur. à Vie. 382. 80. 79. 84. 85. 86. 87. 88. Rentes.

2

re Claffe. 88. 89. 89. 1

Janv. 1792.

8. 81. 81. 82. rer Janv. 1792,

- 76‡. 1er Janv. 1792.

77. 1er Janv. 1792.

Cours des Changes d'hier.

Arift... 35. à .
Hamb. 293.

Lon res. 194.

Mad. 231.15f. 12f. 6d.

Cadix. 231. 1of. 7f. 6d.

Gênes... 149.

Livourne. 159.

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Payemens de l'Hôtel-de-Ville de Paris, fix premiers mois 1792..... Lettre P.

JOURNAL DE PARIS

NATIONAL.

BIBLIOT

LYON

1893

Vendredi 26 OCTOBRE 1792, l'an 1er de la République.

Octobre

CONVENTION NATIONALE.

PRÉSIDENCE DE GUADET.

Jeudi 25 Octobre.

exécution, fuivant les autres la liberté de la République eft perdue s'il fe réalife. Certes il eft difficile aux gens raifonnables & de bonne foi de croire qu'il y aille de la liberté ou de l'unité de la France. Ce n'eft pas avec 4000 hommes appellés de toutes les parties de l'em

des Repréfentans annuels du Peuple, révoca bles à la volonté de leurs Départemens, & réunis dans une ville de 100,ɔcɔ ames pourJoient ufurper un pouvoit abfolu fur 24 millions de Citoyens difperfés fur un territoire de 24 mille lieu s carrées; d'un autre côté ce n'eft pas non plus en réuniffant à Paris 4000

Les villes, les particuliers, dans les noms defquels il y a du Bourbon, du Louis, dupire & réunis pour deux années feulement que Royal, viennent fucceffivement demander d'autres noms à la Convention nationale; la ville de Port-Louis demande aujourd'hui à s'appeller le Port de la Liberté. La Convention renvoie cette pétition & celles de même genre qui viendront à la fuite au Comité de legislation. Rien de plus fage, car il fut aufi créer un fyflême de nons ou d'appel-homines armés, effentiellement privés de tout lation. Il faut examiner i le principe de l'égalité permet qu'un fils hérite du nom de fon père, fi une femblable hérédité n'affare pas au defcendant d'un notable citoyen une forte de préciput dans les avantages de 11 fociété au préjudice de ceux qui naiffent de pères obfcurs ou mal famés. Il faut décider aufli à qui il appartient de donner des noms Citoyens. Il faut déterminer enfin comment &

aux

caractère de representation & de toute faculté de delibérer qu'on affurera l'adhérence des dif férentes Sections de l'empire. On ne croit pas fans doute avoir befoin de fi foibles agraffes pour unir des Départemens autour defquels 20ɔ mille hommes de troupes réglées, foldées par le tréfor public, forment un cercle puiffant, & que deux autorités centrales attirent fortement à elles: Il faut le dire tout fim

à quel point les noms devront être attachés,plement; il s'agit d'aflurer la liberté parfaite

& li je puis le dire, adhérens aux perfonnes, pour qu'elles fe retrouvent sûrement & faci lement lorfqu'il y a lieu de les rappeller à l'accompliffement de leurs obligations publiques ou particulières.

de la Convention Nationale, e la préferver de la menace ou de l'infulte de factions; il L'agit de gar der fes portes & fes avenues; il s'agit de la police du lieu de fes féances. Le choix des moyens n'eft donc lui-même qu'une Barbaroux lit des pétitions pour & contre queft'on de police intérieure. Seront-ce des le projet de la Garde nationale extraite des Hoiffiers avec des bâtons d'ivoire, des gar83 Départemens & deflinée à la fûreté de la des avec des piques, ou avec des fufils, des Convention. Je m'étonne chaque jour davan gardes de Paris ou de tout le Royaume, des tage de l'importance qu'on affecte d'attacher gardes permanentes, ou périodiques ? tant dans les deux partis à ce projet. Suivant les qu'il ne fera queftion que de 3 ou 4 mille uns l'unité de la République dépend de fonhommes, les élémens de cette garde n'ent

l'autorité repréfentative de la fouveraineté. Il me femble aufli qu'il eft un principe décifif dans cette matière & qui auroit dû être

changent pas la nature; & la queftion n'eft encore une fois qu'une queftion de régime domeftique qui ne touche en rien à la politique nationale; quelle que foit la décision de l'Affem-invoqué, c'eft que le droit de pétition eft un

blée, la liberté ne peut s'en allarmer. Je penfe qu'une Affemblée Nationale, bien plus qu'une Nation, n'a befoin pour être libre, que de vouloir l'être; que fa Garde eft la Nation entière, que les factions de Paris trembleront toujours devant elle quand elle montrera la ferme réfolution de publier leurs entreprises) & d'y réfifter; mais je penfe auffi que fi une ga de fans être néceffaire à fa sûreté, l'est à Ta fécurité, que fi cet appuy eft utile aux efprits inquiets, aux ames foiblement trempées pour l'émiflion libre de leurs fuffrages, en ce cas elle doit à la Souverainneté nationale l'établiffement de cette force extérieure, & il eft du devoir de tout Citoyen de refpecter le décret qui l'établ a.

Barbaroux dénonce un arrêté du ConfeilGénéral de la Commune, qui ordonne l'envoi aux 44 mille Municipalités de la République, de la pétition préientée au nom des 48 Sections contre le projet de la force armée dont nous venons de parler. Barbaroux demande que cet arrêté foit caffé; il fe fonde fur la loi qui defend aux Communes de faire des dépenfes extraordinaires fans l'aveu des Adminiftrations de Département. Buzot appuie la motion de Barbaroux, & obferve que la démarche de la Commune de Paris tend à rompre P'unité de la République. En conféquence, la Convention nationale caffe & annulle, comme contraire aux loix, & tendant, par une correfpondance officielle des Municipalités entr'elles, à détruire l'unité & l'indivisibilité de la République, l'arrêté de la Commune de Paris du 19 Octobre, & décrète que les Membres du Confeil-Général qui ont pris ledit arrété feront perfonnellement refponfables des dépenfes occafionnées par l'impreffion & l'envoi de cet arrêté aux Départemens & aux Municipalités de la République.

Il auroit été très-utile que ce décret fût motivé avec un peu plus de précifion & d'étendue; que les loix fuffent citées, & leurs motifs rappellés. Ce n'eft pas la correfpondance des Municipalités qui fera en foi un obftacle à l'unité, c'eft leur correfpondance pour fe communiquer des délibérations illégales, & s'exciter mutuellement à contrarier

droit individuel, & que toute corporation qui en rédige ou en propofe, qui employe l'autorité, ou du moins l'afcendant qui lui eft propre, pour la faité foufcriré viole dans fon effence ce droit individuel, qui eft une garantie contre les autorités elles-mêmes. Enfin on pouvoit ajouter que plufients Sections réclament contre une pétition qui a été préfentée comme leur vou.

Chauvelin, Miniftre plénipotentiaire de la République de France à Londres, envoye 3000 lives pour les Citoyens de Lille. La Convention applaudit à cette offrande.

L'ordre du jour amenoit la difcuffion du projet de loi propofé fur les fubftitutions. La Convention en décrète les deux premiers articles. Ils font ainfi conçus :

ART. Ier. «Toutes fubftitutions font interdites & prohibées pour l'avenir. »

II. « Les fubftitutions faites avant la publication du préfent décret, par quelques actes que ce foit, qui ne feront pas ouvertes à l'époque de ladite publication, font & demeurent abolies & fans effet.,

L'opinion publique avoit depuis long-tems provoqué cette loi. On peut dire que l'usage des fubftitutons, étoit l'abus de l'abus, car on ne tardera pas à reconnaître fans doute que le droit de tefter eft auffi un abus ; les fubftitutions étoient une fource de procès interminables. Elles gênoient les entreprises commerciales; elles nuifoient au crédit des hommes induftrieux qui en étoient grèvés & ne les déguifoient pas; elles favorifoient les farcins des diffipateurs fans foi qui avoient foin de les cacher; lles favorifoient l'inégalité des fortunes; elles nuifoient à la divifion des propriétés; elles expofoient même les ufufruitiers aux attentats de la cupidité preffée de jouir. La Plaigne, Député du Départ ment du Gers, a fait valoir dans fon rapport la plupart de ces confiderations; & la Convention par la promptitude de fa décihion a prouvé qu'elles lui étoient déjà fami

lières.

Les Commiffaires à l'armée du Nord écrivent, de Douay le 22, que Marchiennes, Orchies & tous les environs font occupés

par les troupes de la République, que les ennemis s'en font retirés après avoir commis les plus affreux brigandages.

La Commune de Paris demande qu'il foit mis 6 millions à la difpofition du Miniftre de l'Intérieur, pour le fervice de la Maifon de Secours, & que les Billets de Secours contimuent à refter en circulation.

Cambon fe récrie contre cette demande : comment, dit-il, ne fera-t-il donc pas poffible d'avoir les comptes de la Municipalité de Paris relativement à la Caille de Secours ? Vingt fois nous les avons demandes. Je m'oppofe à ce que la Convention décrète rien à ce fujet avant que ces comptes foient rendus, & je dewande que fi dans 24 heures nous ne les avons pas, la Commune de Paris foit fufpendue, & que fon procès lui foit fait

Un Membre demande un décret d'accufation contre les Membres de la Municipalité 'de Paris, qui font, dit-il, conftamment rébelles aux décrets de la Convention. Les deux Municipaux qui fe font évadés avec Guillaume ne font peut-étre, ajoute-t-il, que les Mandataires de la Commune de Paris pour tromper le Peuple & émettre de nouveaux

billets.

Santerre, continue le même Membre, a dit aux Jacobins que fi la Convention ne vouloit pas accéder à la demande de la Commune, on réuniroit 4 mille hommes, & que l'on forceroit la Convention à faire ce que veut la Commune.

Kerfaint demande que l'Affemblée entende le Département & la Commune à la barre, & que les propofitions faites foient ajournées. Si on vous menace de 4000 mille hommes, dit-il, je vous réponds de 20000 pour vous défendre.

La Convention décrète a que demain à midi, en vertu des décrets déjà rendus, la Municipalité de Paris préfentera l'état de fituation de la Caiffe de Secours, & rendra compte des mefures qu'elle a prifes relativement à la fuite de Guillaume & des deux Municipaux qui l'ont accompagné. » REDERER.

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A Spincourt, proche Longuion, ce 11 Oct. 1752. «C'eft avec la mort dans l'ame que je prends la plume, mon petit papa, pour vous donner de nos nouvelles & les triftes détails de ce qui fe paffe ici. Nous nous portons tous bien; mais ce que j'avois prévu dans mon poft-fcriptum d'avant hier ne s'est que trop réalifé. Nous fommes en route pour retourner en Allemagne, la confternation & le défefpoir règnent dans notre armée. Voilà ce que nous favons de certain. Voici les bruits qui Le répandent:

Les uns difent que l'on va, au sortir de France, licenéier l'armée, ce que je ne crois pas, car dans ce cas, les neuf dixièmes des Gentilshommes font littéralement réduits à l'aumône. Les autres affurent, ce qui me paroît vraisemblable, que nous allons cantonner dans le pays de Liége, où l'on donnera la fubfiftance pendant l'hiver à ceux qui ne pourront pas fe la fournir ailleurs. On dit que nos Princes font à Longwy, que là ils nous feront leurs adieux en paffant, & partiront pour l'Ita lie, d'autres, qu'ils vont retourner à Coblentz. Mais ce qui eft plas fâcheux, c'eft qu'on affure encore que le Roi de Pruffe abandonne tout-à-fait la partie, & qu'il retourne avec fon armée dans fes états; je ne puis le croire, quoique tout le monde l'afTure. Ce qui cependant eft certain, c'est qu'il a remis Verdun aux Autrichiens, qui le gardent d'hier.

On dit que ceux-ci ne veulent point abandonner la partie : ils jettent feu & Aamme contre le Duc de Brunswick, & l'on tient fur cela des propos que je ne puis livrer au papier. Mais le chagrin eft tel, que plufieurs de nos compagnons d'armes font déjà partis, & que quelques-uns retournent en France, & difent qu'ils aiment autant être massaerés

que de mourir de faim. Bien des gens croient
qu'il y a des négociations en train, que la
bafe en eft arrêtée, & que les détails vont
s'en traiter à Luxembourg, où les Minif-
tres de l'Empereur, de Ruflie, & le Baron
de Breteuil retournent aujourd'hui. Mais
avec qui peut-on traiter Sur quelles bafes
fe traitent les affaires : C'est ce que je ne
puis concevoir & que le tems feul pen éclai-
rer. Mais en attendant, notre pofition devient
affreufe; il eft impoffible de favoir ce que
nous allons devenir, & quels moyens nous
aurons pour donner du pain à nos familles.
Quant à moi, je fuis décidé à refter avec

de Mayence par l'armée aux ordres du Général Cuftines.

On affure auffi que tout a été arrangé à l'amiable dans la ville de Genève. Les Suiffes ont quitté la ville. Les François n'entreront point fur le territoire de la République. Le Général Montefquiou eft, dit-on, malade à Carrouge,

Bourfe d'hier.

Actions des Ind. de zyon liv. 1980. 84. 923.

TRECUP bataillon jufqu'au dernier moment; mais Emprunt d'C&t. de 500 liv. 415.

BIBLIO

les Princes nous auront licenciés

y que nous aurons pris nos cantonnemens, rai joindre vous & mon époule à Aix-laheile, où nous chercherons à prendre les movens les plus économiques pour paffer notre hiver avec le peu de moyens qui nous reftent, & attendre les événeniens décisifs & la marche que prendront les gens d'honneur dont je ne veux pas, fi je puis, me feparer,

Je prévois que d'ici à la fin du mois je pourrai me réunir à vous; je vous prie de le dire à mon époufe. D'ici là je tâcherai de vous donner le plus que je pourrai de mes triftes nouvelles, & en attendant je vous offre & a Mme d'Harcourt mon tendre refpect, & embraffe mon époule & mes enfans, de

tout mon cœur.

P. S. Un Officier, qui arrive à l'infant de Verdun, nous apporte la défolante nouvelle que le Duc de Bran wick, après un entretien avec Dumouriez, a donne l'ordre d'évacuer Verden, qui fera remis après-demain aux Patriotes. On dit le Prince de Hohenlohe furieux; il a repallé la Meufe, & eft campé de ce côté- ci à une lieue : nous fommes dans une mer de défolation, & n'y pouvons rien concevoir. Adieu. »

NOUVELLES.

Paris, le 25 Octobre.

On affure qu'un Courrier extraordinaire a apporté hier au foir la nouvelle de la prife

Emp. de 1782. 4.
Empr. de 125 mill.

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6.7.7. 8. 9.

14. 4. 2. 2. 2.

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7

be,

Nouv. Indes 920. 25. 22. 20. 18. 20. 22.
Affurance des incend. 995. 56. 97. 98. 97.

96.95. 04. 93. 95. 96. 405. 398. 94. 93. Affir. à Vie. 390. 94. 95. 96. 98. 400. 2. Rentes.

re Claffe. 90. 89. 1er Janv. 1792.
82. 1 Janv. 1792.
,er Janv. 1792.

-

-

༡ཉ;.

69. 1er Janv. 1792.

Cours des Changes d'hier.
| Cadix. 33 1. 5 f.

Amit.... 35.
Hamb. 290.
Lond. 194. .
Mad. 23 1. 10 f.

3

Gênes. 149. 148.
Livourre. 159. 15.

LYON, pt d'Août. . p.

Pavemens de l'Hôtel-de-Ville de Paris, fix premiers mois 1792...... Lettre P.

On s'abonne au Bureau, rue J. J. Rouffeau, N° 14. Prix 30 liv. par an pour Paris, & 33 liv pour la Province, franc de port. On n'abonne que pour une année.

De l'imprimerie du Journal de Paris, même Maifon.

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