La Revue du Bas-Poitou et des provinces de l'ouest1908 |
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Expressions et termes fréquents
Aizenay Arch Aulneau avaient avril baron Bas-Poitou bois brigands Bruffière canton Cartrie catholique célébré centimètres Chabot Challans chant Chantemerle charité Charles château Chaume chrétienne citoyen cœur Commequiers commissaire comte condoléances Conseil curé d'Elbée décédé décembre département dernier diocèse Directoire écoles enfants épée Epesses estimé famille femme février fille Fillon fils Fontenay Fontenay-le-Comte François frère fructidor Gaubretière général Gilles Gilles de Rais guerre de Vendée habitants j'ai Jacques Forestier Jean Jeanne jeune jour juillet juin l'abbé l'armée l'église l'évêque lettre libraire livres Louis Luçon maire maison Mallièvre mariage mariée mars ment Mercy Mile militaire Montaigu mort Mortagne municipalité Nantes Noirmoutier officier Paillou paroisse passé Paul Scarron père Pierre Poitiers Poitou président prêtre quillon régent religieuse René républicains République reste Revue Roche-sur-Yon Rochelle Rollon Sables Sables-d'Olonne Saint Sapinaud seigneur septembre sera serment seulement siècle sieur Société sœur sympathies Tiffauges tion Treize-Vents trouve Vendée Vendéens vicaire
Fréquemment cités
Page 346 - Les manuscrits devront être entièrement terminés, lisiblement écrits sur le recto et accompagnés des dessins, cartes, croquis, etc., nécessaires, de manière à ne pas en retarder l'impression, si elle est décidée . » J'appelle toute votre attention sur ces prescriptions. Elles ne restreignent pas le droit pour chacun de demander la parole sur les...
Page 276 - mes paroles. Permets que nous puissions seulement « traverser cette cité ; nous ne toucherons point à ta « ville et nous conserverons à toi et à Eudes tous vos « biens. » Le pontife du Seigneur répondit à Sigefrid : « Cette « cité nous a été confiée par l'empereur Karl.
Page 315 - III, je jure de m'opposer de tout mon pouvoir au rétablissement de la royauté en France et à celui de toute espèce de tyrannie...
Page 456 - Bretagne, ministre d'Etat, à tous ceux qui ces présentes lettres verront, salut, sçavoir faisons que sur le bon et louable rapport qui nous a été fait de la personne de M.
Page 503 - Vous êtes évêque de Séez? — Oui, Sire. — Je suis très « mécontent de vous. Vous êtes le seul évêque sur qui j'ai « reçu des plaintes. Vous entretenez ici des divisions. Au « lieu de fondre les partis, vous distinguez encore entre les « constitutionnels et les inconstitutionnels. Il n'ya plus que « vous en France qui se conduise ainsi. Vous voulez la guerre « civile. Vous l'avez déjà faite ; vous avez trempé vos mains « dans le sang français. Je vous ai pardonné, et vous...
Page 346 - Elles ne restreignent pas le droit pour chacun de demander la parole sur les questions du programme et sont de nature à assurer la marche régulière du Congrès. J'insiste tout particulièrement, afin que les mémoires parviennent, avant le '20 janvier prochain, au 5° bureau de la Direction de l'Enseignement supérieur.
Page 305 - A l'extrémité opposée de la place, on verra un nouveau trône formé des débris du premier, recouvert d'un manteau aux trois couleurs, et surmonté des emblèmes de la tyrannie triumvirale : un masque, un bandeau, des poignards, des torches et un cahier, sur lequel seront écrits ces mots en titre : Constitution de 1793.
Page 127 - Sous l'écorce un peu grossière d'un curé de village, il était un homme de beaucoup d'esprit, fin, habile, sans nulle ardeur religieuse, mais convenable dans le langage et les apparences ; ses relations avec les gentilshommes et les propriétaires étaient bonnes et familières ; il avait aussi la confiance des paysans. Le général Gouvion logea, pendant une grande partie de sa mission, au presbytère d'Aizenay, et l'abbé Herbert devint son conseiller intime. Ce fut de leurs entretiens que sortit...
Page 276 - Siegfried, que ma tête soit condamnée à tomber sous le glaive et à servir de pâture aux chiens ! Mais si tu ne cèdes à nos prières, dès que le soleil commencera son cours, nos camps lanceront sur toi leurs traits empoisonnés, et, quand le soleil finira son cours, ils te livreront à toutes les horreurs de la faim ; et cela, ils le feront tous les ans.
Page 317 - Ce siècle avait deux ans! Rome remplaçait Sparte, Déjà Napoléon perçait sous Bonaparte, Et du premier consul déjà, par maint endroit, "Le front de l'empereur brisait le masque étroit. Alors dans Besançon, vieille ville espagnole, . , Jeté comme la graine au gré de l'air qui vole, Naquit d'un sang breton et lorrain à la fois Un enfant sans couleur, sans regard et sans voix...