Poëmes islandais: (Voluspa, Vafthrudnismal, Lokasenna) tirés de l'Edda de SæmundImprimerie royale, 1838 - 474 pages |
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Poëmes Islandais: (Volupsa, Vafthrudnismal, Lokasenna) : tirés de ..., Volume 1 Affichage du livre entier - 1838 |
Poëmes islandais: Voluspa, Vafthrudnismal, Lokasenna Frédéric Guillaume Bergmann Affichage du livre entier - 1838 |
Expressions et termes fréquents
Æsir allitérantes allz anciens Ases aspirée Asynies Baldur Beyggvir Bragi changement consonnes consonnes liquides d'Odin d'OEgir dentales dérivées désigne dieux différentes diphthongues Dvergues Eldir épique espèce euphonique exprime Fenrir fils fiöld ëk forme fornyrðalag Freki Freyia Freyr Frigg GANGRADE GANGRÂDR géant goth gothique grammaticale grec gutturale Heimdall heitir hémistiche hommes Hrungnir hvat Idunn Iotes iötunn islandais islandaise l'accent l'allitération l'orthographe labiale langues latin lettre Lofar Lokasenna Loki LOKI kvad lotes manuscrits ment Midgard monde mots mythes mythologie Niflheim Nornes Odin për père pluriel poëmes de l'Edda poésie poëte primitif prononciation prophétesse regin rhythme Sæmund sagesse sansc scandinave Seg-pû seidr sémitiques seulement signifie Snorri Sôl strophe Surtur svâ syllabes Thôr tion trouve Vafthrûdnir Vafthrûdnismâl Vala vëra verbe versification við vieux haut allemand Völuspá voyelle voyelle radicale Voyez Völuspá Ymir Ynglinga Saga þâ þat þegi þû
Fréquemment cités
Page 110 - Les idiomes se sont servis des deux moyens à la fois , sans cependant vouloir que l'un el l'autre contribuassent au même but. En effet, l'accent et la quantité ne marchent pas toujours parallèlement l'un à côté de l'autre ; une longueur de quantité ne coïncide pas nécessairement au même endroit avec une élévation d'accent. Comme chaque partie du mot, prise séparément, peut avoir une importance plus ou moins absolue ou relative, en raison de sa signification logique et...
Page 109 - BERGMANN, sur le même principe et , , tendent dans leur application au même but, c'est-à-dire ,,à désigner par une marque distinctive les syllabes, qui ,,pour une cause quelconque, semblent avoir une plus ,, grande importance que les autres. Pour désigner ces , , syllabes sur lesquelles il faut appuyer, la langue a deux ,,moyens à sa disposition: dabord la quantité, qui mar,,que ces syllabes par la durée ou la tenue de la voix, ..et ensuite l'accent, qui Jes distingue et les fait ressor,,tir...
Page 191 - Cf. Bergmann, op. cit., Visions de Vala, traduction, p. 187 : « Je me souviens Du grand Arbre du milieu, sur la terre ici-bas... » P. 191 : « Je connais un frêne, on le nomme Yggdrasill, arbre chevelu, humecté par un nuage brillant..... De là sortirent les trois Vierges de beaucoup de science, De ce lac qui est au-dessous de l'arbre, etc...
Page 128 - Avec une telle théorie, on est obligé de proclamer que ce vers de Racine : Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes est le plus mauvais vers que ce poète ait jamais fait
Page 199 - Cadavres; les portes en sont tournées au nord ; Des gouttes de venin y tombent par les fenêtres ; La Salle est un tissu de dos de serpents. Un fleuve se jette à l'orient dans les vallées venimeuses, Un fleuve de limon et de bourbe; il est nommé Slidur...
Page 144 - Arma virumque cano, Trojae qui primus ab oris, Italiam, fato profugus, Lavinaque venit Littora: multum ille et terris jactatus et alto...
Page 155 - ... grands et du peuple. Bergman raconte qu'un jour Thôrkille, voulant la consulter sur la durée de la famine et des maladies qui désolaient la contrée, l'invita à se rendre chez lui. Elle vint sur le soir et fut reçue avec distinction. Son habillement consistait en un surtout bleuâtre couvert de haut en bas de petites pierres ; son collier était de grains de verre, sa coiffure de peau d'agneau noir doublée de peau de chat blanc. Elle tenait en main un bâton dont la pomme était de cuivre...
Page 187 - ... écrites en Islande1, il y avait deux mondes : Niflheim le glacé et Muspill le brûlant. Des gouttes de la neige fondante naquit un géant, Ymer. « Ce fut le commencement des siècles, — quand Ymer s'établit. — Il n'y avait ni sables, ni mers, ni ondes fraîches. — On ne trouvait ni terres, ni ciel élevé. — II y avait le gouffre béant, — mais de l'herbe nulle part.
Page 155 - Elle vint sur le soir et fut reçue avec distinction. Son habillement consistait en un surtout bleuâtre couvert de haut en bas de petites pierres ; son collier était de grains de verre, sa coiffure de peau d'agneau noir doublée de peau de chat blanc. Elle tenait en main un bâton dont la pomme était de cuivre jaune incrusté de pierreries. De sa ceinture pendait une gibecière qui renfermait des instruments de magie. Elle avait des souliers de peau de veau, avec des tirants terminés en petites...
Page 279 - Le loup engloutira le père du monde, qui sera vengé par Vidar (3) . » En Egypte, la tradition est altérée; Osiris ne combat plus le loup, mais il emprunte au contraire la peau du loup pour aller combattre Typhon. Le loup, ennemi du Soleil, était regardé généralement comme le symbole de l'hiver ténébreux et de la fin du monde. Les paysans jurassiens disent...