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que le traité que nous publions est dû aussi à l'initiative de l'empereur Nicéphore; il présente des traits de ressemblance nombreux avec le De velitatione, et il est difficile de le placer à une autre époque que le règne de Nicéphore. Sur certains points, il est plus complet; ainsi, tandis que le De velitatione ne traite de la que guerre contre les Turcs, l'ouvrage découvert Graux traite par aussi, comme l'a justement remarqué M. Gustave Schlumberger, de la guerre contre les Bulgares (1). Il y aurait même là, selon nous, une indication qui pourrait nous éclairer sur les rapports qui unissent les deux traités (2).

Cependant il y a dans deux manuscrits de Paris, A et C, que nous avons sous les yeux, une indication dont nous croyons qu'il est impossible de ne pas tenir compte. Dans ces deux manuscrits, le Traité de castramétation ne vient pas seulement après les Tactiques de l'empereur Léon, il est rattaché à cet ouvrage, il en fait réellement partie. En effet, dans B, les Tactiques de l'empereur Léon sont précédées, au recto du folio 74, d'une table des matières donnant d'abord les douze chapitres de la première diataxe et les vingt-neuf chapitres de la deuxième; puis, au milieu du verso de ce folio, on lit à l'encre rouge: Kepáλaia tñs aútñs diaτážews, et, au-dessous de cette indication, sont écrits à l'encre noire les titres des trente-deux chapitres de notre Traité. Cette même disposition de la table des chapitres se trouve dans le ms. A, fol. 201 vo et suivants, sauf de légères différences qu'il est inutile de relever ici. Assurément nous ne pensons pas que le Traité de castramétation doive être attribué à l'auteur qui a composé les Tactiques de l'empereur Léon; mais, vu l'absence de toute donnée nette et positive sur l'auteur du Traité de castramétation, nous avons cru qu'il était nécessaire de relever l'indication fournie par deux des manuscrits que nous avons pu examiner.

Bibl. gr., t. VII, p. 677; C. B. Hase, dans les Notices et extraits des manuscrits de la Bibliothèque nationale, t. VIII, 2° partie, page 313,

note.

(1) Un empereur byzantin au x' siècle, Nicéphore Phocas, Paris, 1890; cf. p. 186-187. Dans ce bel ouvrage, M. Schlumberger donne une analyse détaillée du De velitatione et des trois chapitres publiés par Graux dans l'Annuaire, cf. p. 169-212.

(2) Nous pensons à la phrase qui est à la fin du Προοίμιον, dans le De velitatione : μὴ μόνον δὲ περὶ ταύτης τῆς τῇ ἔῳ προσηκούσης, ἀλλὰ καὶ περὶ τῆς τῇ ἑσπέρᾳ ὠφελίμου καθεστηκυίας. Cette phrase indique qu'il sera traité, dans le De velitatione, de la guerre en Orient et de la guerre en Occident. Or il n'est question de la guerre en Occident que dans le nouveau traité; et alors ne peut-on pas supposer que le nouveau traité est bien la suite du De velitatione?

Nous avons dit que Ch. Graux avait expliqué sept chapitres du Traité dans les conférences faites à l'École des hautes études pendant le second semestre de l'année 1875-1876. Dans la copie qu'il a laissée, huit chapitres sont accompagnés de notes plus nombreuses; ce sont les chapitres VII, XI, XII, XIV, XXIV, XXV, XXVII, XXVIII. De plus, trois chapitres ont été publiés en 1875 dans l'Annuaire de l'Association pour l'encouragement des études grecques en France; ce sont les chapitres XIII, XV, XVIII. Il y a donc onze chapitres qui ont été publiés par Graux lui-même ou qui ont été, de sa part, l'objet d'une étude approfondie.

Pendant qu'il préparait ce texte pour l'impression, Graux avait relevé sur des fiches un certain nombre de faits grammaticaux propres à l'auteur du Traité. Dans les phrases conditionnelles, si est construit avec l'optatif (ɛi yéPupa túxo, p. 99, 1. 14; cf. encore ibid., 1. 6), ou avec le futur (ei dè Quyñ xpŃσovτaι, p. 117, l. 16; cf. encore p. 99, φυγῇ χρήσονται, 1. 1, et p. 117, 1. 23); mais on trouve aussi cette conjonction construite avec le subjonctif : eineρ woλéμιοι ἐπέλθωσι, p. 97, 1. 12; εἰ γνωσθῶσιν, p. 115, 1. 16; εἰ πύθηται, ibid., 1. 19; cf. encore p. 116, l. 5; p. 117, l. 9 et 20; on a encore оtε yvwotwσi ὅτε γνωσθῶσι πολέμιοι, wodéμoi, p. 97, 1. 1. On se demande alors si, dans les trois exemples que nous avons cités, où ei est construit avec le futur, il ne faut pas corriger le texte et remplacer le futur par le subjonctif, ei dè vyñ xpńowvτaι(1), etc. On trouve aussi des phrases dans lesquelles ei est construit avec l'indicatif et avec l'optatif; εἰ... κωλύει... καὶ βιάσαιτο... εἰ περιφυλάξαιεν... οὐ nai ei δεμία συμβήσεται βλάβη, p. 92, 1. 4; εἰ παραφυλάττοιεν ἑαυτοὺς... καὶ μηδὲ ... ἐτραυματίσθησαν, προσήκει μαθεῖν, p. 116, 1. 14; καὶ εἰ φρονίμως... διάθοιντο, ὑπερισχύσωσι τῶν ἐχθρῶν, p. 116, 1. 4. La construction de μέλλω avec l'infinitif aoriste n'est pas rare : péλλovτes éttiбovλεúσασlαι, p. 115, 1.17; μέλλοντας συμβαλεῖν ἢ τραυματίσαι, ibid., 1. 20; on peut rapprocher εἰ δέ γε τοὺς πολεμίους νύκτωρ... ἐπελθεῖν διαγνῷ, p. 97, 1. 3. On trouve un

(1) Dans un de ces exemples, celui qui se trouve p. 117, 1. 23, certains manuscrits présentent la variante εἰ δεήσῃ au lieu de εἰ δεήσε. A côté de ces passages on peut en citer un autre où les manuscrits présentent une semblable divergence: p. 117, l. 10, dei... un ἐᾶσαι τὸν λαὸν ἀτάκτως ἐμβαλεῖν... μὴ ἐπι

πεσόντες οἱ δυσμενεῖς. . . τινὰ βλάβην εἰς τὸν στρατὸν ἐργάσωνται. Ε et M donnent ἐργάσονTal. Pour les particularités sur l'emploi du subjonctif à cette époque, cf., à l'Index rerum nominum et verborum de l'édition de Leo Diaconus de la Byzantine de Bonn, les mots Aoristus et Conjunctivus.'

exemple d'un infinitif construit comme en français : ἐν μὲν τῷ στενῷ τάξεις πεζικὰς προαποστελλέτω... κρατῆσαι « qu'il envoie à l'avance s'emparer », p. 99, 1. 5. Ce dernier exemple nous montre l'emploi de ev à la place de ɛis, emploi qui avait déjà été signalé par Hase (1); on peut encore citer : μǹ έñáγεσθαι πλῆθος ἀργὸν ἐν τῇ πολεμίᾳ, p. 100, 1. 13; cf. encore p. 101, 1. 14, et p. 117, l. 13. Parmi les autres particularités dignes d'être relevées, on peut citer les suivantes : le comparatif n'ayant que le sens du positif(2): exovtas ἄλογα κρείττονα « ayant de bonnes bêtes de somme », p. 116, 1. 21; πλείονας δεῖ λόχους ... παρασκευάσαι, p. 115, 1. 21; - la conjonction μnte employée à la place de μηδέ : μὴ ἑνούσθωσαν . . . μήτε μὴν ... ἀναμιγνύσθωσαν, p. 100, 1. 9; μὴ πόρρω διωκέτω, μήτε μὴν τὴν τάξιν αὐτοῦ λυέτω, p. 116, 1. 8; Padjectif démonstratif ἐκεῖνος ayant le sens de τοιόσδε : ἐκείνων μόνων ἐστὶ χρεία τῶν ἐπιτηδείων, p. 101, 1. 15; — la construction ἐργάζεσθαί τι εἰς Twα, p. 117, l. 14; un sens un peu nouveau attribué à certains verbes, comme άñavτãv signifiant « il se rencontre », p. 91, l. 1; p. 99, l. 1 et 4; ἀπαντᾶν καταβάλλειν signifiant « dépenser », τοῦ χρυσοῦ καὶ ἀργύρου τοῦ πρὸς κόσμου καταβαλλομένου τῶν ἵππων, p. 101, 1. 13; περιποιοῦμαι « se procurer », τὴν ἐφαρμόζουσαν περιποιήσεται φυλακήν « il procurera à cette section la garde nécessaire (3) », p. 91, l. 13. Relevons enfin quelques négligences des detes, p. 98, 1. 3; μέν employé sans correlatif : εἰ μὲν εἰς μάχην στῶσιν..., p. 117, 1. 95 ἀντί assez mal construit dans la phrase : ἀνθ' ὧν γὰρ ὀφείλουσιν ἐπικομίζεσθαι. . p. 102, l. 13.

Tiva,

twv

:

asyn

Nous publions le Traité tel qu'il a été préparé par Charles Graux. Nous n'avons fait au texte et aux notes qui l'accompagnent que des changements nombreux et dont la nécessité était évidente; nous sommes sûr que peu l'auteur lui-même les aurait faits au moment de l'impression.

(1) Préface de l'édition de Leo Diaconus, p. xxiv.

(2) Souvent cependant le comparatif a

sa

ALBERT MARTIN.

force propre, cf. par exemple p. 116, l. 19. (2) Cf. encore p. 117, l. 1, wеpiomσáμevos

τὴν τοῦ ἀπλήκτου ἀσφάλειαν.

TRAITÉ DE CASTRAMÉTATION.

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I

Περὶ καταστάσεως ἀπλήκτου', καὶ ὅτι ὁ στρατηγὸς ἀπὸ τοῦ πλήθους τῶν ὁπλιτῶν ἐν ταῖς ταξιαρχίαις τεταγμένων δύναται τὴν ὅλην τοῦ ἀπλήκτου διαγνῶναι καὶ ἀπαρτίσαι περίμετρον.

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Οἱ τῶν στρατηγῶν ἄριστοι καὶ πολλὴν ἐμπειρίαν τῷ μακρῷ χρόνῳ συλλε 5 ξάμενοι κατὰ τὸ πλῆθος τοῦ λαοῦ τῶν ὁπλιτῶν ἐν τῷ χάρακι τεταγμένων δύνανται τὴν περίμετρον τοῦ τόπου, εἰς ὃν τὸ ὅλον στράτευμα τῶν ἱππέων καὶ τῶν πεζῶν ἀπληκεύειν μέλλει, ἀκριβῶς προδιασκοπεῖν καὶ διαγινώσκειν. Εἰ τοίνυν ις' ταξιαρχίαι εἰσὶν ἐν τῇ ἐκσιρατείᾳ ὁπλίτας ἔχουσαι ἀνὰ πεντα κοσίους, ἀκοντιστὰς δὲ ἀνὰ διακοσίους καὶ τοξότας ἀνὰ τριακοσίους, δύνανται 1ο ἐν τῷ ἀπλήκτῳ τὸ ὅλον στράτευμα τῶν τε ταγμάτων° καὶ πάντων τῶν θεμά των εὐχερῶς1 περικυκλοῦν, καὶ ἀσφαλῶς ἐν τῇ ἡμέρᾳ καὶ νυκτὶ διαφυ λάτ7ειν. Τάτ7ονται 12 δὲ, εἴπερ αἱ ταξιαρχίαι, ὡς εἴρηται, ις 14 τυγχάνουσιν, ἐν τοῖς τέσσαρσι μέρεσι, διά τε τῶν ὁπλιτῶν ψιλῶν τε καὶ ἀκοντισιῶν, ἐν ἑκάστῳ αὐτῶν χιλιάδες δ', ἐν τετραγώνῳ καὶ τετραπλεύρῳ σχήματι τοῦ ἀπλήκ15 του ἀπαρτιζομένου. Τοῦτο γὰρ κρεῖτίον τῶν ἄλλων σχημάτων πρὸς ἀπλῆκ τον 15, ὡς μὴ δυνατοῦ ὄντος εὐχερῶς ἐν μάχῃ ὑπὸ τῶν πολεμίων 16 κυκλοῦσθαι· (— " γὰρ ἀπὸ μιᾶς πλευρᾶς ἢ ἀπὸ δύο τούτῳ 18 ἐπιθήσονται· ἀπὸ δὲ τῶν τριῶν πλευρῶν ἢ καὶ τεσσάρων 10 εἰ προσβαλεῖν βουληθεῖεν, διασπῶνται 20 αἱ

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autres διαγνώσαι.

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· ἀπληκεύειν μέλλειν ACEK. — * ἐκστρατείᾳ ὁπλίσας ΑΜ; ἐκστρατίᾳ ὁπλίτας Κ; ἐκστρατεία ὁπλίτας, BCE. — τῶν τεταγμένων ΚΜ; τῶν τεταγμάτων Α; τῶν ταγμάτων Β. — 10 εὐκαιρῶς Β. — " ἔν τε ἡμέρᾳ AC. 1 τάττονται. Les lettres ται ajoutées de 2' main dans E; τάτ7ον Α. αἱ 1' main, καὶ 2° main E; αἱ omis par B; le mot ταξιαρχίαι est une conjecture. δεκα Α.

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πρὸς ἀπλήκτου Β.

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14 ἐκκέτῶν ἄλλων π. Κ. Cette fausse legon est due très probablement au voisinage de l'expression τῶν ἄλλων σχημάτων, cf. plus haut. — "7 καὶ peut-être. — 18 τούτων Β, peut-etre τοιούτῳ ? — 10 ά. δ. [τῶν] τριῶν π. ἢ καὶ (τῶν) τεσσ. (?). ἀ. ἂν peut-etre?

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τάξεις αὐτῶν καὶ ἀσθενεῖς καὶ εὐκαταγώνιστοι γίνωνται· τὸ δὲ στρογγύλον ἐπισφαλές, ὡς εὐχερῶς ὑπὸ τῶν δυσμενῶν κυκλούμενον, καθὼς καὶ τοῖς παλαιοῖς δεδοκίμασται3 --) εἰ μή που ἡ τοῦ τόπου θέσις βιάσαιτο εἰς ἑτέρου σχήματος εἶδος ἀποτελέσαι τὸ ἀπλῆκτον. Περὶ γὰρ τῶν ἀνεπιτηδείων καὶ 5 σθενῶν τόπων, πῶς δεῖ ἐν αὐτοῖς διαθέσθαι τοῦτο ἀσφαλῶς κατωτέρω λεχθή

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σεται.

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ὀφείλει οὖν ὁ στρατηγὸς εἰς τέσσαρα ἴσα μέρη διαιρεῖν τὴν πεζικὴν στρατιὰν, ἰσοδυναμοῦντα ἀλλήλοις, καὶ ἕκαστον μέρος ἐν τοῖς τέσσαρσι τοῦ ἀπλήκτου τιθέναι πλευροῖς· καὶ γὰρ, εἴπερ ἰσοδυναμοῦσιν ἀλλήλοις τὰ μέρη, χρησιμώτατα καὶ ὠφελιμώτατα, εἴς τε τὰ ἀπλῆκτα καὶ τὰς ὁδοιπορίας καὶ τὰς πολυειδεῖς μάχας εὑρίσκονται καὶ ὁπλῖται μὲν εἰς ἕκαστον πλευρὸν ἀφορίζονται χιλιάδες β'· ἵστανται δὲ ἐν ἑκάστῃ ὀργυίᾳ εἰς τὸ μέτωπον ὁπλῖται β'· κατόπιν δὲ τούτων εἰς βάθος οἱ ἀκοντισταὶ καὶ τοξόται, καὶ γὰρ 10 χρὴ ἀμφοτέρους, καθὼς ἐν ταῖς δεκαρχίαις συντάτίονται εἰς τὰς μάχας ἱστάμενοι, 15 οὕτως εἰς τὰ ἀπλῆκτα τοῖς δεκάρχοις εἶναι συσκήνους καὶ συνεστίους καὶ τούτοις ἐν ἅπασι πείθεσθαι”. ἐπεὶ δὲ δισχίλιοι ὁπλῖται, ὡς ἔφημεν, καθ ̓ ἕκασίου τῶν δ' μερῶν ἵστανται, β ́ δὲ ὁπλῖται ἐπέχουσι μίαν ὄργυιαν, ἀφορίζονται ἑκάστῳ πλευρῷ ὄργυιαι χίλιαι· καὶ ἐκ τῆς τοιαύτης ἀναμετρήσεως τῶν χιλίων ὀργυιῶν 13 διαγινώσκεται καὶ ἀριθμεῖται ἡ τοῦ ὅλου ἀπλήκτου περίμε 20 τρος. Δεῖ δὲ καὶ μινσουράτωρα 1 ἐπιλέξασθαι ἄριστον καὶ ἐμπειρότατον καὶ σχοινίου μέτρου 15 χιλίων ὀργυιῶν ἐπιδοῦναι αὐτῷ ἀποστέλλειν τε εἰς ἔρευναν ἐπιτηδείου τόπου πρὸς ἀπλῆκτον. Εχέτω δὲ ὁ τοιοῦτος μεθ ̓ ἑαυτοῦ 18 καὶ τοὺς λοιποὺς τῶν ἀρχόντων μινσουράτωρας, πλὴν ἐν τῇ πολεμίᾳ" μετὰ βιγλῶν καὶ τῆς προσηκούσης αὐτῷ φυλακῆς προπορευέσθω. Ποιείτω δὲ τὸ ἀπλῆκτον 25 μὴ ἔγγισία ὄρους 10 ἢ ἔλους δασέος ἢ βουνοῦ ἔχοντος διόδους, ἀφ ̓ ὧν ἴσως οἱ πολέμιοι ἐπελθόντες μετὰ πεζικῆς δυνάμεως καταβλάψουσι τὸ στρατόπεδον· ἀλλὰ σκοπείτω εἴπερ ἔστι ποταμὸς δυσπέρατος ἢ λίμνη ἢ κρημνὸς ἢ φάραγξ

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3 δεδοκί

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γίνωνται ΑΕΜ; les autres γίνονται; peut-être faut-il γίνοιντο. · ἐπὶ Β. μασθαι (sic) Β. — ' ὀφίλει Β. — ο στρατειὰν Β. — * καὶ devant ὠφελ. Ε seul. — ' εἴ τε E les mss. — 8 καὶ ὁπλῖται χιλιάδες β', cinq mots omis, tous les mss., sauf E. — ' ὀργεία K. Les mots ἴστανται..... ὁπλῖται β', qui manquent au texte, ont été rétablis en marge de 2° main dans M.

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peut-être faut-il μίαν όργυιαν

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dans K. – 15 μέτρων Μ. — 16 μετ ̓ αὐτοῦ les mss.,

-

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δρουν, la 1 main de M.

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